Diane

contre les catholiques, à laquelle son père l’avait promis alors qu’il n’avait que sept ans, en lui faisant jurer de venger les protestants exécutés après la conjuration d’Amboise (1560). Une trêve lui permet de composer l’Hécatombe à Diane (sacrifice de 100 vers à Diane Salviati, nièce de la Cassandre que chantait Ronsard), ainsi que la première partie du Printemps ; dans ce recueil varié, d’Aubigné se pose en disciple de Ronsard. Lorsque sa vie de soldat reprend, combattant pour sa foi, il échappe

dans son poème en alexandrins pour exhorter le jeune Charles IX àla pratique des arts et des sciences. Le Portrait mythologique de François Ier présente le roi avec les attributs des dieux romains Minerve, Mars Mercure et Diane : il a le caducée de Mercure, lecarquois de Diane, l’égide de Minerve et les armes de Mars. De plus, le poème en décasyllabe en fait l’éloge dans toutes les disciplines : « François en guerre est un mars furieux / En paix Minerve etDiane à la chasse / A bien parler Mercure

Victoire. La déesse, ailes déployées, n'était pas en marche, mais elle effleurait de la plante de ses pieds, frais comme la rosée, une boule mobile et, s'y posant sans s'y fixer, semblait prendre son envol. Un bloc de marbre de Paros, représentant Diane, occupait le milieu de la pièce, une statue d'une perfection magnifique, tunique au vent, dans une course agile, qui semblait se porter au-devant des visiteurs et inspirait la vénération par sa majesté divine. À droite et à gauche de la déesse, des

Saint-Vallier, Diane de Poitiers. Alors que le père revenait d'une prière, le roi en a profité pour rester toute la nuit avec sa fille : "Je priais dans mon coeur le Dieu de la victoire / Qu'il vous donnât mes jours de vie en jours de gloire, / Vous, François de Vallois, le soir du même jour, / Sans crainte, sans pitié, sans pudeur, sans amour, / Dans votre lit, tombeau de la vertu des femmes, / Vous avez froidement, sous vos baisers infâmes, / Terni, flétri, souillé, déshonoré, brisé / Diane de Poitiers

hôtel, leur étaient alors attribués. Les galeries, le théâtre: GALERIE FRANÇOIS Ier Renaissance chambre. Elle devint publique après le déménagement de la chambre du roi à la fin du XVIe siècle. Elle est de 60 m de long et 6 m de large. GALERIE DE DIANE Au cours de la Révolution française elle a été utilisée comme prison et plus tard a été restaurée par Napoléon. Pendant le règne de Louis-Philippe la galerie a été utilisée comme une salle de banquets, sous le Second Empire a été transformée en bibliothèque

sympathie, car l'auteur confesse sa passion de la vie. aggripa Hécatombe à Diane d’Agrippa d’AUBIGNÉ Pré-requis : Hécatombe = étymologiquement : Sacrifice de cent bœufs (ou d’un grand nombre de victimes par la suite) Sonnet C = sonnet Cent : on a donc à faire à l’ultime sonnet de ce recueil. Cupidon = Amour = Éros (grec) = fils de Vénus, est le Dieu de l’amour Vénus = déesse de la beauté et de l’amour Diane = déesse de la chasse et de la virginité (Déesse vierge comme Athéna) => forcément

modale est ]10; 15]. D´finition. On appelle m´diane m d’une s´rie statistique la valeur pour laquelle la moiti´ des e e e e individus sont associ´s a une valeur sup´rieure ou ´gale a m et l’autre moiti´ des individus a e ` e e ` e ` une valeur inf´rieure ou ´gale a m. e e ` Exemple. On consid`re les notes du Devoir Surveill´ en classe de seconde : e e Il y a en tout 24 notes, on prend la moyenne des 12eme et 13eme notes dans l’ordre croissant, la m´diane est m = 11. e Dans le cas d’un regroupement

l’intrigue inspirés de figures historiques plus ou moins modifiés (le Duc de Nemours, le Prince de Clèves, le Vidame de Chartre, la reine dauphine) Personnages historiques qui constituent une toile de fond ; ils sont seulement évoqués (Le Roi de France, Diane de Poitiers) Ces personnages, qui forment un système, sont multiples, variés. La multiplicité de ces personnages se manifeste surtout au début du roman (cela rend la lecture difficile). Tourbillon de personnages : arrivée difficile du personnage

attire Iphigénie dans le camp des Grecs. Le dénouement, enfin, fait l’objet de deux traitements sensiblement différents. L’Iphigénie de Racine échappe à la mort grâce à la présence du personnage d’Ériphile, tandis que Le Clerc fait intervenir la déesse Diane. Ses justifications sont ainsi l’occasion pour le dramaturge d’esquisser une réflexion sur la liberté de l’auteur face à la fable antique, la place de l’amour dans la tragédie, les moyens de susciter la terreur et la pitié chez le spectateur, la

le garçon tomba la tête la première du toit des voisins qu'il avait réussi à atteindre. Heureusement, il tomba dans l'eau et aperçu une lucarne au-dessus de lui. Il était donc tombé à l'intérieur d'une maison : dans la grande piscine des Bains de Diane. La porte de l'établissement étant fermé, il s'endormit en attendant qu'on vienne lui ouvrir le lendemain. Chapitre 13 Il se fait réveiller en sursaut le lendemain par un Arabe, le maître baigneur, qui l'accuse d'être déjà venu ici de nuit. Le