Diaspora arménienne

est moins important par rapport aux deux précédents pays. Les Arméniens En fuyant les persécutions turques, les Arméniens ont trouvé refuge en Syrie essentiellement à Damas et Alep. Au Liban, ils représentent près de 5% de la population, essentiellement établis à Beyrouth. Ils sont également présents en nombre moindre en Irak, en Jordanie, en Égypte et aussi à Jérusalem dans le quartier arménien. Ils parlent le dialecte arménien occidentale et sont de confession chrétienne. Autres minorités

mosaïque ethnique et culturelle. 18 religions sont officiellement reconnues par l’Etat. Généralement, nous avons : 60% de Musulmans (Sunnite, Chiite, Druze, Alaouite) 40% de Chrétiens (Maronite, Grec-orthodoxe, Arménien, etc…) De ce fait, une partie de la population Libanaise parle Arménien et Grec. Le Français est pratiqué chez 45% des Libanais et 30% de la population parle Anglais. II- Politique La République Libanaise est un régime parlementaire, et est un Etat confessionnaliste. (Système

pentecôtistes en leur sein : on estimait, en 2005, qu’ils étaient 350 000 (395 000 en comptant les églises évangéliques de diasporas étrangères), soit près de 30 %. – Les chrétientés historiques (environ 750 000 personnes) connaissent un élargissement notable, tout en gardant une représentation éclatée. À l’Église orthodoxe (estimée à 300 000 membres), et à l’Église apostolique arménienne (même ordre de grandeur), il faut ajouter les fidèles que comptent les diverses Églises orientales indépendantes ou

partie les enjeux sociaux dans cette ville cosmopolite. Jérusalem est considérée comme la ville « trois fois sainte ». En effet, elle est le berceau de la civilisation et de la religion Juive depuis 1500 avant Jésus-Christ qui ont subi plusieurs Diaspora (dispersions de par le monde), Capitale de la terre promise par Dieu le « Pays de Canaan ». De plus Jérusalem est considérée aujourd'hui comme la citée de David, principal constructeur de Jérusalem dont il reste un patrimoine assez important. Aujourd'hui

dominé une partie importante du Moyen-Orient, elle ne bénéficie pas d’un préjugé favorable dans cette région. La Turquie ayant construit un État-nation7 de nature centralisée en se fondant sur l’exclusion ou l’abaissement des autres ethnicités, arménienne, grecque et kurde, ou des religions non musulmanes, il en résulte un sentiment d’isolement qu’illustre le vieil adage : « Les Turcs n’ont d’autres amis que les Turcs ». Les chercheurs en sciences sociales considèrent d’ailleurs que les Turcs résidant

dans le cadre d’accords bilatéraux. Il faut ajouter à ce chiffre environ 168 000 travailleurs qui ont émigré de leur propre initiative vers les pays cités durant la même période. Ces primo-migrants constituent la base démographique de l’actuelle diaspora turque en Europe. D’après les données gouvernementales turques, ces travailleurs sont accompagnés, en 1977, par 531 000 personnes non actives. Cette année-là, étaient donc installés en Allemagne de l’Ouest (77% du total) et dans le reste de l’Europe

kurde (indo-iranienne). Turques de l’extérieur, de l’étranger : désigne tous les émigrants turques et leurs descendants.  Diaspora (renvoie à des communautés qui ont perdu leur territoire, ont été expulsés et dispersés dans le monde  Renvoie aux juifs qui ont été chassés d’Israel à l’origine. Second sens : communautés issues d’un territoire, phénomène d’expansion. Diaspora libanaise, indienne, chinoise, marocaine). Les turques de l’extérieur sont d’environ 3 à 4 millions, sans compter les gens

fonctionne comme un système. 3 B°/ Des acteurs multiples. (1 heure) La mondialisation est engendrée et conçue par des acteurs aux stratégies variées. On peut citer par ordre d’importance les FTN, les Etats, les organisations régionales, les diasporas, les associations ou encore les ONG. a- Les FTN sont des acteurs majeurs de la mondialisation (pages 90-91). En 2011, les 82 000 FTN de la planète ont réalisé plus du quart du PIB mondial, les deux tiers du commerce mondial (c'est-à-dire des échanges

situation que Taïwan). Génocide arménien : Il a eu lieu au sein de l’Empire Ottoman (empire multiethnique : grecs, turcs, kurdes, arméniens…), petit à petit c’est les turcs qui ont pris le leadership. A ce moment-là, mouvement nationaliste a pris le pouvoir pendant la guerre « Mouvement des jeunes turcs », ils vont profiter de la guerre pour faire passer leurs idées nationalistes. On a des groupes dans l’empire qui sont montré du doigt : les juifs et les arméniens, car ils sont commerçants (ils

s’agit d’une concurrence économique (= deux plus grandes puissances mondiales), militaire (=Océan Indien), spatiale (=programme prévu jusqu’en 2045), culturelle (=restauration, nouvel an chinois). Cette politique d'expansion s’appuie sur une puissante diaspora. (communauté chinoise qui vivent à l’étranger) Problématique : Quels sont les fondements d’un Etat capable de rayonner, d’influencer et de dominer le reste du monde ? Définitions : Hard power : C’est la capacité d'un corps politique à imposer sa