Dichotomie Monétaire Réel

"prédétermination structurale", la politique économique est pour l'essentiel pilotée par le fonctionnement des compromis qui s'imposent à elle (voir infra) ou des formes institutionnelles connexes avec lesquelles elle est en rapport (contrainte monétaire, rapport salarial...), et donc assez largement privée d'autonomie. Les épisodes de crise ne sont pas davantage propices à la restauration de sa souveraineté, mais évidemment pour des raisons radicalement inverses. Si le poids des structures, remises

La théorie du déséquilibre 2. La théorie des « équilibres non walrasiens » 34 La nouvelle macroéconomie keynésienne 1. Keynésianisme « rationnel » et rigidités nominales : l’absence de dichotomie et l’efficacité des politiques de demande globale 2. Keynésianisme « informationnel » et rigidités réelles : l’existence d’équilibres partiels sous optimaux 131 132 135 135 136 La nébuleuse institutionnaliste 35 Théorie standard et approche institutionnaliste 1. Les institutions dans

prix Dépense totale en monnaie= masse monétaire (quantité de monnaie en circulation) x vitesse de circulation de la monnaie (nombre de fois qu’un même signe monétaire est utilisé pour effectuer une transaction, taux de rotation moyen de la monnaie). Plus la vitesse est grande, moins on a besoin de monnaie et inversement. A quantité de monnaie donnée, il faut que la vitesse augmente s’il y a plus de transaction. Pour montrer ce lien entre la masse monétaire et niveau général des prix on pose 2 hypothèses :

du déséquilibre 2. La théorie des « équilibres non walrasiens » 131 131 132 34 La nouvelle macroéconomie keynésienne 1. Keynésianisme « rationnel » et rigidités nominales : l’absence de dichotomie et l’efficacité des politiques de demande globale 2. Keynésianisme « informationnel » et rigidités réelles : l’existence d’équilibres partiels sous optimaux 135 135 136 La nébuleuse institutionnaliste 35 Théorie standard et approche institutionnaliste 1. Les institutions dans la science

source d’emploi. ⎝ Ceux qui ont été influencés par Machiavel préconisent un protectionnisme rigoureux dans la mesure où la seule accumulation de métaux précieux assoit la puissance du Prince en favorisant les exportations. ⎝ Le quantitativisme monétaire signifie que le niveau général des prix d’une nation est lié à sa quantité de monnaie en circulation. Les mercantilistes sont des pré-quantitativistes car ces idées demeurent non formalisées. La physiocratie ⎝ C’est une école de pensée

de Tunisie. Elles mettent en relation ceux qui disposent de surplus de ressources monétaires et ceux qui en besoin de façon à mettre à la disposition de l'économie les dispositions monétaires nécessaires à son financement. 5. L'extérieur ou le reste du monde : Il regroupe l'ensemble des personnes non résidentes ayant des relations avec les résidents. Ces relations sont de natures diverses : commerciales, monétaires ou financières. Un agent est qualifié de résident s'il exerce son activité depuis

macroéconomie I. Définition et objectifs de la macroéconomie 1. Définition [#] La macroéconomie est l’analyse de l’économie d’un pays, d’un point de vue global à travers les relations qui existent entre ses agrégats : PIB, emploi, FBCF, NGP, masse monétaire, etc. 2. L’objet de la macroéconomie [#] L’objet de la macroéconomie est la compréhension des forces sous-jacentes à la croissance et aux fluctuations (cycle d’activité) d’un pays, afin de comprendre la réalité économique pour déterminer la

Mondialisation  (REI) Le Fonds Monétaire International (FMI), traduit le terme anglo-saxon «globalization» par «mondialisation». Mondialisation  « suite » (REI) Il le définit comme « l’interdépendance économique croissante de l’ensemble des pays du monde, provoquée par l’augmentation du volume et de la variété des transactions transfrontières de biens et services, ainsi que des flux internationaux de capitaux, en même temps que par la diffusion accélérée et généralisée de la technologie »

3.2.3 Évolution du système international depuis le XIXème siècleSMI = un ensemble de règle qui organisent les décisions des Etats en ma9ère de change et de règlementa9on des flux de K et condi9onnent ce que fait plus ou moins la poli9que monétaire. On dis9ngue les changes floBants, lorsque les rela9ons entre les monnaies sont déterminées par le jeu du marché (déprécia9on et apprécia9on) et les changes fixes lorsqu’une parité officielles des monnaies est déterminée administra9vement (dévalua9on

car il n’y a pas de thésaurisation et le troc nécessite un équilibre entre l’offre et la demande. 2) La monnaie comme unité de compte ▪ La monnaie permet de mesurer la valeur de toutes marchandises qui va être exprimé en unités monétaires que ce soit une unité monétaire ou une monnaie scripturale (le florin banco avait par exemple juste une valeur d’usage). En terme mathématique, dans une économie de troc, on a (n(n-1)/2 prix qui doivent être déterminés. A l’inverse, avec une monnaie, on dit qu’il