Dictature du prolétariat

1.A. Fondements idéologiques. L’Union soviétique repose sur l’idéologie marxiste-léniniste. Elle pour idée centrale le renversement de la bourgeoisie et des régimes qui lui son inféodés (république, monarchie…) pour mettre en place la dictature du prolétariat. Ce dernier est représenté par le tout puissant parti bolchévique ou P.C.U.S..

(1844-1845), fait ressortir la pertinence théorique des critiques socialistes de l’économie politique et des fondements matérialistes de leurs projets, ainsi que la relève du point de vue de classe de la bourgeoisie par le point de vue de classe du prolétariat. La seconde perspective, contemporaine de la fondation du communisme révolutionnaire (1846-1848), fait ressortir les carences théoriques d’une science qui prétend s’établir comme fondement du processus historique et assume, en conséquence, une posture

travailleurs est le meilleur moyen de lutter contre des maux sociaux tels que l'ivrognerie ou le besoin de charité privée. Dans une société idéale, la police, la prison, les procès, l'assistance publique n'ont ainsi plus lieu d'être. Cette élévation du prolétariat au niveau de la dignité humaine passe notamment pour les plus petits par l'existence de crèche et d'un système éducatif efficace. En effet, le socialisme utopique repose sur une vision très optimiste de l'homme : l'homme est bon par nature, ce qui

l'exploitation Pour Marx si la force de travail est une marchandise parmi les autres elle n'est pas une marchandise comme les autres. La société est divisée en plusieurs classes sociales, dont les deux principales sont la bourgeoisie et le prolétariat. La classe bourgeoise détient les moyens de production et le capital et la classe prolétarienne ne dispose que de sa force de travail. Il pense que le capitaliste exploite le travailleur en lui subtilisant la plus-value, le sur travail. En effet

Engels observe qu’il existe deux classes antagonistes : la bourgeoisie, qui possède le capital, et la prolétariat. Le prolétariat étant exploité par la bourgeoisie qui souhaite constamment accroître son profit, il est inexorablement amené à se battre/révolter au sein d’un conflit d’intérêts qui apparaît comme étant le moteur de l’histoire moderne. Cette théorie débouche sur une dictature du prolétariat dont le but est de supprimer les classes sociales, puis sur une deuxième où l’Etat n’existe plus.

communisme. Pour le léninisme (dont le trotskysme), l'État, qui est au service de la classe dominante doit être remplacé par la construction d'un État ouvrier qui s'approprie les moyens de production et organise la vie économique, c'est la dictature du prolétariat. Le socialisme est l'étape indispensable à l'établissement du communisme, qui doit aboutir au communisme dans les années 1970. Le réformisme (d'E. Berstein) s'oppose à la confrontation violent et adopte une position institutionnelle alors

qu'être engagé dans la lutte des classes, pour pouvoir constituer une classe sociale « pour soi », lorsque tout ces éléments ne sont pas réunis, il n'y a pas de classe possible d'après Marx. Il y a division de la société, entre la Bourgeoisie et le Prolétariat. Les classes existent réellement d'après Marx, il y a une exploitation des prolétaires, c'est-à-dire des ouvriers, par les Prolétaires, car il ne peuvent que vendre leur force de travail, ceci étant leur seule ressource, alors que la Bourgeoisie

b)Des troubles politiques Une partie de l'Europe vit des troubles politiques. En Russie, en 1917, la révolution bolchévique fait tomber la dynastie des Romanov. Lénine, qui s'oppose à la guerre, conquiert le pouvoir & impose la dictature du prolétariat. En Allemagne & en Italie, la brutalité des combats a entretenu une culture de la violence utilisée au début des années 20 par des groupes d'anciens combattants d'où seront issues les milices nazies & fascistes. c)Le totalitarisme

bourgeois de propriété eux-mêmes. Mais surtout le plus important, en ayant apporté cette révolution du mode de production, la bourgeoisie a permis de former les ouvriers modernes. Et ce sont ces ouvriers-là que Marx appelle « prolétaires », formant le prolétariat que nous allons développer plus bas, ce sont ces ouvriers-là que veut toucher Marx, qui vont alors se révolter contre ce système, contre la bourgeoisie. En une phrase, la société bourgeoise moderne, en croyant bien faire et en modernisant le mode

politique que l’économie tenant au progrès technologique. Bouleversement entraînant des problèmes considérables au niveau de la répartition des richesses entre la bourgeoisie commerçante (devient vite une bourgeoisie industrielle très riche) et le prolétariat qui ne sert que de main d’œuvre et ne dispose d’aucune propriété, d’aucun droit. = face à ce double constat, les positivistes tentent d’intervenir concrètement dans la vie sociale, faire en sorte que la société soit plus juste, plus égalitaire