Dictatures Latino Américaines

économique de l'establishment sur les deux terrains stratégiques : l'ALCA et l'endettement externe. Les tractations pour former une zone de libre-échange visent à augmenter les ventes nord-américaines vers la région, en échange de plus grandes quotes-parts du marché américain pour les exportateurs latino-américains. Mais la force des deux secteurs diffère substantiellement à la table des négociations. La première puissance fait pression sur les gouvernements de son "arrière-cour" pour qu'ils réduisent

lignes comme le Chili alors que d’autres ont des frontières zone comme le Brésil. Une des difficultés des frontières vient des autochtones qui étaient là avant la colonisation et dont les territoires étaient différents. Le nationalisme latino-américain (les dictatures) est toujours arc bouté sur les frontières qui est un enjeu d’unité nationale. La question se pose alors aujourd’hui de savoir comment reconstruire ces nations en dépassant l’enjeu des frontières. I) Territoires, frontières et conflits:

L’émergence d’un pôle brésilien dans le continent sud-américain L’ouverture économique Le Brésil cherche à s’insérer dans l’économie-monde, dans un contexte de disparition des solidarités entre les anciens pays du « Sud », qui auparavant défendaient des intérêts convergents face aux pays du Nord. Désormais, les pays du Sud sont en compétition entre eux pour s’insérer de la façon la plus avantageuse possible dans la mondialisation, d’où l’apparition de « pays émergents » qui s’en sortent mieux.

est un terme issu du nom du général Juan Domingo Peron, destiné à designer son style politique et la nature du régime établi pendant ses deux premières périodes de gouvernement. Ce terme a connu un grand succès dans le vocabulaire politique latino-américain dans la seconde moitié du XX° siècle. Parfois qualifié de mouvement populiste, sans que le terme ne soit véritablement défini, le péronisme est malaisé à définir en raison de la diversité des politiques adoptés au cours de son histoire et de

mythes amérindiens et bibliques, l’on observe une peinture sociale destinée à fustiger des systèmes en vigueur sur le continent latino-américain. Ainsi, Cent ans de Solitude et L’Automne du patriarche de l’écrivain colombien pourraient être identifiés à "une parabole, plus ou moins fidèle à la réalité, du destin de la Colombie, au moins par restriction du peuple latino-américain". [3] Chez Garcia Marquez le village de Macondo est certes un pays mythique, mais qui pourrait servir à refléter le microcosme

L’Amérique Latine : Un continent sous influence (pages 38 et 39) Question 1 : Zapata et Bolivar sont considérés par les latino-américains comme des héros libérateurs, leur principal point commun est qu’ils sont des révolutionnaires. Simon Bolivar est nommé « El libertador » et il lutte pour l’indépendance du Venezuela. Il souhaite que son pays devienne libre. Il se bat contre les colonisations espagnoles. Simon Bolivar vient d’une origine bourgeoise et espagnole à l’opposé de Zapata qui est issu

Quito Perú: Lima Chile: Santiago Argentina: Buenos Aires Uruguay: Montevideo Brasil: Brasilia Bolivia: La paz Paraguay: Asunción Guyana: Georgetown Surinam: Paramaribo Guyana Francesa: Cayenne 1973: Pinochet Coup d’état 1964 : La dictature militaire au Brésil commença avec le coup d'État du 31 mars 1964, mené par le maréchal Castelo Branco qui renversa ainsi le président élu João Goulart (surnommé Jango). Ce coup d'État renversa la Deuxième République et instaura un régime militaire

l’alphabétisation, le pib/habitant, la croissance annuelle, la population et les activités principales. Il y a quelques années, lorsqu’on nous parlait d’Amérique latine, on comprenait Amérique du sud. On invoquait l’agriculture, la pauvreté, la violence, la dictature et on parlait même de pays sous-développés. Que dit-on maintenant ? Que ce sont des pays émergents, pour certains, aux multiples ressources pour d’autres. On décrit des pays démocrate, émancipé, voire même indépendant. Et on sait maintenant, que

atteignent la pointe de l’Amérique du Sud. Ils cultivent du maïs, des haricots, des courges. Ils fondent de petits villages où ils fabriquent des poteries et tissent des vêtements. Au deuxième millénaire, apparaît l’une des premières civilisations américaines, celles des Olmèques, sur des sites comme celui de la Venta, au sud ouest du Mexique. Ils vivaient de la culture du mais, de la chasse et de la cueillette, le climat facilitant le stockage. Le mode de vie des Olmèques reste cependant très méconnu

une meilleure stabilité du régime politique, une meilleure garantie des droits des individus, empêcher une confusion des différents pouvoirs en limitant le rôle de chacune des institutions étatiques. On utilisera comme exemple le système politique américain qui est un parfait exemple de régime présidentiel qui fonctionne aussi bien que faire se peut. Puis dans une seconde partie nous verrons les inconvénients du régime présidentiel qui résultent des blocages provenant de la rigueur de la stricte séparation