Didascalie Le Malade Imaginaire

conceptions déjà existantes sont remises en question. La notion importante à comprendre en ce qui concerne le théâtre de l’absurde c’est qu’il s’opposé au réalisme au théâtre. C'est donc une forme de théâtre où l’on peut tout oser, utiliser son imaginaire sans se limiter et surtout, ne pas se soucier si ce que l’on raconte est fidèle à la réalité. Le théâtre de l’absurde est un théâtre de liberté, où l’on s’éloigne du réalisme et l’on tente de trouver une nouvelle façon de faire du théâtre. Cela

la perception demande un grand effort d’ abstraction . Les signes perçus ne prennent une signification que par une série de représentations mentales (conceptuelles ou imaginaires) que doit effectuer le lecteur. La lecture est un travail constant d’interprétation: attribution de signification. Elle se présente également comme une activité de structuration en ce sens qu’elle

musicien et romancier. Il repère les talents d’écriture de sa femme et lui fait écrire des récits, les « Claudine », qu’il signe de son nom de plume, Willy. Ces récits sont tantôt d’inspiration autobiographique (Claudine à l’école, 1904), tantôt plus imaginaires (Claudine en ménage, 1902). 18 6239_001_224.indd 18 16/08/12 12:36 Sidonie-Gabrielle se libère peu à peu de la tutelle de son mari et publie ses premiers livres sous le nom de Colette Willy puis de Colette. C’est sous ce nom qu’elle publie

serait l’art de corriger les mœurs par le rire. Cette dimension conduira Molière jusqu’à la polémique et au scandale avec : L’ Ecole des femmes et le Tartuffe. Il explorera aussi d’autres voies, comme celle de la farce, avec, Georges Dandin, Le malade imaginaire, le Bourgeois gentilhomme, puis celle de la tragi- comédie avec : Dom juan. A la différence de la tragédie, la comédie classique n’est pas strictement codifiée ; seule contrainte ; respecter la bienséance, et la vraisemblance. Avec Molière

Molière Dom Juan Éd. présentée, annotée et commentée par Laurence Giavarini,... Larousse-Bordas, 1998 Note du transcripteur : les didascalies ont été notées en GRAS et */* Les personnages : DOM JUAN, fils de Dom Louis. SGANARELLE, valet de Dom Juan. ELVIRE, femme de Dom Juan. GUSMAN, écuyer d'Elvire. DOM CARLOS, DOM ALONSE, frères d'Elvire. DOM LOUIS, père de Dom Juan. FRANCISQUE CHARLOTTE, MATHURINE, paysannes. PIERROT, paysan. LA STATUE du Commandeur. LA VIOLETTE, RAGOTIN, laquais

le vampire et sur Sherlock Holmes permettent conjointement d’analyser les caractéristiques d’un personnage littéraire type et d’en étudier l’évolution à travers différentes formes d’écriture et de création. En quoi le vampire appartient-il à un imaginaire collectif ? Comment le personnage de Sherlock Holmes influence-t-il ou non les multiples représentations du détective ? 16/07/09 18:07:32 Interrogations 1-2-3 rire et la souffrance. Comment le dilemme de Ruy Blas parle-t-il au lecteur

d'hypocrisie que ce soit celle du dévot ou celle du libertin. Dom Juan est prêt à tout pour satisfaire ses plaisirs. La fin de la pièce est très ambigüe. Certes, Dom Juan est puni de ses péchés par la mort, il est anéanti physiquement (en effet les didascalies l'indiquent comme avalé par la terre), la conclusion semble donc morale (comme on peut l'attendre à l'époque). Néanmoins, peut-on dire qu'un héros est vaincu s'il a préféré mourir plutôt que de renoncer à ses convictions ? Certains voient dans

Connart ne présente aucun signe distinctif de sa fonction, soit que Raoulet ne sait pas les identifier. La première hypothèse semble confirmée par le fait que Connart obtempère sans difficulté. Le ton monte jusqu’au geste de la « bousculade » (seule didascalie du passage), devient méprisant et d’autant plus autoritaire que les questions des premiers échanges laissent, chez Connart, une place exclusive aux assertions, pour la plupart impératives (« fuis... renonce... mets bas le pot... mets bas le pot

et la relation à l'autre sont une idée développé avec beaucoup de styles et d'originalité par Mme de Staël dans son texte' De l'Allemagne' repris par Musset dans ' Confession d'un enfant du siècle'. Le Bovarysme est vivre par procuration une vie imaginaire plutôt que de vivre la réalité. Le roman de Flaubert est une mise en abîmes de la littérature elle-même. Emma consommatrice de romans sentimentaux médiocres est une héroïne qui finit par confondre rêve et réalité, un peu à la manière de Don Quichotte

ressentir des émotions, pousser à agir, faire rêver. Ecrire présuppose un lecteur. Ecrire n’est pas un simple agencement plus ou moins réussi de mots puisque en tant que lecteur ces mots nous font éprouver des sensations/sentiments, éveillent notre imaginaire. Parfois, nous nous identifions aux héros que nous rencontrons. Nous ne sommes pourtant pas stupides. Nous savons qu’un roman, par exemple, est une œuvre de fiction or nous pouvons être ému par la destinée de Gervaise, vivre de grandes aventures