Didascalies Absurde

« Il tourne sur lui-même, hagard, va vers le miroir. » Cette situation est d'abord révélatrice de sa solitude puisqu'il a fait le vide autour de lui et que, faute d'avoir quelqu'un vers qui aller, à qui parler, il se tourne vers son miroir. Les didascalies, comme ses paroles, le soulignent bien : « il recule un peu, revient vers le miroir » de même que les jeux de scène qu'il effectue face au miroir comme s'il était face à quelqu'un : « il tend les mains vers le miroir », « je tends mes mains et c'est

intense jeu de répétition comique où chaque fois qu’estragon répond il parle plus fort on le comprend grâce aux didascalies où il y a aussi un parallélisme. Le spectateur a donc l’impression que les deux personnages ne parviennent pas à s’entendre et à se comprendre. Il y a un comique de mots grâce au silence et un comique de situation les deux personnages se coupe la parole, didascalies ( se retourne simultanément) il est suivi d’un jeu de sympathie et d’amitié entre les deux personnages mais qui

Analyse linéaireJules ROMAINS, Knock, 1923 : acte II, scène 4Elle a quarante-cinq ans, et respire l’avarice paysanne et la constipationLa didascalie inaugurale semble très sarcastique et dépréciatif dans la présentation du personnage de la patiente : le dramaturge semble alors donner raison au médecin qui va profiter d’elle ou adopter son regard. En effet, l’utilisation du verbe respirer de manière transitive directe permet d’exprimer ce qui se dégage de la femme ici un des sept péchés capitaux :

d’abord par son absurdité, mais celui-ci et il est également pris de pitié pour cette femme dont l’existence ne rime à rien. Elle est prisonnière de cette vie insensée, confrontée au temps, aux années qui la vieillissent, car comme l’indiquent les didascalies de début, elle a « la cinquantaine ». On suppose alors qu’elle vit ainsi depuis toujours. En effet, elle utilise à plusieurs reprises l’expression « des jours », suivie du présent d’habitude, ce qui traduit de la routine à laquelle elle a toujours

personnages est illogique, les dialogues absurdes. Malgré certain passage comique, la majorité de la pièce est tragique. Le comique est remarqué par la confrontation entre le familier et le soutenue. La pièce commence par de longue didascalie. Il y a une histoire commune pour les deux personnages. Comique par rapport au parent qui sont dans la poubelle :c’est un renversement de situation. Certaine phrase ont plusieurs sens. Les didascalies représentes 30 pourcent du texte. «

personnages de la pièce deviennent de plus en plus insensés. La conversation s’approche de la folie totale. Bref, on ne retrouve pas les éléments d’une pièce traditionnelle. Deuxièmement, la cantatrice chauve est une pièce étrangement absurde. Les répliques insensées qui s’accumulent, font sombrer la pièce dans le non-sens. Dans l’extrait suivant : «M. SMITH : Elle a des traits réguliers et pourtant on ne peut pas dire qu’elle est belle. Elle est trop grande et trop forte. Ses traits ne

lamentable, lamentable ! J’ai honte d’être votre ami. » (l.42). Cette réplique nous donne l’impression qu’ après cette rencontre les deux amis ne le seront plus. Alinéa Cette scène exploite les ressorts du registre comique jusqu’ à une dimension absurde. Alinéa Celle-ci est symbolisée par une présence de comique de situation et de gestes faites pour être jouée D’ abord, nous identifions un comique de situation. Jean et Bérenger se rencontrent normalement sur la terrasse de café, cette simple

tourne sur lui-même, hagard, va vers le miroir. » Cette situation révèle sa solitude car il fait le vide autour de lui, faute d’avoir quelqu’un avec qui parler, il se tourne donc vers son miroir. « il recule un peu, revient vers le miroir », cette didascalie montre aussi cette situation révélatrice. « il tend le mains vers le miroir vers le miroir », « je tends mes mains et c’est toi que je rencontre », ce jeu de scène montre Caligula face à lui-même, le miroir ne fait que lui renvoyer l’image de lui-même

Drusilla, Caligula a pris conscience que « Les hommes meurent et ne sont pas heureux » et veut aller jusqu'au bout de sa révolte contre cette vérité de la condition humaine qu'il entend enseigner aux autres, en tentant de se substituer au destin absurde. Par les humiliations infligées aux patriciens, les meurtres gratuits, il a réussi à provoquer une révolte contre lui-même, contre l'absurde qu'il incarne. Il n'a rien fait pour empêcher le complot d'assassinat qui se trame contre lui, parce qu'il

......6 3.4. La notion de temps.......................................................................... 7 3.5. Le langage........................................................................................ 7 3.6. Les didascalies..................................................................................8 3.7. La forme...........................................................................................8 3. La présence de l’absurde.................