Didascalies Absurde

O.E. LE THEATRE / SQ 1 : Parcours « Spectacle et comédie » ETUDE LINEAIRE N°2 : Georges FEYDEAU, La Dame de chez Maxim (1899), Extrait de l’acte I, scène 7 Dans ce vaudeville, Petypon et Mongicourt sont deux amis médecins. La veille, Mongicourt a convaincu Petypon de sortir ; or, Petypon vient de se réveiller et s’est rendu compte qu’il a ramené une danseuse du Moulin-Rouge (célèbre cabaret parisien), surnommée « la Môme ». Son épouse, le croyant malade, lui apporte du thé ; Mongicourt

se montre particulièrement cynique envers les autres personnages, notamment Pop. L’emploi du syllogisme concernant la définition de l’homme par la prière, à l’aide des connecteurs logiques « par conséquent, donc, alors » aboutit à une conclusion absurde : Si on reconnait l’âme par la prière Comme je ne prie pas Donc je n’ai pas d’âme Et si je n’ai pas d’âme Je suis un homme sans le savoir ! La conclusion clôt par le l’abréviation CQFD (quod erat demonstrandum : Ce qu’il fallait démontrer)

découvre les personnages principaux : Jean et Béranger, un décor et une ambiance. Pourquoi est-ce une scène d’exposition ? I Le Cadre spatio-temporel 1) Les lieux : commerces, ville, place de café, espace ouverts 2) Le moment : didascalies l23, dialogue l69-50-93 3) Les sons : l25 « carillon », son rhinocéros, son très important. II La Présentation des personnages 1) Leur entrée en scène : dans leur fonctions (ménagère et épicière), certains présents mais n’interviennent

s’interroger sur le rôle du décor de Fin de partie. Nous verrons en quoi ce décor peut paraître irréaliste voire même surréaliste, pour ensuite approfondir la visée symbolique de celui-ci. Tout d’abord, la pièce se déroule dans un lieu abstrait : la didascalie initiale porte simplement l’indication « Intérieur sans meubles ». L’absence de mobilier surprend le lecteur de par l’invraisemblance qu’il suscite chez celui-ci. Ainsi, seuls des accessoires figurent sur scène : les deux poubelles, dans lesquelles

de construction syntaxique, séparation du pronom indéfini (quelque chose) et de son complément V ; 1612 « Personne !- Où diable suis-je ?-Au fait j’ai réussi A fuir les alguazils… » rupture verbe/coi Vivacité : gestuelle incessante : voir les didascalies, les questions du personnage, la gaieté, la verve, l’esprit de réparti v. 1629 « Quant au maître du lieu, s’il survient…- Je l’invite » : le vers est mis en scène.   1. II.                Don César, un personnage grotesque. Grotesque : à l’origine

La particularité de Samuel Beckett (et aussi Ionesco) est qu’il a exposé une philosophie dans un langage lui-même absurde qui réduit les personnages au rang de pantins, il détruit entre eux toutes possibilités de communication, ôte toute cohérence à l’intrigue et toute logique aux propos tenus sur scène. Trop souvent réduite par la critique à sa seule dimension absurde, son œuvre théâtrale témoigne de la misère et de la solitude inhérentes à la condition de l’Homme, de l’impossibilité radicale

rien. III. Scène d'exposition parodiée jusqu'à l'absurde. - Sc.d'exp parodiée - Absurde et artificiel. I. Scène d'exposition d'apparence classique. • Ionesco compose une pièce et une scène d’exposition qui respecte la plupart des conventions théâtrales dans l’organisation du texte : scène, nom des personnages, didascalies. Dans didascalie initiale présente le décor → rôle traditionnel de cette didascalie qui ouvre le texte. Les personnages: présentés dans les dialogues: le nom (Mr&Mme Smith)

élèves pour réaliser la synthèse demandée 1) Quels repères permettent traditionnellement de dégager la progression dramatique d’une tragédie classique ? La tragédie d’Anouilh comporte-t-elle des interruptions et des divisions ? 2) Relevez les didascalies qui indiquent les entrées et les sorties des personnages au fil de la lecture. Quel effet produisent les temps verbaux utilisés ? 3) En vous fondant sur les entrées et les sorties des personnages, découpez la pièce en parties et en « scènes ».

conséquences de ses actes, elle renverse par exemple le ver du président et s’éloigne sans s’excuser. Les dialogues sont tout aussi absurdes, La folle va demander au chasseur de chercher une écharpe qu’elle a perdue il y cinq ans et lui dit « tu aurais pu le retrouver » alors qu’il est évidemment impossible pour lui de la retrouver. Les discussions dans cette scène sont absurdes, tout d’abord lorsque la folle discute avec la cuisinière au sujet d’os de poulet pour un chat la cuisinière répond qu’il y en

* En attendant Godot -> Pièce à la fois prometteuse et étrange • Il y a énormément de didascalie qui mange quasiment le texte • Toute l’action de la scène tourne autour d’une chaussure et d’un chapeau • Le texte est dynamique et sans tirade I. Les cadres spatio temporels 1. Le temps * Le temps est indiqué par les didascalies. La pièce commence le soir chose rare pour une pièce de théâtre. * On a peut de précision sur le temps