Didascalies Absurde

des arguments, prennent un caractère étrange  :  de “Puisque ça lui fait plaisir” (réplique 1), à « de plein gré ou de force" (réplique 2) à “les rhinocéros= des créatures comme nous” (réplique 3), il y a un manque de logique entre elles (caractère absurde de la situation) ; cela traduit un manque certain de discernement de sa part ; il a, en effet, adopté le point de vue des rhinocéros.-manière de parler de Bérenger sur les répliques 1, 6, 9 et 10, à l'égard de son ami : politesse avec « Laissez-moi

n'as plus la parole » Les rôles du pouvoir sont donc inversés. CCL : Une mort absurde Tout en faisant abandonner au roi ses pouvoirs, Marguerite restore le roi sur son trône répétition du verbe « monte » « encore + haut » La mort restore l'image royale = le roi redevient roi Toutefois cette mort n'est pas héroîqueLe roi est figé . Il se laisse littéralement partir. La didascalie finale montre que la mort du roi entraîne la chute de son royaume= ts les éléments du décor

intéressé par mettre en avant Rome et tt sla. Caligula ne peu être comparé à Hitler et autre, il é mu par une passion et non pas par une idéologie. 2- Temps de l’action : temps de la représentation : camus ne respect pa cett unité de temps, car la didascalie initial di kil ya un intervalle entre l’acte I et les suivant, après on ne ce n’est pas combien s‘écoule entre le II le III et le reste ! pk cet intervalle de trois ans entre le I et le II : car il y’avait déjà un sentiment de rupture temporelle

modérateurs, commentateurs, qui renvoient l'image du conflit et en marquent la violence. La théâtralité repose sur les jeux de scène signalés par les didascalies : ce sont essentiellement des mouvements (« entre, retient, entraîne, s'échappent, reviennent » : verbes de mouvement), qui témoignent de la violence de l'affrontement verbal. Les didascalies soulignent l'effet de symétrie entre adjuvants et opposants. La violence des attitudes des deux protagonistes et du conflit est rendue indirectement

muets) Ainsi cet « effondrement du langage va de pair avec celui du personnage », notamment chez Ionesco ou Beckett. Les didascalies Le théâtre du XXe siècle accroît encore leur place. L’auteur prend ainsi en charge les choix de mise en scène : le langage théâtral est un langage total et « tout est langage au théâtre » (Ionesco). Les didascalies peuvent même acquérir une valeur littéraire propre : elles témoignent d’un véritable travail d’écriture. Le temps, l’espace, le corps

a.La composition du texte Il débute par un dialogue entre Jean et Bérenger, maintenu jusqu'à la ligne 11. À ce moment, le premier illustre ses propos (" Je me sens léger ") d'un mime ridicule, signalé par les didascalies. Arrivent alors le Vieux Monsieur et le Logicien. Leur conversation se déroule, imbriquée dans celle des deux premiers locuteurs. En effet, le raisonnement concernant le fonctionnement du syllogisme, qui intéresse le Vieux Monsieur et le Logicien (l. 22 à 28), se trouve entrecoupé

Scène précédente le face-à-face : les gardes introduisent Antigone captive et font leur rapport... Créon demande confirmation “publique”. Puis il fait sortir tous les éventuels témoins. Proposition de découpage (On peut notamment ‘appuyer sur les didascalies qui viennent ponctuer la scène, réorienter les arguments ou la tactique argumentative des personnages) : Repérage Action Argumentation Tactique 1. Proposition de dictateur, irréfléchie. Échec de cette tactique : refus d’Antigone. Tactique

jaser et de moins en moins réagir. Bref, nul doute que l’absurdité est inhérente à la société contemporaine. C’est pourquoi il apparaît pertinent de mettre en lien une œuvre du courant absurde du milieu du siècle dernier avec une autre plus actuelle. Cette analyse portera en effet sur l’absurde - et l’humour absurde - dans la pièce de théâtre En attendant Godot (1952) de Samuel Beckett et dans Nous, les vivants (2007), un film de Roy Andersson. Les facettes du sujet telles que la source du non-sens

Ubu roi est une pièce de théâtre d'Alfred Jarry, publiée en 1896 dans Le livre d'Art (revue de Paul Fort). Cette pièce fait partie du mouvement surréaliste mais aussi du théâtre de l'absurde. L’auteur y mêle humour, satire, provocation, parodie, absurde. Dans cette œuvre, le père Ubu, personnage principal, fut roi d’Aragon et est maintenant capitaine de dragons, officier de confiance du roi de Pologne, Venceslas. La mère Ubu, sa femme, aspire au trône et pousse son mari à s’en emparer en lui décrivant

(apparue au 19e avec Schopenhauer et Kierkegaard) et à la notion de Spleen, (reprise ensuite par le mouvement Dada : « no future »). Pour les existentialistes (Sartre, Merleau-Ponty, Camus, Cioran) la vie repose sur un non-sens, l’existence humaine est absurde, le bonheur est une illusion. (Déjà Pascal, au 17e siècle avait parlé de la misère de l’homme mais pour lui il y avait une issue : Dieu) or depuis Nietzsche, « Dieu est mort ». Cette réactivation est liée aux facteurs historiques attestant de la