Diderot Et Marivaux

in Trois contes philosophiques). | |Documents complémentaires |- Extrait de Kant, Qu’est-ce que les Lumières ? (1784) | | |-Diderot, Correspondance (Lettre du 19 février 1758) | | |- Tableau de Jean Huber, Un dîner de philosophes, 1772 ou 1773, Voltaire Foundation, Oxford. | |Lectures

imaginaire) et les pseudonymes. Ils utilisent beaucoup l’ironie, afin de critiquer, montrer leurs idéaux. Textes supplémentaires : * « Lettres Persanes » de Montesquieu. « Vertu » apparait 8 fois * « Supplément au voyage de Bougainville » de Diderot. Les deux auteurs utilisent un locuteur afin de véhiculer leurs pensées. Faire réagir leur destinateur immédiat grâce à des interpellations dès le début des textes. Dans « Lettres Persanes », il est suivi par la dénonciation de la méchanceté des

personnages, le langage et le contexte théâtrale favorise le bon humour. Le comique de répétition fait rire les spectateurs, par exemple dans l'Avare de Molière lorsque Harpagon répond à sa fille Elise en reprenant exactement les mêmes phrases. Marivaux aime utiliser le quiproquo comme procédé humoristique. Dans l'amour du jeux et du hasard les spectateurs connaissent le dessous des cartes et ils sourient à la vraie fausse inquiétude des personnages. (Souffrance de Dorante, inquiétude de Silvia)

quiproquos… Se moquer des défauts de l’homme. Molière (Don Juan, l’Avare…) ( La comédie-ballet : Jeux de musique, de lumière, de danse… 18ème siècle : Le drame-bourgeois : Diderot, le corps du comédien donne sens au texte. Intermédiaire entre Comédies & Tragédies. (Pathétique). Histoire de la vie quotidienne. La comédie : Marivaux & Beaumarchais, qui tire des faits d’actualités, base psychologique, étude sur l’évolution de l’amour… L’arrivée de la commedia dell’arte (influence). 19ème siècle :

intérieure des individus en se dégageant des péripéties, des invraisemblances de l'intrigue. D'autres romanciers, comme Furetière dans Le Roman Bourgeois (1666) , se livrent à une réflexion sur la nature et la valeur du roman, qui sera poursuivie par Diderot dans Jacques le fataliste. => DONC un souci de vérité, d’authenticité, pour se démarquer d’un genre mineur, condamné par la plupart des critiques et des écrivains, ... le roman. L’auteur face à son oeuvre condamner le genre romanesque : cf

tout la pensée Européenne au 18eme siècle. L'idée du bonheur apparaît. Les chefs de file avec leurs textes fondateurs : Montesquieu → l'esprit des lois Diderot et D'Alembert → Encyclopédie Voltaire → traité sur la tolérance Les œuvres les plus marquantes sont : Lettres persanes de Montesquieu Le jeu de l'amour et du hasard de Marivaux. Trilogie de Beaumarchais ( 1. mariage de Figaro, 2. Le barbier de Séville 3. la mère coupable) les objectifs sont de porter un regard critique sur les

intellectuels,elle s'appuie sur les découvertes scientifiques pour développer l'esprit critique et lutter contre toutes les formes de préjugés . *Ecrivains représentatifs : Montesquieu (1689-1755) Voltaire (1694-1778) Rousseau (1712-1778) Diderot (1713-1784) Marivaux (1688-1763) Beaumarchais (1732-1799) -Le romantisme : en réaction contre le rationalisme de la période antérieure, il utilise les registres de l'émotion et de la sensibilité : il considère l'être humain dans l'expression de ses sentiments

 Jean-Jacques Rousseau est mis sous la protection de Madame de Warens, à l'âge de 16 ans. Il apprend la musique sur son conseil. Après l'avoir quitté, il vit médiocrement de ses talents de musicien, mais connaît à Paris, Fontenelle, Rameau, Diderot et Marivaux. Dans le contexte du siècle des Lumières, le XVIIIe (18e) une période de l'époque moderne caractérisée par un grand développement intellectuel et culturel en Europe étant à l'origine d'un grand nombre de découvertes, inventions et aussi de

Le second roman que nous nous proposons d’étudier est La Vie de Marianne de Marivaux dans lequel une narratrice déjà âgée, Marianne, se souvient de son adolescence d’orpheline faisant l’apprentissage social et sentimental de la bourgeoisie parisienne du XVIIIe Siècle. (Marivaux s’est beaucoup intéressé à la question de la sincérité dans ses œuvres. En effet si nous parcourons la liste des pièces de théâtre de Marivaux : sur trente-cinq, il en est onze qui par leur titre posent le problème de la

voire moralisatrice. Denis Diderot, cherchant à renouveler l’art théâtral, affirme la nécessité d’inscrire les situations dramatiques dans leur contexte historique et social. Il défend l’idée d’une tragédie en prose qui représenterait l’homme dans son cadre quotidien. L'histoire en sera pathétique (sentimentalisme), et se dénouera gaiement grâce au triomphe de la vertu. Fidèle aux traditions classiques, et notamment à la règle des trois unités et de la vraisemblance, Diderot entend cependant libérer