Diégèse

sens profond : « Nana tourne au mythe, sans cesser d’être réelle. »  Conclusion Fin d’un personnage et fin d’un roman, mais aussi fin d’un monde et d’une société, l’explicit de Nana apparaît polysémique et symbolique, entrelaçant la diégèse, la destinée d’une femme, et l’Histoire d’une époque. A travers sa théorie naturaliste, Zola construit une œuvre expérimentale, dans laquelle l’observation des faits (la mort de Nana) offre un miroir à la société, responsable des maux et ici de sa

Descaves, J.-H. Rosny, P. Margueritte et G. Guiches. Trois nouvelles naturalistes cette femme. Il prend alors peu à peu la place de son père dans le foyer de Caroline. Les trois récits offrent donc une variété manifeste, du point de vue de la diégèse, des types de personnages, des lieux, des époques, des classes sociales, etc. Pourtant chacun d’eux procède à sa manière d’une visée naturaliste. Rappelons que les trois auteurs se sont rencontrés entre 1875 et 1876 et qu’ils ont participé aux Soirées

entre eux et de rester à m’intimât dans le genre romanesque. DE est instrumentalisé, vaut comme support et comme origine du style. Forme commode, qui permet le travail de la confusion entre le récit et le commentaire. Fusion. (Flaubert, Proust, H). Diégèse Pb de la collection de mots, gout pour l’hyperbole. Cohérence du perso hyperbolique. Climax : retombe au sommet. Gout pour l’excès, pour le signifiant que pour le signifié. Face sonore du mot. Tout ce qui relève du style H, épithète choisi pour faire

par l’auditoire ensuite : la chanson de geste est écoutée par des hommes installés dans la grande pièce du château alors que le roman est écouté dans la chambre des dames par des personnes plus raffinées et plus cultivées ; • l’espace de la diégèse (fait de raconter les choses s'opposant au principe de mimesis qui consiste à montrer les choses – cf « La Narration) se restreint : on passe des immenses champs de bataille à des vergers ou à des champs, voire à de petites pièces ou des locus amoenus

ambiguës posées par les outils de la production ? Nous avons constaté trois concepts régissant les mises en œuvres narratives : celui de la diégèse souveraine, celui de l’image toute-puissante et celui de l’étude en décors naturel. La diégèse souveraine se caractérise par : - Le refus absolu de tout élément narratif n’appartenant pas à la diégèse du film. Tout commentaire est banni car il est considéré comme servant de légende aux images, de béquille aux plans maladroits.

récit ? (1) Quelle est la différence entre un récit et un non-récit ? À partir de quel moment un message est considéré comme un récit ? Y a-t-il des récits plus récit que les autres ? * Le vocabulaire est instable : histoire, narration, récit, diégèse, scénario, trame, intrigue. Tantôt certains mots désignent l'histoire proprement dite, tantôt l'acte de la raconter. Nous trancherons et déterminerons plus loin notre terminologie, histoire de lever les ambiguïtés. * D'abord : y a-t-i l des images

alors que sur la scène élisabéthaine, les personnages féminins sont joués par de jeunes garçons, ce qui d’ailleurs provoque un retournement cocasse quand le personnage féminin se travestit en personnage masculin, on ne trouve au contraire parmi les diégèses dramatiques qu’un seul cas de travestissement d’un homme en femme, celui de Falstaff dans The Merry Wives of Windsor, qui ne dure pas longtemps et ne laisse pas un souvenir très marquant. Il est vrai qu’on pourrait ajouter le déguisement de Flute

En effet, nous percevons parfaitement les sons tels les voix du narrateur et du secrétaire de mairie, les pas des gardes dans le gravier, les bruits de bottes au garde à vous et le grincement de la grille qui s'ouvre. Ces sons font partie de la diègese et sont rendus comme tel. Le caractère extradiégetique de la musique est aussi respecté. Les choses changent, à partir de l'entrée de Ninola dans la suite. Tout d'abord, le thème musical investi totalement l'espace, il ne sera interrompu qu'une seule

entre la narration et l’autobiographie. L’effet politique de la distanciation est la désaliénation. Octave est plus qu’un narrateur autodiégétique, c’est un narrateur intradiégétique. L’action de raconter et d’écrire est fictionnalisée, incluse à la diégèse. «J’écris ce livre pour me faire virer.» «Je ne suis pas un gentil narrateur.» (Beigbeder, 2000)   «99 Francs» (Jan Kounen, 2007) Il arrive aussi au narrateur de s’adresser directement au lecteur : «Vous-même, qui lisez ce livre, […]» (Beigbeder,

‘Autrefois, car il ……..’ - Le narrateur Il s’agit ici d’une focalisation interne, parce que le narrateur raconte tout ce qu’il voit, tout ce qu’il sait et tout ce que pense le personnage. Et le narrateur est homo diégétique, il joue un rôle dans la diégèse ou un peut même dire qu’il est auto diégétique parce qu’il est le héros de son récit. - Le récit est un monologue. Le condamné s’adresse qu’à lui-même. - L’introduction On entre dans l’histoire du condamné, on sait dès la première phrase qu’il