Diérèse

cloches…vers les ciel un affreux hurlement. » _ Plainte des fantômes qui hantent l’auteur : « …qui se mettent à geindre opiniâtrement » + Diérèse de opini-âtrement pour marquer la douleur, le caractère insupportable. Diérèse = Division d’une diphtongue en deux syllabes ( Synérèse = Réunion en une Syllabe de deux voyelles qui se suivent dans un mot. ( 5e

la femme aimée- pp « vous » + décrochement énonciatif visible au tiret (v37) On reste dans l’idée du « morceau que la chienne avait lâché »(v36)- vers 37 et 38 qui replongent le discours dans l’ »ordure » (v37) et l’« infection » qui forment une diérèse (v38)- champs lex de la décomposition : « ordure »(v37), « infection »(v38), « moisir », « ossements »(v44), « décomposés »(v48) La femme est idéalisée par un vocabulaire très valorisant :- métaphore des astres au vers 39 : « Étoile de mes yeux, soleil

(1 son), suffisante (2 sons), riches (+ de 2 sons). Les romantiques utilisaient les rimes riches pour compenser les discordances dues aux enjambement / rejets (de plus en plus fréquentes.La diérèse : on sépare parfois une syllabe pour qu’elle fasse la bonne longueur, ce processus s’appelle la diérèse. La diérèse crée parfois une dissonance.Exemple : Tournez au son de l’accordéon, / Du vi- olon du trombone fou, au lieu de 2 syllabes pour « violon », on en a 3.La synérèse : c’est le contraire.Exemple

hyperbole pendant longtemps, Tartuffe évite de prendre trop de risques - moment crucial de la révélation « j’emploie ici la voix » v20 - Tartuffe ose se dévoiléer et promet un amour éternel « j’aurai toujours » v25 futur de certitude de + la diérèse « dévotion » allonge le temps de l’amour il s’agit d’une véritable déclaration d’amour Tartuffe n’apparaît sur scène que dans l’acte II mais le spectateur en entend parler depuis le début et il est préparé à un personnage d’imposteur ( c’est

travers : * l'excès de soleil : "brûlée aux feux du jour" (v.3) = le verbe "brûler" et le pluriel permettent d'insister sur l'intensité de la chaleur. * la transpiration : "Et buvant sur ses bras la sueur qui l'inonde" (v.4). Hyperbole ("inonde") + diérèse qui rallonge le substantif ("sueur") soulignent l'importance de la transpiration. De plus, la sueur est salée et ne permet dc pas de se désaltérer. Or c'est tt ce que les hommes peuvent boire, dc leur survie semble fortement menacée. * l'absence

Enfin le voyage lui-même nous fait passer du « monde occidental » à la « mer des Tropiques » (vers 10). Hérédia nous suggère tout l’effroi que provoquait alors cette aventure lointaine, à travers les adjectifs : « bords mystérieux », amplifié par la diérèse, « ciel ignoré », « étoiles nouvelles ». Dans ce décor, tous les repères connus disparaissent. Mais, strophe après strophe, le décor devient féérique. Dans le second quatrain, les »vents alizés » font figure d’adjuvant magique qui, comme dans

rappelle l'albatros , le poete dans la vie a aussi du mal a marcher/ avancer ( lze pete trébuche ) v8 et tout le 3 eme quatrin : le chiffonnier se crée un monde imaginaire utopique ; termes a connotation mélioratives : "glorieux " ( dièrese = attentif a ce mot ) + " sublime " + "splendeurs " = + du pl donc accentue leur coté positif V 10: les actions imaginaire de cette homme = vision manichéenne ( la vision du monde en bien ou en mal ) = terrassent les mechant et relevent

des règles préexistantes, mais s’impose à lui-même un schéma précis. L’impression de paix et de tendresse vient notamment de l’utilisation forcée des diérèses pour conserver la métrique comme dans ‘Mys-té-ri-eux’, la propriété de cet artifice étant de radoucir la prononciation de certains mots et de ralentir l’élocution. On retrouve aussi la dièrése dans ‘La Mort des Amants’, qui vient elle aussi au même titre renforcée l’image douce de l’alcôve amoureuse avec le mot « des ci-eux ». Par ailleurs

Reformulation de la morale : Il faut être humble (modeste) pour ne pas subir le courroux (châtiment) de la fortune (dieu) b) La visée philosophique = leçon de sagesse : « Défions-nous » (mise en valeur par une diérèse) La Fontaine encourage à la méfiance pour but de protéger. « Prenons-garde » = protection = faire attention

nous apprenant le décès de la Lionne, la femme du roi Lion. Le premier vers nous donne cette information. Dans ce vers le « e » muet de « femme » ainsi que la diérèse à « Lion » permettent de mettre en valeur ces deux animaux. Les quatre prochains vers nous indiquent que le peuple, par servilité ou hypocrisie, alla voir le Lion. Les diérèses à « consolation » et à « affliction » permettent d’insister sur la politesse obséquieuse et l’hypocrisie du peuple. Il fit avertir sa provinceQue les obsèques