Difference Entre Comptabilite Marocaine Et Francaise

effectuer un stage ne se fait pas aléatoirement mais il existe plusieurs critères, tel que son poids sur le marché, l'existence de la concurrence, la cohérence de ses services… la raison pour laquelle mon choix a été projeté sur la Cosumar (compagnie marocaine de sucrerie et de raffinage) qui est connue par ses immenses patrimoines commerciales, historiques, et humaines. Elle est le leader national de la production sucrière, ce qui m'a poussé à postuler ma demande de stage afin d'effectuer une expérience

fours tunnels (tonnes / jour) Figure 5 : Variation des chiffres d’affaires déclarés des briquetiers Figure 6 : Concentration dans l’industrie marocaine de la terre cuite au Maroc (dessous), Tunisie (dessus) et France (carré) Figure 7 : Répartition des chiffres d’affaire des briqueteries par ville (2003) Figure 8 : Zone de chalandage des briqueteries marocaines Figure 9 : Productions de briques de différents pays (2003) Figure 10 : Consommation annuelle de briques par habitant (kg/ habitant /an) Figure

changes………………..29 Chapitre 2 : La réglementation des marchés publics Maroc……………..31 I) Présentation de la réglementation des marchés publics…………31 II) L’application de cette réglementation au sein de l’ONCF……….35 Chapitre 3 : Divergences et limites entre la réglementation des changes et celle de la réglementation des marchés publics au Maroc…………………...37 I) Généralité……………………………………………..37 II) Le cas de l’ONCF……………………………………….41 III) Solutions proposées……………………………………..42 Conclusion……………………………………………………

Le droit commercial marocain Introduction : L’introduction du droit commercial consiste à étudier les différentes matières qui figurent dans le dahir n 1-96-83 de la 1/8/1996 portante promulgation de la loi n 15-95 formants de code de commerce. Le code de commerce marocain adapter par la loi 15-95 constitue le texte fondamental il est divisé en cinq livres qui régissent : Le commerçant (livre 1), Le fond du commerce (livre 2), Les effets de commerces (livre 3), Les contrats commerciaux (livre

obligatoires :……………64 Ss 1 : la typologie des retraitements :………………………………………64 Ss 2 : Présentation des états de synthèse consolidés des banques…………80 Chapitre III: Procédure de contrôle et d'analyse des états financiers consolidés dans les groupes marocains :………..93 Section I : Utilité et limites des comptes consolidés :…………………….93 Ss 1 : La consolidation moyen de gestion et outil d’information financière du groupe:……………………………………………………...93 Ss 2 : Les comptes consolidés entant qu’instrument

Section 2 : Pourcentages de la consolidation……………………....27 Section 3 : Etapes de la consolidation……………………………...30 Chapitre 3 : Analyse comparative de la consolidation entre les normes IFRS et les normes marocaines……………………………..32 Section 1 : Principales divergences entre la CNGC et les normes IFRS………………………………………………………………………….32 Section 2 : Impact des divergences des principes et méthodes comptables sur le processus de consolidation……………………………………………34

Présentation de la Direction Comptable et Financière 4.1 Organisation interne 4.2 Services 4.3 Systèmes informatiques de gestion comptable Partie II : Travaux effectués Section 1 : Service comptabilité fournisseurs Section 2 : Service comptabilité clients Section 3 : Services trésorerie Section 4 : Service comptabilité générale 2|E N C G K é n i t r a - R a p p o r t d e s t a g e à l a R E D A L d u 1 a u 3 1 Juillet 2014 Sommaire Partie III : La Gestion de la Trésorerie au sein de la REDAL Introduction

de la restauration rapide qui exige un haut niveau de qualification professionnelle. Le rapport qualité/prix entre aussi en ligne de compte. Les prix pratiqués par certaines enseignes qui ont fermé récemment ne s’adaptent pas au pouvoir d’achat du client. Enfin, cette niche d’activité exige des investissements capitalistiques importants. A titre indicatif, Mc Donald’s investit entre 12 et 15 millions de DH pour l’ouverture d’un restaurant. Au-delà de ces facteurs spécifiques à la restauration

distinguer entre un but (souvent chiffré : produire 1000 unités), un objectif (exprimé en termes généraux : développer la production) et une finalité (exprimée en mission : contribution au développement du secteur)... Enfin l’entreprise est un système. L’approche systémique de l’Entreprise repose sur la théorie des systèmes (du biologiste américain Van Bertalanffy) qui essayait d’expliquer le fonctionnement de certains phénomènes biologiques complexes en tenant compte des relations entre éléments

éducatif marocain est devenu la deuxième priorité nationale après l’intégrité territoriale, de ce fait, le gouvernement a mis d’importants moyens pour accompagner la réforme de ce système. La maitrise de ses dépenses dans l’atteinte des objectifs escomptés reste un vrai problème non résolu jusqu'a présent. L’intérêt de cet article est de contribuer à cette réforme par l’intégration de la fonction « contrôle de gestion » dans la gouvernance du système éducatif. Dans ce contexte marocain marqué