Diffusion De L Humanisme

d'écritures : au XIe siècle et XIIe siècle, les manuscrits étaient retranscrits par des moines dans les scriptoria. D'autre part, la langue employée dans les manuscrits était le latin. Les universités disposaient d'un quasi-monopole dans l'éducation et la diffusion de l'information. Les puissantes universités de Bologne, de Paris, de Salamanque, d'Oxford, et de Cambridge, étaient seules habilitées à diffuser le savoir, selon les méthodes éprouvées de la scolastique. Le droit était l'une des principales disciplines

d'uti¬lisateurs dans plus de 200 pays. Ce phénomène massif est généralisé, mondial, et dépasse" les clivages habituels des classes sociales ou même du niveau de développement des pays. Ainsi que le souligne Milad Doueihi, dans son essai Pour un humanisme numérique, publié en 2012, le partage et les échanges sont donc généralisés au monde entier, et le réseau unique concentre ainsi les identités comme les cultures. Ce phénomène tend à gommer la diversité au profit d'une forme de globalisation.

moral et religieux III. Un esprit nouveau pour 1 homme nouveau g. Contexte favorable h. Renouveau scientifique/ Culturel i. (La science  désormais accessible) I. A. - Date : 17 Mars - Lieu :Utopie (cf T. More humanisme ?) - Signature - « Mon fils » l.61 affection/lien familial - Formule religieuse Annonce d’une nouvelle importante compte tenue de la distance entre Paris et Utopie ; B. - implication de Gargantua par la 1ère personne du singulier : « je »

Budé et se poursuit avec des groupes enthousiastes formés de gens de robe, de moines (Rabelais) ou d’officiers de la couronne. Du Bellay les Estienne, ou Étienne Pasquier auront à cœur de valoriser la langue « vulgaire ». Article détaillé : Humanisme au XVIe siècle. Château de Chambord Botticelli Au XVIe siècle, la France se construit autour du pouvoir royal qui œuvre à unifier la langue française avec le rôle déterminant joué par François Ier. Sa protection des savants, des écrivains

en question de l’Eglise « omnisciente » mais pas Dieu et la création Elargissement du monde : III. HUMANISME, RENAISSANCE, REFORME ET CONTRE-REFORME A. Humanisme, conscience des temps nouveaux : I) Nouvelle vision du monde : - Copernic et Galilée : Héliocentrisme -André Vésale (dissection) -L’Italien Luca Pacioli : math

------------------------------------------------- Thème 1 : Humanisme et Renaissance A la fin du moyen-âge, l’Europe connaît une nouvelle vitalité intellectuelle et artistique. Les savants, les artistes et les écrivains rompent avec le modèle médiéval et s’intéressent aux œuvres de l’Antiquité grecque et romaine pour les perfectionner. Une immense soif de savoir les stimule pour connaître l’Homme et le monde qui l’entoure. Problématique générale : -Comment se manifeste ce foisonnement intellectuel

d'utitlisateurs dans plus de 200 pays. Ce phénomène immense est mondial. Milad Doueihi dit : Les échanges et le partage sont donc généralisés au monde entier. Le réseau unique concentre ainsi les identités comme les cultures. Dans son essai Pour un humanisme numérique, publié en 2012. les réseaux sociaux efface la diversité au profit d'une forme de globalisation. Nous n'avons plus les mêmes rapport qu'auparavant avec les réseaux sociaux. J. Betout montre qu'il y a beaucoup de partage. Pour le seul

croyances partagées par les différents acteurs de l’entreprise qui apparaîtront dans les discours des dirigeants, les supports de communication écrits ou visuels etc. (le site Internet du groupe Danone définit quatre valeurs : ouverture, enthousiasme, humanisme, proximité) ; – le métier de l’entreprise : pour Darty, ce sera le service après-vente ; – les mythes : ils sont issus de son histoire ; ce peut être des personnes (Steve Jobs, Alain Afflelou, Bill Gates…) ou des périodes particulières de la vie

Ils prônent la vulgarisation de tous les savoirs, cet humanisme vise à diffuser plus clairement le patrimoine culturel, Cependant l’individu, correctement instruit, reste libre et pleinement responsable de ses actes, Les notions de liberté (ce que l'on appelle le « libre arbitre »), de tolérance, d’indépendance, d’ouverture et de curiosité sont de ce fait indissociables de la théorie humaniste classique, Par extension, on désigne par « humanisme » toute pensée qui met au premier plan de ses préoccupations

solidement appuyé sur des cartes et d'un ensemble d'images affirmant son identité visuelle et culturelle. est fréquent de dire que durant la Renaissance, on s'intéressa de nouveau à l'Antiquité, ce qui accompagna le mouvement intellectuel de l'« humanisme »4. En fait, l'Antiquité n'était pas inconnue au Moyen Âge : • La culture antique était conservée bien avant le XVe siècle par Isidore de Séville, Bède le Vénérable…, • Platon était déjà connu à la cour de Charlemagne (même si celui-ci avait des