Différence Entre La Théorie Keynésienne Et Néo Classique

chômage = ChômeurPopulation active le taux peut baisser quand : on change l’âge légal d’entré et de sortie, quand on est radié des liste. Exemple :Pop active de 1000, 150 chômeurs = 15%Sur les 1000 actifs, 100 actifs ont entre 16 et 18 ans : parmi les 150 chômeurs, 50 ont entre 16 et 18 ans (taux de chômage : 50%). Modification de l’âge légal à 18 ans, mécaniquement la population est amputée de 100 personnes. Donc 900 actifs au lieu de 1000. Le nombre de chômeur est amputé de 50 personnes. Le taux

relatif recul de l’Etat dans les années 80 qui résulte du développement d’un courant libéral (diffusion des idées importantes keynésiennes qui orientent la politique), remise en cause des politiques conjoncturelles (Friedman qui impose sa politique monétaire). Les années 90 traduisent un renouveau théorique. Les auteurs se regroupent dans une nouvelle macroéconomie classique. Certaines dépenses de l’Etat ont une influence positive sur la croissance, justifient l’intervention de l’Etat, et la valorise

l’économie devient la science de richesses des nations. Elle est basée sur les échanges marchands. Mais elle devient peu à peu la science des choix efficaces. Lionel Robbins à dit : « L’économie étudie le comportement humain en tant que relation entre les fins et les moyens rares à usage alternatifs ». Les besoins sont donc le moteur de l’économie. Mais les besoins sont illimités. On les distingue d’ailleurs en 2 groupes : * Besoins fondamentaux (manger, boire, s’habiller,…) * Besoins

(une unité de monnaie=1€) # Si on a M marchandises, on peut échanger que si on connait la valeur relative de chaque marchandise, la valeur relative d’un bien 1 par rapport à un bien 2, mais aussi d’un bien 2 contre un bien 3... Cela fait appel à la théorie de la valeur. Le prix relatif dépend du coût de production (nombre d’heures de travail nécessaires par exemple). # Si on ne connait pas la valeur relative d’un bien, alors on écartera ce bien. Il faut des prix relatifs. Sans monnaie, on ne peut échanger

economique Introduction 3 approches à la pensée économique : * Matérialiste * Idéaliste * Epistimologique 1) Matérialiste : - Théories ne sont le fruit que des circonstances concrètes dans lesquelles elles sont apparues. - Une idéologie qui aboutit à une production scientifique. - Il sous entend un véritable déterminisme de la théorie, et donc de relativisme : la société se transforme et la société suit. 2) Idéaliste : - « L'éthique protestante et l'esprit du Capitalisme

concepts peuvent se définir de la manière suivante Tout d’abord les politiques néolibérales sont des politiques actuelles ayant une connotation péjorative désignant tout à la fois une idéologie, une vision du monde, des modes de gouvernement, des théories marquant un renouveau et une radicalisation du libéralisme sous forme actuelle du capitalisme. Le mouvement altermondialiste est un mouvement social hétérogène de contestation de la mondialisation et du capitalisme qui revendique un ensemble de

------------------------------------------------- Le cout de production =consommation intermédiaire + rémunération des salariés+ amortissement du capital + Impôts liés à la production 2) Différence entre travail et emploi : Très souvent on assimile emploi et emploi salarié, ce qui est faux. 10% des emplois sont non salariés. La grande différence est la suivante : L’emploi est un travail rémunéré. Donc tout travail non rémunéré n’est pas considéré comme un emploi. L’idée est qu’un emploi doit permettre d’obtenir

mettre en relief, avec le rôle décisif de ce méta-capital, l'importance des jeux financiers, de les périodiser, mais sans, le moins du monde, en faire une finance parasitaire qui amoindrit les capacités de croissance. Le pire serait de distinguer entre le "bon" industriel et la "mauvaise "finance" qui au mieux se contente de tondre les coupons, au pire se fait vampire qui boit le sang du capital productif. Ces trois niveaux ne sont pas empilés dans cet ordre, le méta-capitalisme venant couronner

matières I. Préambule 1 II. Partie 1 : Évolution des structures industrielles, dynamique des marchés et nouveaux modes de régulation de la concurrence. 6 A) Approches modernes du rôle de l’Etat : les apports du « market failure ». 10 B) Théorie de la croissance endogène : une réhabilitation de l’Etat comme producteur d’externalités positives par le biais de politiques structurelles. 14 III. Partie 2 : Quelques illustrations des développements précédents dans les domaines de l’EERN, de

des politiques monétaires qui, comme leur qualificatif l'indique, privilégient les outils liés à la monnaie et à la distribution du crédit. Ce retour est largement lié au retour en grâce des théories néo-libérales. Celles-ci, en effet, contestent l'efficacité des politiques induites par la théorie keynésienne auxquelles elles attribuent volontiers les difficultés rencontrées depuis le début des années 1970 par les grandes puissances industrielles. C'est, notamment, le cas du courant monétariste organisé