Différence Marx Sartre

nous procure une vie heureuse. Hegel : La philo est la forme supérieure de l’esprit absolu Noualis : la philo est propre parler de nostalgie, inspiration à être partout chez soi. Beckson : la scientificité humaine du divin relative de l’absolue Marx : c’est contenté de penser le monde, mtn il faut le transformer 1) Réflexion personnelle. Formation à l’esprit critiqué Méthode de penser rigoureuses permettant une autonomie 3moments : la dissertation (prblm : ce qui fait le prblm dans le sujet) ;

l’injustice et par impuissance de commettre impunément l’injustice. Si c’est l’intérêt parle, alors la justice n’est-elle pas que la crainte de subir l’injustice ? La conscience n’est plus cette conseillère car non lucide. ( cf. la psychanalyse) Sartre ( L’Etre et le néant, I, 2, B ) l'attitude de celui qui se cache sa liberté. La conscience assure conjointement le rôle de trompeur et de trompé, mauvaise foi quand on se convainc de son bon droit contre toute évidence. Donc la conscience n’est pas

formative de l'évaluation 5. Principes philosophiques et pratiques pédagogiques d’aujourd’hui 5.1. Quelques pistes 5.1.1. Hegel : dialectique contradictions à surmonter 5.1.2. Marx (1818-1883) , le travail, l’outil et l’humain 5.1.3. Merleau-Ponty (1908-1961) : dialogue, intersubjectivité et situation, langage 5.1.4. Sartre (1905-1980) : existence/essence, projet, liberté, responsabilité 5.1.5. Habermas (1929) : rationalités instrumentale et communicationnelle, intersubjectivité 5.1.6. Deleuze-Guattari

nécessairement juste ? 3 3.L’équité : un mécanisme correcteur de la justice légale 3 III. La justice comme finalité politique et sociale : l’injonction pratique d’une réconciliation du juste et du légal 3 A. Justice et égalité 3 1. Egalité, identité, différence : travail de distinction 3 2. Inégalités naturelles et inégalités sociales : 3 3. Egalité arithmétique et égalité géométrique : 3 B. Les droits de l’homme et du citoyen : 3 1. Quel est « l’homme » des « droits de l’homme » ? 3 2.Quels sont ces droits

produite par les sociétés ; politiques auraient pu évoluer vers direction plus égalitaire (égalité-uniformité) par des mesures d'égalité-différence (parité, quotats, discrimination positive..) => spécialisation des rôles n'est plus concue comme naturelle au sens ou elle proviendrait de l'inégalité naturelle des groupes mais elle est naturalisée => quand ma différence biologique est culturalisée comme position de minorité sociale, politique et juridique (gender gap). Guillaumin parle de « rapport de

(intérieur) et le monde intelligible (extérieur). Les rationalistes et les idéalistes (Platon, Descartes, Kant…) estiment que la pensée a nécessairement plus d'existence que ce que nous percevons. Les empiristes, sophistes et matérialistes (Hume, Locke, Marx, Épicure…) estiment quant à eux qu'il n'y a pas de vérité absolue : nos sens prédominent sur notre pensée. Platon met en scène un sophiste imaginaire appelé Calliclès, qui va beaucoup plus loin que les sophistes : il jette toute morale par-dessus bord

Le problème est de distinguer les vrais plaisirs des faux désirs. Définition, problématisation. Le désir peut d’abord être saisi dans sa relation avec le besoin, même si l’apparente synonymie des deux termes rend la tâche difficile. Quelle différence entre avoir soif et désirer un verre d’eau ? Une première ligne de partage possible est celle de la nature et de la culture. Le besoin en effet se comprend comme nécessité naturelle, alors que le désir est culturel : j’ai soif, c’est-à-dire besoin

objet suprasensible qualifié de postulat de la raison pratique. Pour qu’il y ait des relations sociales, il faut un minimum de solidarités (sans la connotation syndicale du XXe), solidarité organique. Solidaire veut dire : tenir ensemble. Quelle différence entre le monde de la modernité et celui de Kant ? Dans le mot postulat. Jusqu’au début 18ème siècle, l’absolu est non seulement supposé mais démontré. La théologie chrétienne tente de démontrer l’existence de dieu. Pour Descartes le divin est donné

vient de la matière 24 b. Le mal vient des créatures (libre arbitre) 24 c. Dieu n’est pas cause des détails 25 Conclusion 25 C. L’aliénation religieuse (Marx, Nietzsche, Freud) 26 1. Paradoxes éthiques et esthétiques 26 2. La religion est un instrument d’aliénation et de domination sociales (Marx) 26 3. La religion est négation de la vie (Nietzsche) 27 4. La religion est la névrose de l’humanité (Freud) 29 III. La fin de la religion ? 29 A. « Dieu est

L’humanisme va essayer de recentrer le monde, le savoir autour de l’homme, c’est la philosophie qui va considérer que l’homme est métaphysiquement libre. Ce qui définit l’homme c’est sa capacité à se détacher de tous les déterminismes. Au XXème siècle, Sartre reprend cette idée dans une conférence « l’existentialisme est un humanisme », « l’existence précède l’essence » le fait de vivre est une réalité plus importante que le fait d’avoir une hypothétique nature qui nous obligerait à nous comporter d’une