Digression

| |1- Erreurs de compréhension : faux-sens, contresens. | |2- Commentaire - digression - extrapolation, voire hors sujet. | |3- Lacunes : | |           

hugolien n’est pas un « divertissement » : il est — presque toujours — au service du débat d’idées. On l’a vu avec les romans abolitionnistes de sa jeunesse, on le voit encore dans sa maturité, à travers de nombreuses, et parfois envahissantes, digressions sur la misère matérielle et morale, dans Les Misérables. Ses héros sont, comme les héros de tragédie (le dramaturge n’est pas loin), aux prises avec les contraintes extérieures et une implacable fatalité tantôt imputable à la société (Jean Valjean

Il « Reproduit à la lettre », ce qu'il entend. En second lieu, comme nous l'ont dit Laura, Marie et Manon, 4 motifs s'entrelacent dans Jacques le Fataliste,: Le voyage picaresque ; Le récit discontinu fait par Jacques de ses amours les digressions les commentaires du narrateur . Donc, le thème du Voyage est à noter comme étant le premier but affiché du roman. Mais, l'action véritable ne réside pas dans celui-ci, mais dans les Amours de Jacques. De même, comme nous ont-elles dit, le

essaie, dans le premier temp de determiner le statut hierarchique et relational des actes qui constituent la sous-conversation on observe ce qui suit. “Sur le plan formel la narration, sous-conversionnelle se présente proprement comme une digression, ou une amplification(….)Sur le plan de sa valeur, elle joue le role d’une traduction: elle translate dans un autre register de langue á travers des schemas comparatives et métaphoriques qu’il faut decrier, certains mots nodaux de la conversation

de Clèves, Mme de Lafayette extrait 3 : « Ce qui paraît... » Le point de vue énonciatif et la dimension argumentative du récit Histoire de la duchesse de Valentinois est racontée par Mme de Chartres à sa fille dans un récit qui forme une digression par rapport à l'intrigue principale et se retrouve justifiée par rapport à l'intrigue principale par l’étonnement de Mme de Clèves et par les questions qu'elle pose à sa mère. On peut donc penser que ce récit aura une visée éducative et une fonction

aspect apparemment désordonné à la progression du récit qui se limite à des associations s d’idées ou à des dialogues avec le lecteur. Il démontre en réalité l’éblouissante liberté d’écriture de Diderot, qui privilégie les interrogations, les digressions, l’ambigüité, les ruptures du récit. Moderne par sa construction et original pour sa technique, Jacques est traversé par une interrogation fondamentale toujours en vigueur l’homme est-il en mesure d’infléchir son destin pour affirmer sa liberté

précis, dans son œuvre prend forme le projet toujours inachevé d'un texte qui tente de parvenir à la claire conscience d'elle-même. C'est ainsi qu'il reviendra plusieurs fois sur son manifeste. Il effectua un premier retour en 1919 avec Note et digression puis un deuxième retour en 1929 dans une lettre à Léo Ferrero (philosophe qui se forma dans les années 20 à Paris et très apprécié de Valéry) qui s'intitule Léonard et les philosophes (dont le texte est extrait). Il y démontre que l'imagination

(mise en évidence de l’essentiel) * Analyser chaque étape : souligner les idées directrices et les expressions clefs qui mettent en évidence chaque argument, mettre entre crochet ce qui ne doit pas être retenu (exemple illustratif, image, digression) mais conserver un exemple-argument. * Schématiser le plan du texte : délimiter les différentes articulations logiques et reformuler les arguments. III- Rédaction du résumé Pour bien réussir la rédaction du résumé, on doit : 1. Relire

à l’image d’une séance de méditation, un flux de pensées brut. Il est mélange de réminiscences, observations, sensations, sentiments. On erre avec l’écrivain entre les lignes de son récit qui, parfois, paraissent décousues. On est perdu par ses digressions, à l’image de l’auteur qui s’égare dans sa tête. On assiste alors à la création d’un “chaos”, qui est pourtant plutôt construit. Et en effet, l’authenticité du livre vient sûrement de l’étalement de ce flux de pensées sur les pages. Ces pensées

conseillers et d’adjuvants. Comme Tiresias, intermédiaire entre les Dieux et les humains, vient mettre en garde Ulysse. - Les qualificatifs tout comme la description des lieux mettent en avant la triste condition des morts, comme on le voit aussi avec la digression de la mer d’Ulysse : «Les nerfs ne tiennent plus, ni les chairs ni les os ensemble, mais la force du feu qui se consume les détruit aussitôt que la vie a quitté les ossements blancs ; l’âme, elle, comme un songe, s’est enfuie à tire d’aile». - Aussi