Digue

fatidiques de fin janvier 1910, rappelons un accident spectaculaire qui s’est déroulé dans le sud du département, un évènement prémonitoire ? L 'ACCIDENT DE LA DIGUE DE CHARMES OCTOBRE 1909 Les inondations de janvier 1910 ont été précédées quelques semaines auparavant d'une autre catastrophe : l'effondrement partiel du barrage de la digue de Charmes près de Langres. Il est peu probable que son bon état de fonctionnement ait pu avoir un impact quelconque sur une crue majeure (au mieux quelques millimètres

appartenant à Guénin descend le canal de Saint-Quentin, chargé et placé du côté du halage, conformément au règlement du 8 décembre 1856. A une date inconnue, le Saint-Léonard appartenant à Walbrecq remonte le canal de Saint-Quentin vide, rangé contre la digue du halage conformément à l’usage maritime. Les deux bateaux rentrent en collision, sur le canal Saint-Quentin sur le côté du halage. II. Procédure : A une date inconnue Mr Walbrecq demandeur assigne Mr

Le premier, spectaculaire et médiatique, se produit lorsque la digue cède, causant une pollution dramatique en aval. Six accidents majeurs de ce type ont eu lieu depuis 1991. Le deuxième, se manifeste par suintements continus d’eaux acides et/ou d’éléments toxiques vers les eaux de surface et souterraines. A mesure que l’on exploite la mine, les bassins de rétentions se remplissent et la solidité et la perméabilité de la digue sont difficile à garantir. Du fait d’un manque de législations

m/zh. Le port fut officiellement ouvert au commerce en 1931 et recevait l’escale du courrier hebdomadaire de Sebta et Melilia et des navires de marchandises (35 000 T/an). Depuis lors, ce port a fait l’objet d’extensions successives  : 1947 (contre digue reliant les 3 rochers), 1969 (le môle de pêche et la halle), 1997 (une jetée de 550 ml), 2005 (mise en service de 2 quais pour voyageurs à -7 m/zh), 2007 (inauguration de la gare maritime). En 1956, le cabotage de carburant (8 000 T/an) et de ciment

ETUDES DES RETENUES COLLINAIRES SOMMAIRE I. Introduction II. Étude de faisabilité II.1 - Choix du site II.2 - Recherche des données II.2.1 - Bassin versant II.2.2 - Données meteorologiques II.3 - Levé topographique II.3.1 - Levé de l'axe de la digue II.3.2 - Levé de la cuvette( courbe H / V) II.3.3 - Levé du lit de l'oued II.3.4 - Levé de la zone du déversoir II.4 – Transport solid II.5 - Étude géotechnique III - Dimensionnement des ouvrages III.1 - Côte de la buse, évacuateur intermédiaire (Hb)

capacité de rétention de l'eau suffisante. Photo 3 : Système d’épandage de l’eau * III.3. Ifred ou digue pour retenue d’eau Il s'agit de la réalisation d’obstacles construits pour retenir les eaux des pluies: digue en terre, en maçonnerie ou en béton construite à travers un talweg (Ifred dans le souss ou bassin ailleurs). Photo 4 : Retenue d’eau pluviale au sud du Maroc (Ifred), la digue est en béton * III.4. Lacs collinaires: Il s’agit des petits barrages, constituant aujourd’hui

célérités de l'onde avant et après déviation. Ainsi avec cette méthode, on peut facilement déterminer l'amplitude de la houle. Ce calcul se termine lorsque la houle arrive très près du rivage et s'apprête à déferler ou lorsque elle rencontre un obstacle (digue, constructions navales …). En effet la distance entre deux orthogonales est constante sauf si l'onde subit un des phénomènes expliqués dans ce TPE (réfraction, diffraction). Lors de la réfraction, si elles se rapprochent, le volume d'eau compris entre

village de Gallé. Il s’agit précisément de construire une nouvelle piste et de réaliser quelques ouvrages d’arts : o Terrassement ; o Rechargement latéritique pour couche de roulement ; o Réalisation de radiers en béton armé et en gabion, o Réalisation digue et fossé latéral La réalisation de ce micro projet permettra un désenclavement du village de Gallé ainsi que l’accessibilité des autres villages à son marché afin d’amélioration les conditions de vie des populations a travers l´accès aux débouchés

s’inquiète également du sort du lac Tanganyika. Ce lac qui se trouve entre la République Démocratique du Congo, le Burundi, la Tanzanie et la Zambie a besoin de la reconstruction d’une digue. En effet depuis une digue a été construite il y a plus de 70 ans par les Belges, mais aujourd’hui il n’en reste plus grand-chose. Cette digue permet de maintenir le niveau de l’eau. Le COMESA a la volonté de faire avancer les choses pour la population de ces pays. Instaurer une nouvelle façon de penser en respectant

réalisés depuis sont un pont-passerelle, une digue-route et un nouveau parking. 6- L’État, la région et l’Union européenne souhaitaient réaliser ces aménagements pour ralentir l’ensablement du mont, en restaurant les courants marins de la baie (préserver le Mont). 7- Les commerçants du site pensent que la trop longue distance à effectuer à pied pour se rendre au Mont fera chuter la fréquentation touristique. Parking et route d’accès Pont-passerelle, digue-route, nouveau parking Région, État, Union