Dilemme Amour

Judée Bérénice, qui sacrifient leur amour « malgré lui et malgré elle » à laraison d’Etat ». Ainsi, l’extrait de la scène 5, de l’ace V « non, je n’écoute rien….et vous me l’ordonnez » (v. 1303 – 2347), dont je ferais le commentaire marque la prise de conscience de Bérénice, qui assume désormais la décision de Titus et qui, dès lors, est prête à s’en aller.L’étude de cet extrait soulignera la situation à laquelle sont confrontés les deux amants : le dilemme entre Amour et Etat ; puis nous mettrons en

doutes. Puis dans une deuxième partie, nous allons prouver que cette scène est une scène d'aveux et de dénouement. Cette scène est pleine de souffrances, de doutes et d'incertitude. C'est une scène sous haute tension. Araminte est face à un dilemme, elle doute et manque d'assurance. Au début de cette scène, Araminte a pour intention de renvoyer Dorante. Mais elle doute, elle est incertaine, elle n'a aucune assurance. Elle le dit elle même en aparté au public : « (à part) Ah! Je n'ai guère plus

G… M… en jouant le rôle du frère cadet de Manon. [Projet de lecture : Quoi ?] Des Grieux se livre ici à une réflexion douloureuse, interrompant son récit de l’action, comme il le fait souvent, pour examiner sa situation et tenter de résoudre son dilemme: s’il accepte la proposition de Lescaut il se rendra complice de la supercherie; s'il refuse, il perdra Manon. [Comment ?] Cette rêverie est faite d’un jeu de perspectives contradictoires qui soulignent à la fois son âme partagée, l’énorme distance

moi nous vivrons d’un amour fusionnel, Tu es mon idéal, mon essentiel, Aussi jolie, aussi belle, aussi exceptionnelle, Je t’aimerai comme les abeilles aiment le miel. Comment exprimer cette émotion ? Que je définirais comme une passion Qui m’envahit de frissons. Comme Bonnie et Clyde nous formerons un beau tandem, Dans mon cœur, je n’ai qu’un seul thème, Celui de te dire… je t’aime. B. Bradley. J’ai tellement lutté. J’ai tellement lutté, Pour que notre amour puisse subsister, Que

véritable dilemme. Pyrrhus tente d'emporter la victoire sur Andromaque rejetant sur elle toute la responsabilité d'un choix tragique. Nous étudions dans cette scène la stylistique de la persuasion qui caractérise PYRRHUS. Extrait: Scène 7 de l'acte III, cette tirade de Pyrrhus ne laisse place à aucune possibilité de réponse immédiate de la part d'Andromaque. Elle cristallise l'alternative à laquelle la veuve d'Hector est maintenant sommée de répondre. Or, ce choix est un véritable dilemme : sau

rapidement dans la tirade : « D’un sang qu’elle poursuit » v. 278. Phèdre met au compte d’une filiation maudite l’échec de son appel à Vénus et elle « [reconnaît] Vénus et ses feux redoutables » dès qu’elle ressent les premières manifestations de son amour. En effet, le sang poursuivit par Vénus est une référence à la mère de Phèdre, Pasiphaé, qui s’unit à un taureau. Cette union monstrueuse évoque pour Phèdre et pour le lecteur, l’amour incestueux qu’elle éprouve pour le fils de son mari. De même, ce

Bérénice, qui sacrifient leur amour « malgré lui et malgré elle » à la raison d’Etat ». Ainsi, l’extrait de la scène 5, de l’ace V « non, je n’écoute rien….et vous me l’ordonnez » (v. 1303 – 2347), dont je ferais le commentaire marque la prise de conscience de Bérénice, qui assume désormais la décision de Titus et qui, dès lors, est prête à s’en aller. L’étude de cet extrait soulignera la situation à laquelle sont confrontés les deux amants : le dilemme entre Amour et Etat ; puis nous mettrons en

Tout d’abord nous étudierons les sentiments confus d’Hermione, puis nous travaillerons sur l’image, qui nous ait donnée, de Pyrrhus. Dans un premier temps, nous étudierons l’état psychique d’Hermione, sa confusion, et le dilemme auquel elle est confrontée. Premièrement, le monologue d’Hermione est en fait un dialogue avec elle-même, elle nous transmet donc ses pensées confuses comme en témoignent les questions qui ouvrent le texte : « Où suis-je ? Qu’ai-je fait ? Que

balance Tant de pleurs, tant d'amour, tant de persévérance, Rome sera pour nous... Titus, ouvre les yeux ! Quel air respires-tu ? N'es-tu pas dans ces lieux Où la haine des rois, avec le lait sucée, (1015) Par crainte ou par amour ne peut être effacée ? Rome jugea ta reine en condamnant ses rois. N'as-tu pas en naissant entendu cette voix ? Et n'as-tu pas encore ouï la renommée T'annoncer ton devoir jusque dans ton armée ? (1020) Et lorsque Bérénice

avec son amant Titus qui ce dernier se trouve dans un dilemme entre l'amour et son honneur. Comment l'auteur met-il en avant la communication difficile entre Bérénice et Titus et le tragique de cette situation ? Dans ce passage, nous allons tout d'abord voir comment l'auteur montre la volonté de partir de Bérénice ainsi que l'ironie, l'amertume qu'elle porte envers Titus. Nous allons ensuite étudier la difficulté de leur dialogue et leur amour impossible. Et enfin le tragique de la situation.