Dilemme Inflation Chômage

financement ne peuvent plus financer leur activité ni sur les marchés financiers ni auprès des institutions financières. Une fois le canal du crédit touché, un cercle vicieux est enclenché, puisque le ralentissement économique se traduit par une montée du chômage, puis un ralentissement de la consommation des ménages, qui pèse à son tour sur l’activité des entreprises. II. Des « subprimes » à la récession mondiale : un exemple de crise systémique (2008-2009) La chronologie de la crise qui a touché l’économie

accabler celles-ci d’impôts excessifs ni décourager les initiatives. Les pouvoirs publics devraient : encourager des politiques actives et mettre en place les conditions essentielles pour résoudre le problème le plus préoccupant de nos sociétés : le chômage, endosser un rôle plus énergique dans le développement de politiques actives concernant le marché du travail, tirer parti des bouleversements profonds que connaissent à l’heure actuelle les modèles traditionnels d’emploi et d’organisation du travail

la tendance est la même aux USA. De quoi dépend le taux de chômage? On voit que la tendance n’est pas la même aux USA qu’en Europe. Les USA ont eu la capacité de faire redescendre leur taux de chômage dès la sortie de la crise, à la différence de l’Europe qui voit son taux augmenter aussi vite qu’aux USA mais qui ne redescend pas aussi vite et qui reste globalement autour de 8-9% pour les 30 dernières années. Pour lutter contre le chômage nous avons des méthodes conjoncturelles (politiques monétaires

sphère de la production qu'entre les capacités productives et les possibilités d'absorption des marchés. Par la baisse des prix industriels et l'effondrement des profits, ces crises de «  surproduction » entraînaient l'accumulation des stocks et le chômage. Elles se communiquaient rapidement entre les pays industriels tout en affectant aussi, indirectement mais durement, les pays non industrialisés qui étaient intégrés à l'économie internationale par leurs échanges commerciaux ou financiers. Elles paraissaient

1973-1974, 1979), marquée par la conjonction de l’inflation et du chômage, entraîne un retour des thèses libérales, les pratiques monétaristes. En réaction à la théorie keynésienne et à la montée de l’inflation dans les années 70, les monétaristes, en la personne de Milton Friedman, chercheront à réhabiliter la théorie quantitative de la monnaie. Partant de la courbe de Phillips, qui montre une relation empirique inverse entre le taux de chômage et le taux d’inflation, Edmund Phelps -1967) et Milton Friedman

conduits au bord d’une dépression mondiale majeure. Le pire a été évité grâce à des politiques budgétaires et monétaires non orthodoxes, mais les travailleurs dans le monde continuent de payer le coût de l’échec de cette politique avec la montée du chômage et du travail précaire, les réductions de salaires et des prestations sociales, les coupes sévères dans les services publics, pour ne citer qu’un petit nombre des éléments. Pour ajouter l’insulte à l’outrage, ces mêmes politiques économiques qui ont

décider de rendre publiques ses recommandations. Ce fut le cas en 2000 pour l'Irlande : malgré un excédent budgétaire de 4% du PIB, le Conseil a considéré que sa politique budgétaire n'était pas suffisamment restrictive face à une inflation supérieure à 5% et un taux de chômage à 4%. Cette décision a lourdement été critiquée par les dirigeants des différents états insistant sur le fait que l’Irlande ne représente que 2% du PIB de la zone, et que ce pays ne fait alors déraper l'indice des prix agrégé de

est en difficulté. Par ces différentes fonctions, elle joue sur les grandes indicateurs réels et monétaires de l’activité économique, pouvant être définie par le « carré magique «  de N. Kaldor – taux de croissance annuel, taux d’inflation, taux de chômage et équilibre des comptes extérieurs). Ainsi, par son action sur les taux d’intérêt de court terme, sur le taux de change et sur le taux de croissance de la masse monétaire, la Banque Centrale peut effectivement influencer l’activité économique.

Board est abandonné suite à des sorties massives de capitaux, une contraction du crédit et une suspension de l’activité bancaire. Dès lors le peso est dévalué de 400%, la crise a eu des effets colossaux sur les indicateurs macroéconomiques (inflation, chômage, production etc.). A la suite du choc l’Argentine parvient toutefois à imposer à nouveau le peso comme monnaie nationale. ! • La crise des subprimes 2008 Elle est considérée comme la plus grave depuis celle de 1945, elle a pris sa source

1ère crise le 11 janvier 1923 : Allemands forcés de payer leurs dettes de guerre par les français ⎝ engendre hyper-inflation + augmentation du chômage ⎝ touche les fonctionnaires + bourgeoisie - nouvelle monnaie = le Rentenmark en 1923 ⎝ stabilité des prix ⎝ inspire confiance. - âge d’or de la République : 1924-1929 - 2ème crise : crise de 1929. Allemagne très touchée : taux de chômage = 25% montée des partis extrémistes : communisme & extrême droite (avec la poussé nazi) ⎝ expression des classes