Dilemme Inflation Chômage

même chose à leurs citoyens. Pour Sen, il existe aujourd’hui une responsabilité sociale qui finalement résume toutes les autres : c’est celle de la liberté individuelle (développée plus haut). La liberté de participation est en fait au centre du dilemme social dont il est question. En effet, vu que les différents groupes n’ont pas les mêmes priorités, il est essentiel que tous participent et interagissent afin que cet exercice de jugement qu’est le fait d’établir des priorités soit le plus juste

craint une chute du PIB. En 2010 les français espèrent une « sortie de crise » (facteurs externes et internes). On observe une légère augmentation de l’emploi. Mais si l’on reste attentif le déficit n’a pas disparu : la dette publique et le taux de chômage sont toujours assez élevés. De plus, les chocs financiers et immobiliers causés depuis 2008 ont été particulièrement violents. En 2011 les français subissent un « frein à la croissance ». Des politiques de rigueur sont mises en place. Avec l’envolée

sa plongée entamée en 2007 et, aux États-Unis, les maisons ont perdu environ 15 p. 100 de leur valeur en moyenne. Ce repli a provoqué un ralentissement de la consommation des ménages et un fléchissement de l'investissement résidentiel. Le taux de chômage s'est envolé, à plus de 6,5 p. 100, un niveau jamais atteint depuis 1993. Notamment, des destructions massives d'emplois, à hauteur d'un demi-million de postes, ont eu lieu en novembre, un record depuis la fin de 1974. Le secteur automobile américain

décent a toutes les personnes mais qui dans un autre sens crée des contractions de l'embauche se qui va à l'encontre de l'effet esconté. L'engagement en faveur de l'égalité et la prudence financière Dans cette partie l'auteur reprend le dilemme qui oppose l'aide aux plus démunis et la rigueur financière. Sen oppose les deux valeurs. Il y a d'un coté la resposabilité sociale envers les pauvres, les chômeurs, les malades et de l'autre coté le danger d'un manque de rigueur financière.

en une intervention de l’Etat dans l’économie. Pour lui la crise est due à une mauvaise répartition des richesses : il faut redistribuer (_to deal_). Réamorcer la pompe : des grands travaux créeront des emplois, faisant ainsi baisser le chômage et stimulant la production. Pour Keynes, un excès d'épargne peut entraîner la crise. Donc, seul l'état est en mesure de stimuler la demande lorsque celle-ci est insuffisante. En effet, en période de crise les agents économiques ne dépensent pas

pétrolier de 1973 et de 1980), * Augmentation des coûts financiers. La hausse des coûts va se répercuter dans les prix de revient, puis dans les prix de vente, d'où la hausse des prix (« effet de second tour de l'inflation »). On dit qu'il y a inflation importée lorsque l'on veut souligner que les hausses de couts résultent de hausses de prix qui affectent des produits en provenance de l'extérieur. L’inflation par la demande Elle apparaît lorsque la demande globale est supérieure à l’offre à

économiques de la guerre se reproduire à travers les époques historiques et locales. L'inflation Le plus cohérente effet à court terme de l'économie de guerre est de faire monter les prix, et par conséquent de réduire le niveau de vie. Cette inflation induite par la guerre a été décrite dans la Chine ancienne par le stratège Sun Tzu: «Où est l'armée, les prix sont élevés; quand les prix augmentent la richesse de la population est épuisée" (Sun Tzu, c.400 BCE) Son conseil était de garder guerres

paiements, l’argent pour les paiements importants, l’or pour les paiements internationaux. Droit de « battre monnaie » pour le roi ou les princes. * A partir du XV°s., nouveaux événements facteurs d’évolution : arrivée de métaux précieux en Europe ( inflation à cause de la quantité d’or et autres métaux en forte augmentation par rapport à l’augmentation de l’activité économique) ; constitution des états nationaux ; ouverture accrue avec les autres pays. * Gresham : « la mauvaise monnaie chasse

s’est remariée avec un des fondateurs de l’Europe, Spinelli. Eva Coloni était une militante, elle avait créé une fondation pour venir en aide aux étudiants défavorisés des Universités anglaises. Son essai présente plusieurs parties : 1 : un dilemme social , conflit entre engagement et dépense publique 2 : la responsabilité sociale s’appuie sur la reconnaissance de la dépendance mutuelle dans la société (c’est l’impératif d’E. Kant). L’esprit du capitalisme n’est pas hostile au développement

5 points de croissance tous les ans. De plus, l’autre critique également faite est le fort taux de chômage de la zone Euro comparé à son voisin britannique (9% pour la zone euro contre 5% en Angleterre en 2005). Il apparaît alors une double problématique : Cette recherche de stabilité et de lutte contre une trop fort augmentation est-elle réellement la source des problèmes de croissance et de chômage que connaît la zone euro ? Et si tel est le cas pourquoi alors souhaiter à tout prix lutter contre