Dilemme Inflation Chômage

Réponse aux paradoxes de M. de Malestroit touchant l’enchérissement de toute chose (1568) développe l’idée selon laquelle la hausse du niveau général des prix s’explique par une augmentation de la masse monétaire. En effet, selon lui, la grande inflation du 16e siècle (appelée la Révolution des prix) s’expliquerait pas l’afflux de métaux précieux en provenance du Nouveau Monde. C’est la première pierre posée à la théorie quantitative de la monnaie20. Aux 17e et 18e siècles, Locke, Hume et Cantillon

les années 80. En effet, ces bandes relativement larges3 permettaient aux pays à forte inflation d’intervenir sur le marché des changes sans avoir à subir des attaques spéculatives avant chaque réalignement. Par exemple, l’Italie, pays à forte inflation et aux marges de fluctuations conséquentes, pouvait dévaluer sa monnaie afin de réduire, en terme de compétitivité, son désavantage lié à l’importance de son inflation. Ainsi, pendant toute la décennie, tous les réalignements de la lire sont restés inférieurs

mondial:Sommet du G20 Régulation finance mondiale et reforme du SMI Politique Agricole -Echelon national:Plan de restriction budgétaire -D'autres politiques économiques -Politique de l'emploi Vieillissement démographique et équilibre du régime des retraites Chômage des jeunes et des seniors -Politique industrielle Que faire face à la désindustrialisation ? Cf Artis “La France sans ses usines “ -Politique Fiscale Augmenter la TVA ? Réformer l'IR ? Supprimer l'ISF -Politique agricole, de la concurrence, environnementale

Thème 9 La politique budgétaire, la problématique des déficits et de l’endettement Introduction Le dilemme des gouvernants modernes : La popularisation des versions simplificatrices des thèses keynésiennes (thème de « la relance ») rend politiquement coûteux pour un gouvernement de sembler rester inactif en cas de ralentissement économique. Mais, avec l’autonomisation des banques centrales, les gouvernements n’ont plus à leur main l’outil monétaire Or, la décentralisation et l’ouverture

gouvernement faisait des politiques de Stop and Go. C'est-à-dire, alternativement, une politique restrictive (baisse de l'inflation) puis une politique de relance quelque temps après, puisque la politique restrictive avait provoqué une augmentation du chômage. La relance produisant à son tour de l'inflation, le gouvernement s'appliquait ensuite à la réduire par une politique restrictive et ainsi de suite. À partir de 2013, l'utilisation d'une politique conjoncturelle pour les pays signataires du pacte

l’équation pour α en fonction de r et σ : α = r/σ, cela correspond à la propension marginale à épargner qu’il est possible de maintenir sans inflation et sans chômage. Nous pouvons donc remarquer la liaison entre ces trois variables : si deux variables sont données alors la valeur de la troisième est déterminée. En réalité, il en résultera soit du chômage soit de l’inflation. Pour pallier à ce problème, Domar fait l’hypothèse de la double nature de l’investissement. L’expression (2) est la

avoir des effets sur l’économie réelle (croissance, chômage), essentiellement en raison de l’illusion monétaire à laquelle les agents s’adaptent avec retard (théorie des anticipations adaptatives, encadré 2), à plus long terme, les effets réels de la politique monétaire se dissipent. Finalement, la courbe de Phillips, de décroissante, devient verticale. Les variations de la quantité de monnaie n’affecteraient que l’inflation, laissant le taux de chômage à son niveau « naturel ». Friedman en déduit que

cause du chômage car ils empêchent un juste équilibrage des salaires. Il explique que l'État ne doit intervenir que pour assurer le fonctionnement spontané du marché et la liberté des individus. Ce n'est pas l'insuffisance de la demande qui est la cause du sous-emploi, mais l'injection trop importante de monnaie de la part des autorités monétaires (donc l'État) ce qui aggrave le chômage. Il explique la situation de stagflation que l'on connaîtra dans l'économie, à savoir une forte inflation, un chômage

retraite à 62 ans. ← Décision de politique budgétaire, monétaire et de la politique de change (à tous les échelons) o Mais aussi de la politique de l’emploi : Vieillissement démographique et équilibre du régime des retraites. Chômage des jeunes et des séniors. o Politique industrielle Que faire face à la désindustrialisation ? Cf : Artus « la France sans ses usines ». o Politique fiscale Taux TVA à augmenter ? Réformer l’IR ? Supprimer l’ISF ? o

travail et toutes les entreprises qui voulaient embaucher au niveau de salaire w* ont été satisfaites). Si l’Etat fixe un salaire minimum w’ supérieur au salaire d’équilibre du marché w*, alors il crée le chômage : le marché est caractérisé par la rigidité des salaires à la baisse et le chômage est le résultat d’une intervention politique de l’Etat. b- Marché et optimum L’équilibre du marché est une situation optimale au sens de Pareto (un état tel qu’on ne peut pas améliorer la situation