Dilemme éthique

dispute éclate et don Diègue insulte le comte : "Qui n'a pu l'obtenir ne le méritait pas" (scène 3). Don Diègue est hors de lui, il doit se venger (scène 4). Il demande à son fils Rodrigue de le venger en combattant le père de Chimène (scène 5). Le dilemme cornélien apparaît avec la conclusion suivante de Rodrigue : "Courons à la vengeance" (scène 6). ACTE II Le comte ne regrette pas son geste et ne craint pas la colère du roi (scène 1). Rodrigue retrouve l'offenseur de son père et réussit à le

Ainsi, dans Bérénice de Racine créée en 1670, Titus, héros incontesté de la Rome antique, se trouve confronté à un dilemme qui d’emblée suscite la terreur chez le lecteur : choisir entre la raison d’état qui refuse qu’une reine étrangère puisse devenir impératrice et Bérénice, reine de Palestine qu’il aime. A la scène 5 de l’acte V, alors qu’on est proche du dénouement, le dilemme tragique ne semble toujours pas tranché. Titus quitte à peine le Sénat et n’a toujours pas pris une décision ferme.

mariage, logique. Cependant, le peuple romain refuse qu’un dirigeant épouse une reine étrangère, car ils redoutent que Rome soit annexée par cette puissance étrangère, comme cela a manqué se dérouler à l’époque de Jules César. Titus est donc face à un dilemme cornélien (encore un élément « volé » à Corneille !) : il doit choisir entre son amour et son pouvoir. L’extrait étudié, acte IV scène 5, constitue la continuité de l’acmée. C’est la première scène où Titus et Bérénice se rencontrent. En effet,

du Comte, Chimène. Il est alors face à un dilemme insurmontable mais suit son instinct et tue le père de Chimène. Elle alla donc réclamer sa tête au roi, qui accepta qu'il y est justice mais ne le tua pas. Il y eut alors un duel entre Don Rodrigue, et Don Sanche, qui l'aime aussi, et Chimène promit qu'elle se mariera avec le vainqueur. Rodrigue gagne le duel. Dans cette pièce de Théâtre, nous pouvons apercevoir le dilemme principal qui est le dilemme qu'à Don Rodrigue entre tuer Le Comte et

5) Dilemme du Prisonnier Deux prisonniers complices sont interrog´ es s´ epar´ ement, chacun peut trahir(T) son partenaire ou bien reste silencieux(S).Si les deux trahissent, ils vont en prison pour 5 ans et si l’un trahit et pas l’autre, celui qui trahit sort et l’autre va en prison pour 10 ans et si personne ne trahit ,ils vont en prison pour tous les deux pour 3 ans . Determiner la matrice de paiements S T S (-3,3) (0,-10) T (-10,0) (-5,-5) Le jeu du dilemme de prisonnier

adversaires de Corneille qu’ils mettent fin à la querelle. Paris, qui n'a jamais connu un tel triomphe ne parle plus que du cas de conscience de Rodrigue, partagé entre son amour pour Chimène et sa volonté de venger Don Diègue, son père offensé : le dilemme Cornélien est né...

cette scène d’ouverture de la pièce. Les différents registres se retrouvent dans les caractères des différents personnages. Coelio par exemple donne un ton tragique à la scène en affichant aux yeux des spectateurs une sorte de dilemme que l’on pourrai rapprocher à un dilemme cornélien, en effet il doit choisir entre renoncer au cœur de Marianne car celle-ci est mariée ou trouver une solution pour conquérir son cœur malgré cela. Ses répliques nous donnent également un aspect tragique de la scène avec

Shakespeare en 1603.Ils sont d’époque différente mais ils ont un point commun ces extraits sont tous argumentatifs ; ils présentent des personnages aux prises avec un dilemme. Il sera donc intéressant de voir comment se manifeste ou s’exprime leur délibération. Tout d’abord chaque texte présente un personnage face à un dilemme : Gargantua est tiraillé entre deux émotions contradictoires : la joie d’avoir un fils et la douleur d’avoir perdu sa femme. Hamlet, lui, est partagé entre la tentation

à Chimène, dont il est amoureux, le jeune homme est ici face à un choix déchirant : doit-il venger son père ou renoncer, pour l'amour de Chimène, à punir Don Gormas ? Cette tirade de Rodrigue est l’exemple même de ce qu’on a justement appelé un « dilemme cornélien » : de fait, le théâtre de Corneille est familier de ce genre de situations, l’héroïsme consistant pour lui à vaincre ses passions et à satisfaire à un idéal moral propre à une classe er à une lignée. Le genre délibératif renvoie à un discours

l’amour et que l’amour implique des devoirs auxquels on ne saurait se soustraire sans déshonneur. Difficile à dénouer, elle n’aboutit pas, à la fin de la pièce, à un dénouement véritable qui sera de lui pardonner. Les personnages sont confrontés au dilemme: ils doivent choisir entre l'amour et l'honneur. 5. Les enjeux de l’ uvre : Permet de voir les différente unité : unité d’action, unité de lieu, unité de temps. 6. Anecdotes : La tragi-comédie de Corneille fut à l'origine d'une célèbre