Diminutif

l’ambition, renoncé d’importuner le sort : « Mon cœur n’ira plus » et le remplace par le contraire : la modestie (l’indicatif présent donne la certitude : décision réfléchie, irrévocable). Le vallon est un exemple de modestie : le nom « vallon » est un diminutif de « val » ou « vallée ». Les composants aussi sont modestes : « le petit chemin », « le sentier étroit » (v.5), les « ruisseaux » sont des petits filets d’eau qui « se perdent » « non loin de leur source » c’est-à-dire qu’ils n’arrivent pas à terme

mœurs de cette cour, des femmes du pays, de ses lois et ses coutumes…des historiettes” (l5 et 6). Il donnel’impression de tout connaître, ce qui est renforcé par les adjectifs démonstratifs et possessifs “cette cour” “ses lois” “ses coutumes”. Le diminutif “historiettes” donne l’impression qu’il connaît toutes les anecdotes de ces peuples - La Bruyère rappelle le caractère mensonger d’Arrias avec la comparaison “comme s’il en était originaire” (l5) “comme si” montre la tromperie d’Arrias, il cache

l'imaginaire. Ils sont stylisés et réduits à un caractère physique ou moral dominant. 3. Les personnages principaux sont identifiés par un prénom ou un surnom qui individualise le personnage. Ce surnom peut être : - un diminutif affectif : Fanchon, Javotte, Pierrot - un diminutif péjoratif : Cucendron (obtenu à partir de cul + cendre) ou Cendrillon; Le Petit Poucet, pour insister sur sa débilité physique - une antonomase : o le personnage est identifié à un accessoire : le petit Chaperon rouge

travaillent pour les princes ou l'Eglise.Le personnage de Lorenzaccio: Le premier paradoxe c'est son nom. De Lorenzo il est devenu Lorenzaccio ( suffixe péjoratif) qui lui donne quelque chose de négatif, de trouble,d'ambigu.Il a dans la pièce d'autres diminutifs qui font varier son identité selon le point devue d'où il est regardé.Le héros du drame apparaît comme un être bien différent du hérosclassique, coulé d'un seul bloc dans une vertu infaillible ( ex: le Cid)L'ambiguïté est d'ailleurs la stratégie

distingue) x certains démotivés – en synchronie, l’usager normale ne distingue pas les éléments constructeurs, on les comprend comme des mots simples (trottoir x trotter, -oir – forme les substantifs de location, fourchette x –ette – substantifs, diminutifs, secrétaire x secret, taire, vinaigre x vin, aigre, déjeuner x dé-, jeûne, barricade x barrique, -ade – résultat) * lexème – le mot dépouillé des affixes (le radical) * lexème – aussi une valeur sémantique, radical – seulement

siècle dans le cadre de « l'école sicilienne », notamment sous la plume du poète Giacomo de Lentini. Durant les deux premiers siècles qui ont suivi son apparition, le sonnet ne s'est pratiqué qu'en Italie. « Sonnet » vient de l’italien « sonneto » (diminutif de « suono »), qui veut dire « petit son ». A ses débuts, le sonnet était chanté ou récité avec un accompagnement musical. A la Renaissance, la forme littéraire du sonnet s'est répandue à travers une grande partie de l'Europe : en France, en Espagne

1 Une lettre d'amour à Juliette "J'ai cueilli pour toi cette fleur dans la dune. C'est une pensée sauvage qu'a arrosée plus d'une fois l'écume de l'océan. (.) Et puis, mon ange, j'ai tracé ton nom sur le sable : DIDI. (Diminutif de Léopoldine). La vague de la haute mer l'effacera cette nuit, mais ce que rien n'effacera, c'est l'amour que ton père a pour toi (.) ". Ce sont les termes d'une lettre que Victor Hugo adressa à sa fille âgée de 13 ans, le 3 septembre 1837. En écho à cette lettre, c'est

Coqs est narrée ou le jeu de mots qui accompagne, au vers 26, l'évocation du second triomphateur venu « faire le coquet […] autour de la Poule ». Ce terme, issu du substantif « coq », déprécie la virilité du séducteur en suggérant par le jeu du diminutif "et", qu'il n'est qu'un petit coq. Selon La Fontaine, la gaieté n'est pas simplement « ce qui excite le rire ». Elle est davantage, on le voit, « l'air agréable » que l'on donne à un sujet sérieux lorsque l'on souhaite inviter le lecteur à la réflexion

l'ensemble du village (quand reverrais-je de mon petit village fumer la cheminée), à comprendre, le village entier est sa demeure. C'est une métonymie. Adjectifs possessifs : mon petit village, ma pauvre maison, mon Loire… ils ont une valeur de diminutifs qui montre son affection. L'élégiaque Anaphores en « plus » Exclamations et interrogations Répétitions de « reverrai-je » « Hélàs » avec césure Expression de Mythes ou le voyage aussi glorieux soit-il est moins loisible que le retour à

du v.2 au v.8, reprise anaphoriquement avec une certaine désinvolture par « tout cela » et ponctuée par un « en vérité » phatique. Coordination faible et répétitive dans les tercets, avec « Et puis… » « Et puis… » « Et puis… ». Présence d’un diminutif plutôt familier avec « rondelets ». Cette « oralité » du poème se repère également au traitement de l’alexandrin qui déplace la césure (vv. 5, 8, 9, 11). Vacuité du propos : usage de clichés ou de lieux communs, soulignés par le présent de vérité