Diourbel

enregistre un taux de prévalence élevé dans les régions du Sud, de l’Est et du Nord avec 93% à Matam, 94% à Kolda et 44% à Saint Louis. Cependant, la prévalence n’est que de 17% à Dakar, région de forte immigration, 7% à Thiès, 4% à Louga et 2% à Diourbel. Le taux de pratique des MGF est ainsi de 35% en zone rurale, 22% en centre urbains et 17% à la capitale. Malgré les lois régies par le Gouvernement, et les nombreuses associations qui luttent contre, l’excision

les obstacles dressés devant lui pour poser la première pierre marquant le début effectif des travaux le 4 mars 1932. Un des obstacles majeur auquel il a été confronté fut la non disponibilité de moyens de transport pour acheminer les matériaux de Diourbel où s'arrêtait le train à Touba sur une distance de 45 km. Face à l'exigence des autorités coloniales de payer tous les ouvriers du chantier qui étaient ses adeptes et qui avaient par ailleurs accepté de faire de leur sueur leur participation au projet

Rufisque. Elle compte : ▪ 4 agences : Pikine, Guédiawaye, Thiaroye, Rufisque. ▪ 2 bureaux commerciaux : Yeumbeul et Bargny. 3. Délégation régionale Centre ouest : régions de Thiés et de Diourbel : ▪ 3 agences : Thiés, Mbour et Touba ▪ 2 districts : Tivaoune et diourbel ▪ 9 bureaux commerciaux : Mékhé, Mboro, Bambey, Khombole, Kayar, Mbacké, Nguékokh, Joal et Thiadiaye. Régions de kaolack, Fatick et Tambacounda. ▪ 1 agence : Kaolack,

Aujourd’hui les terres qui jadis étaient fertiles sont devenues peu productives, car totalement lessivées par un système d’exploitation trop mercantiliste. Dans les parties non pastorales de la région de Louga, dans la totalité des régions de Thiès, Diourbel et dans les autres parties nord des régions de Fatick et kaolack, la présence de matière organique dans le sol est rompue. Ainsi, sur une bonne partie de ces zones les micros organismes qui vivaient de cette matière organique en faisant vivre le

en cas de grossesse précoce, de mortalité infantile…)., puis s’est lancée dans la formation à l'alphabétisation, à l'éducation et à la santé en collaboration avec la coopération belge. À Thiès, Touba et Diourbel C'est l'Unacois/Def qui gère les mutuelles de crédit de Thiès, Touba et Diourbel. L'Union nationale des commerçants et industriels du Sénégal (Unacois) constituée à la fin des années 80 est une association de défense des commerçants, une association de commerçants du secteur dit informel

les Wolofs non. "L'influence sociale ou régionale sur ces pratiques se vérifie à l'intérieur même d'une ethnie, explique M. Duvillier. Au Sénégal, par exemple, aucune fille ou femme wolof n'est recensée comme ayant été excisée dans la région de Diourbel, au centre du pays, alors qu'un tiers des femmes de cette même ethnie le sont dans la région de Matam, au nord-ouest, où les Wolofs sont en contact avec les Peuls, ultramajoritaires dans cette zone." Comment faire reculer ces pratiques ? Alors qu'elles

d’analphabétisme) pour la tranche d’âge 15-55 ans se présente comme suit : Dakar (analphabètes : 360 229, alphabétisés : 843 459, taux d’analphabétisme : 43,8%), Ziguinchor (119 615, 181 067, 54,9 %), Saint-Louis (268 190, 302 167, 74,9 %), Diourbel (268 190, 302 167, 83,1 %), Tambacounda (173 607, 69 118, 82,2 %), Kaolack (329 021, 209 447,75 %), Thiès (350 715, 302 167, 67,9 %), Louga (223 921, 83 942, 83,2 %), Fatick (206 290, 133 193, 75, 6 %), Kolda (268 327, 107 182, 81,1 %). Le

sont des langues parles au Sénégal mais il y a bien d'autres langues parlés comme le mandingue, le diola,sérére,soninké, etc... Français et wolof et Pulaar et autres dialectes locaux . Francophonie[modifier] Les régions sénégalaises de Dakar, Diourbel, Fatick, Kaffrine, Kaolack, Kedougou, Kolda, Louga, Matam, Saint-Louis, Sedhiou, Tambacounda, Thiès et de Ziguinchor sont membre de l'Association internationale des régions francophones16. Géographie et climat[modifier] Vue satellite de la

FALL Dans les rapports français classés aux archives du Sénégal, le Cheikh Ibra fall paraissait un homme remarquablement intelligent qui parle et écrit l‟arabe. Treize fois propriétaires notamment à Saint Louis, Louga, N‟Géoul, N‟Dande, Thies, Diourbel. Ses cultures lui rapportent au bas mot cinquante mille francs (50 000 F) par an et ses revenus ne cessent de croître. Premier lieutenant de Cheikh Ahmadou Bamba, il jouit d‟une grande renommée et a des relations très étendues dans la colonie. Marié

(150 000 habitants), Ziguinchor (124 000 habitants) et Saint-Louis (118 000 habitants), la plus ancienne de toutes les villes fondées par les Français en Afrique. Parmi les principaux groupes ethniques, les Ouolofs, nombreux dans la région du Cap-Vert et de Diourbel, sont nettement majoritaires (36 % de la population totale) [1997] devant les Peuls et les Toucouleurs (23 %), les Sérères (15 %), les Diolas (6 %, dans la Basse-Casamance), les Mandingues (4 %) et les Lébous (2 %) de la presqu'île du Cap-Vert. Parmi