Diptyque

plus de maitrise et avec cette énergie farouche que le poète acquit dans son exil solitaire à Jersey, mais Hugo qui voulait donner à son recueil l’apparence d’un journal de son âge mur, a antidaté maints poèmes. Il a constitué son recueil comme un diptyque opposant fortement ces deux grandes parties, Autrefois et Aujourd’hui, composées de trois livres chacune. Autrefois, dont les poèmes sont supposés tous écrits avant 1843, raconte le bonheur, passé et perdu, les fêtes de la famille et de la nature

humains, « jaloux »  ; « l’Aube », vers 3, dont la majuscule semble indiquer que l’on fait référence à la déesse (« l’Aurore aux doigts de roses », nous dit Homère), semble être au service de la rose ; enfin, au vers 10, « la Terre et le Ciel », diptyque qui nous montre cette aura universelle, sont eux aussi en position d’infériorité, surpassés par la beauté de la femme (« honoraient ta beauté »). Ainsi, le poète célèbre la beauté de la femme, qui touche non seulement son entourage (vers 6), mais

l'autre les parties d'un ensemble articulé, et, en rejetant le « livre vieux » cf. v. 14), Mallarmé rejette en même temps une lecture purement explicative, qui nivelle. En revanche le poème, lui, est fait d'une seule phrase qui s'articule comme un diptyque avec le parallélisme des deux parties (« A la fenêtre recélant » et « A ce vitrage d’ostensoir », v. 1 et 9) ; les deux points du vers 8 pourraient faire penser à des réalités différentes, la seconde développant la première ; mais le démonstratif

Exil, nomadisme et solitude dans l'œuvre poétique de Saint-John PerseExil, nomadisme et solitude dans l'œuvre poétique de Saint-John Perse Autor(en): Henry, Albert Objekttyp: Article Zeitschrift: Versants : revue suisse des littératures romanes = Rivista svizzera delle letterature romanze = Revista suiza de literaturas románicas Band (Jahr): 10 (1986) Persistenter Link: http://doi.org/10.5169/seals-287543 PDF erstellt am: 14.05.2022 Nutzungsbedingungen Die ETH-Bibliothek ist Anbieterin der digitalisierten

humains, « jaloux »  ; « l’Aube », vers 3, dont la majuscule semble indiquer que l’on fait référence à la déesse (« l’Aurore aux doigts de roses », nous dit Homère), semble être au service de la rose ; enfin, au vers 10, « la Terre et le Ciel », diptyque qui nous montre cette aura universelle, sont eux aussi en position d’infériorité, surpassés par la beauté de la femme(« honoraient ta beauté »).  Ainsi, le poète célèbre la beauté de la femme, qui touche non seulement son entourage (vers 6), mais

humains, « jaloux »  ; « l’Aube », vers 3, dont la majuscule semble indiquer que l’on fait référence à la déesse (« l’Aurore aux doigts de roses », nous dit Homère), semble être au service de la rose ; enfin, au vers 10, « la Terre et le Ciel », diptyque qui nous montre cette aura universelle, sont eux aussi en position d’infériorité, surpassés par la beauté de la femme (« honoraient ta beauté »). [Phrase conclusive paragraphe I2] Ainsi, le poète célèbre la beauté de la femme, qui touche non seulement

| | |di(a)- | dia |à travers, séparé de |diagonal; diaphane; diorama |- | |dis, di | dis |deux fois |diptyque, disyllabe | - | |dys- | dys |avec difficulté |dysentrie; dyspepsie |- | |ecto- | ecto |en dehors

acrylique, 120 x 90 cm : Hollywood et le Japon éternel AUTO-SCULPTURE : ▪ ORLAN, Triptyque Opération-Opéra 5° dite à la tête de mort, 1993, cibachrome et photographie noir et blanc, 250 81,5 x 5 cm – Omniprésence n°2,1993, installation de 40 diptyques de métal, 80 photographies couleurs et 80 plaques gravées avec texte, 160 x 1800 cm - Selhybridation n° 10, Orlan et Vénus de Botticelli, 1993, série Omniprésence. Caisson lumineux, 120 x 160 cm – Self-hybridation précolombienne n° 30, 1998 - Masque

humains, « jaloux »  ; « l’Aube », vers 3, dont la majuscule semble indiquer que l’on fait référence à la déesse (« l’Aurore aux doigts de roses », nous dit Homère), semble être au service de la rose ; enfin, au vers 10, « la Terre et le Ciel », diptyque qui nous montre cette aura universelle, sont eux aussi en position d’infériorité, surpassés par la beauté de la femme (« honoraient ta beauté »). [Phrase conclusive paragraphe I2] Ainsi, le poète célèbre la beauté de la femme, qui touche non seulement

sentiments humains, « jaloux » ; « l’Aube », vers 3, dont la majuscule semble indiquer que l’on fait référence à la déesse (« l’Aurore aux doigts de roses », nous dit Homère), semble être au service de la rose ; enfin, au vers 10, « la Terre et le Ciel », diptyque qui nous montre cette aura universelle, sont eux aussi en position d’infériorité, surpassés par la beauté de la femme (« honoraient ta beauté »). [Phrase conclusive paragraphe I2] Ainsi, le poète célèbre la beauté de la femme, qui touche non seulement