Dis-moi que tu m'aimes

mortels qui se rejettent en arrière pour le contempler, il devance les nuées paresseuses et vogue sur le sein des airs ! JULIETTE. - Ô Roméo ! Roméo ! pourquoi es-tu Roméo ? Renie ton père et abdique ton nom ; ou, si tu ne le veux pas, jure de m'aimer, et je ne serai plus une Capulet. ROMÉO, à part. - Dois-je l'écouter encore ou lui répondre ? JULIETTE. - Ton nom seul est mon ennemi. Tu n'es pas un Montaigue, tu es toi-même. Qu'est-ce qu'un Montaigue ? Ce n'est ni une main, ni un pied, ni

joue et passe sa main dans mes cheveux, je veux également qu'il soit gentil et attentionné. Je veux un garçon qui me complète, avec qui j'aurais une grande complicité, qui saurait tout de moi et vice versa. Mais surtout, je veux qu'il m'aime, oui voilà, qu'il m'aime comme un fou. Ce que vous ne savez pas, c'est que ce garçon, je l'ai déjà. Et oui, c'est toi Hugo. C'est toi qui me protège, toi qui est jaloux et possessif, toi qui prend bien soin de moi, toi qui est gentil et beau. En faite toi t'es

différente. - Il faut se ressembler un peu pour se comprendre, mais il faut être un peu différent pour s'aimer - En réalité, t'as peur. C'est pour ça que tu fuis. T'as peur parce que, avec moi, tu sais que c'est pas comme avec les autres gars. Moi, tu m'aimes réellement et ça te fait flipper parce que, aimer quelqu'un, c'est lui donner la possibilité de nous briser le cœur. Je le sais très bien parce qu'en ce moment même t'es en train de briser le mien. - Nous sommes tous à la recherche de cette personne

pas fait rougir hier, moi, parce que je le surpris comme il vous regardait à la dérobée attentivement ? Voilà déjà deux ou trois fois que je le prends sur le fait. HORTENSE. Je voudrais être bien sûre de ce que tu me dis là. MARTON. Oh ! Je m'y connais : cet homme-là vous aime, vous dis-je, et il n'a garde de s'en vanter, parce que vous n'allez être que sa femme ; mais je soutiens qu'il étouffe ce qu'il sent, et que son air de petit-maître n'est qu'une gasconnade avec vous. HORTENSE. Eh bien, je t'avouerai

encore ce que je ferai. L’idée de ce dialogue, ou, si l’on veut, de cette petite comédie, me vint après les deux ou trois premières représentations de ma pièce. Je la dis, cette idée, dans une maison où je me trouvai un soir, et d’abord une personne de qualité, dont l’esprit est assez connu dans le monde, et qui me fait l’honneur de m’aimer, trouva le projet assez à son gré, non seulement pour me solliciter d’y mettre la main, mais encore pour l’y mettre lui-même ; et je fus étonné que deux jours après

quand il y a marqué " Pousse " Je ris encore plus fort lorsque je veux expliquer Pourquoi je ris.J'entre dans une chambre et j'oublie ce que je viens y faire.Je compte avec mes doigts pendant les cours de maths.Je souris Pour cacher mes souffrances.Je dis que " c'est une longue histoire " quand c'est court.Et je tombe amoureuse trop vite.. » Ce moment où tu as quinze onglets d'ouvert et que tu ne sais pas d'où vient la musique. » Les autres ? Quels autres ? Il n'y a que toi dans ma vie. » L'orthographe

pas, mais on peut essayé de s'y rapproché. J'ai fais un rêve, le rêve de toi. Tu te tenais là, tout près de moi, tu m'a tendu ta main, je l'ai prise. Tu as approché ton visage du mien, tout doucement, tu m'a parlé dans l'oreille, tendrement. Tu m'a dis ces mots, qui normalement ne veulent plus rien dire, mais avec toi ils ont une grande signification. Je t'ai souris, tu m'a souris. C'est dans ces moments que tu ne pensent plus à rien, mais c'est quand tu pense ta joie être certaine, que tout se bars

qui en a 6. Mais son père nous a grillé et voulait être de la partie ! Elle ma dis qu'elle me pardonnait, qu'elle m'aimait tellement qu'elle m'adorais, ou qu'elle m'adorais tellement qu'elle m'aimait je sais plus trop. Puis comme par hasard, la fille que je kiffe depuis la maternelle ma donné rendez-vous demain soir au Mcdo pour un diner aux chandelles... Mais vu que je suis amoureux de Sarah, que Laure m'aime, que Julie veut un enfant de moi, que Julie veut se marier avec moi, que Gaëlle

tombé subitement amoureux de moi ? Je ne vous en empêche pas. MAÎTRE BLAISE, vite et vivement. Je ne dis pas que je vous aime. LISETTE, riant. Que dites-vous donc ? MAÎTRE BLAISE Je ne vous dis pas que je ne vous aime point ; ni l'un ni l'autre, vous m'en êtes témoin ; j'ons donné ma parole, je marche droit en besogne, voyez-vous, il n'y a pas à rire à ça ; je ne dis rien, mais je pense, et je vais répétant que vous êtes agriable ! LISETTE, étonnée et le regardant.

existe au monde, tu me fais rire, me fais sourire, tu me traites comme une princesse.. Tu sais, je suis tienne, et je serais toujours à toi. Je veux que tu me promettes une chose, rien qu'une chose, promets la moi s'il te plait, oui promets moi de m'aimer pour l'éternité ; hein, promets le moi.. Tu sais, je me demande encore ce que serait ma vie sans toi, hum, en vérité je ne préfère même pas l'imaginer, parce que je me demande ce que je serais.. Je t'aime d'un amour fou tu sais, et chaque fois que