Dis-moi que tu m'aimes

cesse Et à toute vitesse C'est un mal sournois Et je suis sa proie. ©Dako (2011) La Déclaration Moi je t'aime en entier Le bon et le mauvais Tu es mon oxygène Toi, tu m'aimes à moitié Ma raison d'exister Mais je m'en contenterai Ma vie ne vaut pas la peine Si tu dois me quitter. Toi, tu m'aimes en entier, Je te crois volontiers. Tu es ma bouée de sauvetage Moi je t'aime à moitié La moitié de mon être Tu dois t'en contenter. Je n'éviterai pas le naufrage Si

  
D'une main plus puissante a choisi le secours.  
Ce superbe Orosmane... FATIME.                                    Eh bien! ZAÏRE.                                               Ce soudan même,  
Ce vainqueur des chrétiens... chère Fatime... il m'aime...  
Tu rougis... je t'entends... garde-toi de penser  
Qu'à briguer ses soupirs je puisse m'abaisser;  
Que d'un maître absolu la superbe tendresse  
M'offre l'honneur honteux du rang de sa maîtresse,  
Et que j'essuie enfin l'outrage et le danger 

répondre vos impertinences ailleurs, et sachez que ce n'est pas à vous à juger de mon coeur par le vôtre... LISETTE. Mon coeur est fait comme celui de tout le monde ; de quoi le vôtre s'avise-t-il de n'être fait comme celui de personne ? SILVIA. Je vous dis que, si elle osait, elle m'appellerait une originale. - 5 -LISETTE. Si j'étais votre égale, nous verrions. SILVIA. Vous travaillez à me fâcher, Lisette. LISETTE. Ce n'est pas mon dessein ; mais dans le fond voyons, quel mal ai-je fait de dire à Monsieur

petites choses, amoindrit les grandes, nous détourne de l’essentiel, et nous attache à l’insignifiant. Qu’est-ce enfin que le MOI? Je crois bien le savoir quand je dis de quelqu’un qu’il m’aime. Pourtant, ce n’est pas moi qu’il aime, mais mon intelligence, ma beauté, ma fantaisie. Si je perds ces qualités, il cessera de m’aimer, mais je ne cesserai pas d’être moi. Mais où trouver le MOI en dehors de mon corps et des qualités de mon âme? Il se dérobe à mesure qu’on croit le trouver, comme un oignon

chercher dans mon coin, tu ne t'es pas trompé de jeune fille? Tu es sûr que tu n'as jamais regretté depuis, jamais pensé, même tout au fond de toi, même une fois, que tu aurais plutôt dû demander Ismène? -HEMON : Idiote! -ANTIGONE : Tu m'aimes, n'est-ce pas? Tu m'aimes comme une femme? Tes bras qui me serrent ne mentent pas? Tes grandes mains posées sur mon dos ne mentent pas, ni ton odeur, ni ce bon chaud, ni cette grande confiance qui m'inonde quand j'ai la tête au creux de ton cou? -HEMON :Oui,

rêve familier " Mon rêve familier " 'est le 6ème poème de la section initiale Melancholia des Poèmes saturniens. je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. | Car elle me comprend, et mon cœur, transparent  Pour elle seule, hélas ! cesse d'être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir

oses revenir et prétendre que tu as besoin de moi. Tu as pensé à moi ces derniers temps lorsque tu étais avec cette fille? Moi je n'ai pas arrêté de vous imaginer vous deux, et chaque fois, sa me brisait le coeur. Je ne crois plus en tes mots, mais dis moi juste pourquoi tu reviens? De toute façon on sait tout les deux que tu vas repartir. ' ' La nostalgie revient lorsque le présent n'est plus à la hauteur du passé ' 'Petit à petit j'essaie de ne plus espérer que tout redevienne comme avant, car

courant, car celle-ci m'a tout raconter. De Guiche, revenant sur ces pas Et bien que vous a-t-elle dit? Cyrano Que la bravoure qui est en vous n'est plus a prouvé Mais... De Guiche, avec férocité Mais quoi! Cyrano Ce sont des mots, des phrases, que dis-je des textes entiers sur l'amour qu'attend Roxane; Bien que votre bravoure soit source d'admiration éphémère, c'est dans la poésie, Art aussi complexe qu'infinie, Que la séduction trouve ses sources De Guiche,agaçé et se remmetant en route Suffit

« Je vais bien, ne t'en fais pas ..» J'aurais jamais cru qu'on pouvait se faire autant de mal en s'aimant trop.. T'aura surement été le seul mec à me faire autant de mal, à me toucher autant, à me détruire comme personne et pourtant tu m'as dis m'aimer plus que tout au monde. Mon cœur est un désert. J'ai l'envie d'écrire, ce que je ressens au plus profond mais les mots paraissent transparents.. Je t'ai connu, je t'ai aimé de cet amour passionnel et lucide. J'ai tellement besoin de décrire cet

plus le doute du fait qu'il m'appréciait ou non, c'était une certitude... Il m'appréciais. Quand on se parlais, c'était la plupart du temps pour se confier ou bien pour se faire rire mutuellement, comme deux vrais amis. Ce 16 novembre où il m'as dis « Écoute, j'aime quelqu'un.. » à été comme un énorme déchirement pour moi, j'y croyais pas. Là, un énorme doute s'est installé, et une (autre) certitude est arrivée, tout de même. Il ne m'attirait plus comme une simple attirance d'adolescente en besoin