Dis-moi que tu m'aimes

encor la première ; Et c'est toujours la Seule, - ou c'est le seul moment : Car es-tu Reine, ô Toi! la première ou dernière ? Es-tu Roi, toi le seul ou le dernier amant ? ... Aimez qui vous aima du berceau dans la bière ; Celle que j'aimai seul m'aime encor tendrement : C'est la Mort - ou la Morte... Ô délice ! ô tourment ! La rose qu'elle tient, c'est la Rose trémière. Sainte napolitaine aux mains pleines de feux, Rose au coeur violet, fleur de sainte Gudule, As-tu trouvé ta Croix dans

folle ! Fais la folle ! Je la connais, la chanson. J'ai été fille avant toi. Et pas commode non plus, mais dure tête comme toi, non. D'où viens-tu, mauvaise ? ANTIGONE, soudain grave. __ Non. Pas mauvaise. LA NOURRICE __ Tu avais un rendez-vous, hein ? Dis non, peut-être. ANTIGONE, doucement. __ Oui. J'avais un rendez-vous. LA NOURRICE __ Tu as un amoureux ? ANTIGONE, étrangement, après un silence. nourrice, oui, le pauvre. J'ai un amoureux. LA NOURRICE, éclate. __ __ Oui, Ah ! c'est du joli ! c'est

départ, s'est mise en campagne après nous; et son coeur, que mon maître a su toucher trop fortement, n'a pu vivre, dis-tu, sans le venir chercher ici? Veux-tu qu'entre nous je te dise ma pensée; J'ai peur qu'elle ne soit mal payée de son amour, que son voyage en cette ville produise peu de fruit, et que vous eussiez autant gagné à ne bouger de là. GUSMAN.— Et la raison encore, dis-moi, je te prie, Sganarelle, qui2 peut t'inspirer une peur d'un si mauvais augure? Ton maître t'a-t-il ouvert son coeur

vérité, n'y cherchent pas tant de façons, et regardent peu à la personne. BELINE Je vous trouve aujourd'hui bien raisonnante, et je voudrais bien savoir ce que vous voulez dire par là. ANGELIQUE Moi, madame? Que voudrais-je dire que ce que je dis? BELINE Vous êtes si sotte, ma mie, qu'on ne saurait plus vous souffrir. ANGELIQUE Vous voudriez bien, madame, m'obliger à vous répondre quelque impertinence; mais je vous avertis que vous n'aurez pas cet avantage. BELINE Il n'est rien d'égal

bras quand ça va pas et t'entendre me dire que tu m'aimes ! Je veux que tu me cours après, tard le soir, parce qu'on se sera disputé mais que tu ne voudras pas me laisser partir sans un bisou ! Je veux que tu parles de moi avec des étincelles dans les yeux, que les battements de ton cœur s'accélèrent lorsque tu m'aperçois. Amis ! Tu te rends compte de ce que tu me demande ? Ça fait des semaines et des mois que je te veux auprès de moi. Et tu me dis que tu veux qu'on reste amis !? Mais même pas pour

départ, s'est mise en campagne après nous, et son coeur, que mon maître a su toucher trop fortement, n'a pu vivre, dis-tu, sans le venir chercher ici. Veux-tu qu'entre nous je te dise ma pensée ? J'ai peur qu'elle ne soit mal payée de son amour, que son voyage en cette ville produise peu de fruit, et que vous eussiez autant gagné à ne bouger de là. GUSMAN. Et la raison encore ? Dis-moi, je te prie, Sganarelle, qui peut t'inspirer une peur d'un si mauvais augure ? Ton maître t'a-t-il ouvert son coeur

atteste  le libertinage du Comte " C'est sur la tienne qu'il a des vues"                 Selon Marceline " il est jaloux et libertin"( I,4)         Bartholo précise " Libertin par ennui, jaloux par vanité" (I,4)         La Comtesse constate "Il ne m'aime plus"(II,1) et "la seule vanité" (II,16) est la cause de sa jalousie.         Figaro ose lui dire " Vous êtes infidèle" (III,5)         La jalousie du Comte est telle qu'elle va jouer un véritable rôle dans la dramaturgie. Dés la scène 2 de l'acte

peu mal à l’aise car il était en fasse d’un homme qu’il avait connu pauvre, sale et gamin. Il se retrouve aujourd’hui en fasse d’un beau jeune homme riche, propre sur lui et très adulte, voir trop adulte.. Jean engagea la conversation : -« Alors, dis moi un peu ce que tu deviens, qu’as-tu fais pendant ces 17 longues années ? -Je n’ai pas changé moi, je suis resté à m’occuper de ma famille, j’ai travaillé dur pour à la fin en être toujours au même point. Tandis que toi tu n’as pas eu besoin de travailler

petit frère ? SALINA. Oui. SARO . C’est bien. Cela ma plaît que tu ne m’aimes pas. Cela me fait rire. Comme cela me fait rire que tu cries partout haut et fort que tu aimes mon frère, parce qu’il est si petit, si négligeable que cela ne peut que faire rire les hommes comme moi. SALINA. Il est plus petit que toit, mais il grandira. J’attendrai. Je lui ai promis. SARO. Il est si petit encore que tout ce que tu lui dis aujourd’hui, tout ce que vous vous promettez, il l’oubliera, comme il oubliera

fait pas partie de ma famille! C’est un premier amour? O.K., c’est correct! Je souffrirai quand viendra le temps de souffrir! Mais en attendant, je veux avoir le droit de l’exprimer, surtout à celui qui est concerné! Si tu penses que tu m’aimes pas vraiment, Manu, dis-le pas, c’est correct, j’vas comprendre, mais empêche-moi pas de te le dire! [L.113 et 114, L.116 et L.118 à 124. Je souligne.] Les mots ou expressions soulignés mettent en évidence les éléments syntaxiques qui constituent le champ