Dis-moi que tu m'aimes

beaux de nos jours ! " Assez de malheureux ici-bas vous implorent,Coulez, coulez pour eux ;Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ;Oubliez les heureux. " Mais je demande en vain quelques moments encore,Le temps m'échappe et fuit ;Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l'auroreVa dissiper la nuit. " Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive,Hâtons-nous, jouissons !L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ;Il coule, et nous passons ! " Temps jaloux, se peut-il

sans fin. Je me profane. Que la vie m'emporte. Non. Que la peine m'emporte. Non. C'est déjà fait. Peu importe ce qui m'emporte, que ça m'emporte, que ça me pourrisse, que ça me subisse. Oui. Cet extase. Que j'en souffre. Que je m'en maltraite. Je ne m'aime toujours pas. Je ne sais pas. Je ne comprends pas. Je ne peux pas. Non. Oui. Pathétique. Au revoir. Un soir d'hiver, un soir un peu comme tous les autres. Dimanche 21 novembre 2010, à 23:22 Quoi que l'on en dise j'ai perdu. Je ne sais pas trop

perdu pied, dans l'amour qui nous lié, j'ai peur que tout fini, je garde l'espoir que tout n'est qu'illusoire, il fait vivre après tout, j'espère ne pas être arrivé au bout,je veux la vivre notre histoire,alors reviens moi et fais moi y croire. Que dis-je...A quoi sers-tu puisque je ne dors pas...Que fais-tu là autour de moi, toi qui ne m'apportes que ce manquece vide, ce noir.A quoi sers-tu puisque je ne peux te partager avec lui,Moi qui voudrais tant te toucher, te sentir, te saisir...Tu n'es qu'inutiles

alors j'ai attendue. Tu le savais deja, tu t'en doutais..et je t'ai dis ce que j'avais sur le coeur. Je savais pas pourquoi je ressentais ca, pourquoi je me sentais aussi bien quand j'etais avec toi et pourquoi mon corp me faisait ressentir autant de choses imcontrolables..J'avais des sentiments pour toi, j'en etais quasiment sur. J'tai envoyé le message et j'attendais ta reponse, j'avais peur..et contre toute attente,tu m'as juste dis que tu comprennais et que c'etait reciproque meme si c'etait difficile

jamais indifférent. La pièce, les murs qui m’entourent m’indiffèrent. Je ne me sens pas épié et jugé ni même compris par pluie qui tombe dehors. Seul un sujet peut avoir un véritable regard sur moi. Et donc seul lui peut m’influencer. Sur ce que je dis, ce que je fais sur ce que je suis autrui a regard c’est-à-dire un avis et un jugement. Et ce qu’il pense n’est pas sans effet sur moi. Car je vais sans cesse chercher son approbation. A travers mes actions je vais chercher à susciter son approbation

/ Je t’aime pour tous les temps où je n’ai pas vécu » (Eluard) Le parallélisme de construction Répéter une même structure de phrase. Insister, mettre en valeur la structure de phrase répétée. « D’une femme inconnue et que j’aime et qui m’aime » (Verlaine) L’hyperbole Exagérer la réalité. Amplifier la réalité. « Console-moi ce soir, je me meurs d’espérance » (Musset) Le pléonasme Répéter inutilement le sens de la phrase dans plusieurs termes. Insister sur le sens. « Monter en haut »

Tu as l’air d’un petit chat sauvage. J’aimerais avoir une belle fille blonde, un peu forte, avec des yeux en porcelaine et... — La question n’est pas là, dis-je. Pourquoi as-tu invité Anne ? Et pourquoi a-t-elle accepté ? — Pour voir ton vieux père, peut-être. On ne sait jamais. — Tu n’es pas le genre d’hommes qui intéresse Anne, dis-je. Elle est trop intelligente, elle se respecte trop. Et Elsa ? As-tu pensé à Elsa ? Tu t’imagines les conversations entre Anne et Elsa ? Moi pas ! — Je

parfois contre-productif dans la phase d’opening, autant l’ironie est le meilleur moyen de couper-court lorsqu’elle vous accule contre le mur à coups de questions idiotes. Aussi lorsque je précise de répondre en faisant autre chose (exemple : Tu m’aimes ? -> Mais oui !), comprenez qu’il faut infléchir le mais oui avec la même intensité que la caissière dit ' 34 euros 55' à son 150ème client de la journée. C'est-à-dire complètement à plat, en pensant à ses prochaines vacances ou bien au jeune manager

personne sans qui on ne peut pas vivre Les gens croient que c'est en partant qu'on les oublie , mais ce qu'ils ne savent pas c'est que c'est en partant qu'on pense encore plus à eux ... La bouche obéit mal lorsque le coeur murmure Dis moi que tu m'aime, juste une fois, une toute derniere fois... #« Pourquoi m'avoir dit de si belles choses et maintenant me demander de les oublier ? Je suis perdue entre mon coeur et ma raison. Le temps s'occupe de tout, de faire de nous des étrangers.

m’a-t-il dit, il ne faut pas jeter le pain ; c’est dur à gagner. Nous n’en avons pas trop pour nous, mais si nous en avions trop, il faudrait le donner aux pauvres. Tu en manqueras peut-être un jour, et tu verras ce qu’il vaut. Rappelle-toi ce que je te dis là, mon enfant ! » Je ne l’ai jamais oublié. http://fr.wikisource.org/wiki/L%E2%80%99Enfant_(Vall%C3%A8s)/4 1/5 6/12/2014 L’Enfant (Vallès)/4 - Wikisource Cette observation, qui pour la première fois peut-être, dans ma vie de jeunesse