Dis-moi qui tuer

poignet. MASSIRE Tu restes ici ! Il y a les devoirs. AYA (se dégageant, énervée) Je les ferai après ! MASSIRE (attrapant le sac de sport d’Aya) Tu fais ce que je dis ! Va dans la chambre ! Aya attrape l’autre anse du sac. Chacune tire dessus, ce qui devient presque comique. AYA (criant) Je les ferai après je te dis ! Tu me fais chier ! Lâche ça ! MASSIRE (criant aussi) Je travaille tous les jours et les nuits pour payer l’école. Et toi tu veux gâcher tout ? AYA Je t’ai rien demandé

poignet. MASSIRE Tu restes ici ! Il y a les devoirs. AYA (se dégageant, énervée) Je les ferai après ! MASSIRE (attrapant le sac de sport d’Aya) Tu fais ce que je dis ! Va dans la chambre ! Aya attrape l’autre anse du sac. Chacune tire dessus, ce qui devient presque comique. AYA (criant) Je les ferai après je te dis ! Tu me fais chier ! Lâche ça ! MASSIRE (criant aussi) Je travaille tous les jours et les nuits pour payer l’école. Et toi tu veux gâcher tout ? AYA Je t’ai rien demandé

misanthrope, plein de haine, insensible, inflexible et sanguinaire . Pour lui la cause justifie tout les sacrifices. Au début de la pièce il se montre envieux et agressif envers Kaliayev qu'il juge trop farfelu et inexpérimenté. Il aurait souhaité tuer lui-même le grand Duc pour se venger de son emprisonnement (p 34) « Je n'ai pas besoin. J'ai été justifié en une nuit et pour toujours, il y a trois ans, au bagne [...] ». C'est suite au second attentat et a l'attitude héroïque de Kaliayev lors de

passait. On me fit monter dans un camion brun, qu'on avait de plus en plus l'habitude de voir. Dedans, je fus supris de retrouver la petite couturière de la rue de France. Têtu comme elle était, elle avait prèferé cacher son chat noir au lieu de le tuer. D'un autre côté elle avait bien fait, dans tout les cas elle se serait retrouver dans ce camion aussi … Pendant le voyage, on s'arretait de temps en temps pour prendre d'autre « passagers » et on avait beau questionner les policiers bruns sur l'endroit

formulation correcte serait plutôt par quoi ? Je vais donc parler des facteurs qui ont poussé Meursault à tuer et qui prouvent qu’il est innocent. Tout d’abord, Meursault a pris l’arme de Raymond, pour empêcher que Raymond ne s’en serve. Meursault n’a donc jamais eu l’intention de tuer. Pour lui, il ne devait pas l’y avoir de sang versé dans cette tragique journée. Meursault n’a jamais voulu tuer ! Ensuite, Meursault est, d’après Mr le procureur général, je cite, « un être sans cœur, qui est totalement

société quelconque ». ce n'est donc pas la société qui exige a l'homme d'agir moralement. L'homme a l'obligation morale comme dans l'exemple d'Alain de na pas tuer l'homme tombé de la lune, il ne doit pas seulement craindre les châtiments de la société, parce que dans ce cas l'homme tombé de la lune est extérieure a la société on pourrai le tuer ou le torturer sans craindre qu'être châtier par la société. Mais l'homme moral ne tuera point, même si cet acte n'est pas considéré comme immorale

j'ai honte, honte à mourir d'avoir été, fût-ce de loin, fût-ce dans la bonne volonté, un meurtrier à mon tour. Avec le temps, j'ai simplement aperçu que même ceux qui étaient meilleurs que d'autres ne pouvaient s'empêcher aujourd'hui de tuer ou de laisser tuer parce que c'était dans la logique où ils vivaient et que nous ne pouvions pas faire un geste en ce monde sans risquer de faire mourir. Oui, j'ai continué d'avoir honte, j'ai appris cela, que nous étions tous dans la peste, et j'ai perdu

On s'en évade. [16| ANNENKOV Oui. Nous étions contents quand nous avons appris que tu avais pu gagner la Suisse. STEPAN La Suisse est un autre bagne, Boria. Albert Camus, Les justes. Pièce en cinq actes (1949) 16 ANNENKOV Que dis-tu ? Ils sont libres, au moins. STEPAN La liberté est un bagne aussi longtemps qu'un seul homme est asservi sur la terre. J'étais libre et je ne cessais de penser à la Russie et à ses esclaves. Silence. ANNENKOV Je suis heureux, Stepan

Je suis désolée de t'imposer tout mon blabla, mais notre petite discussion de hier dans les escaliers me hantait. Quand on disait qu'on espérait qu'un ga vienne nous tuer.. Je sais pas si t'étais sérieuse quand tu m'as dit que tu osais pas te ''tuer'' toi même.. Je dis pas que moi j'étais pas sérieuse dans ce que JE disais, mais c'est juste que si toi tu pensais vraiment ce que tu disais (que tu disais pas ça juste parce que la rentrée c'est de la merde) je me rend compte que ma réponse à tout ça

 village…  ils  avaient  le  pouvoir  de   prédire  l’avenir  de  guérir,  de  maudire,  d’entré  en  contacte  avec  les  morts,  de   donner  richesse,  chance  et  gloire…  et  parfois  même  de  tuer… M ais  le  plus  puissant  d’entre  eux  le  chef  suprême  de  ce  sceptre  maléfique   étais  «  Boumba  »…  il  était  celui  dont  ont  craignaient  le  plus…  car  la  Legendre   disait