Dis-moi qui tuer

------------------------------------------------- Bonjour je suis prisonnier à la prison de Clairvaux depuis 3 ans. Claude Gueux était un homme normal au début mais il devenait de plus en plus fou…Quel choc quand il nous a dit qu’il allait tuer M.D. Parce que cet homme ne méritait pas de mourir. Il était inutile de tuer ce pauvre directeur. Il n’a pourtant rien fait de mal, il a séparé deux hommes, s’aimant oui, mais ce n’est pas le mobile pour un crime. Claude Gueux mérite la mort tout comme il l’a infligé à M.D. Claude Gueux

surtout pas le goûter.-------------------------------------------- --- J’allai à la rencontre de Cécile DONORE dans le but de la tuer avec un couteau de cuisine.--- --- Quand soudainement j’entendis un cris atroce, c’était ma meilleur amie qui avait mangé du gâteau, et comme vous pouvez

Posent des questions et réponds aux questionsLui dis qu’il parle avec excès. Qu’il ait perdus la tête et pense qu’il ment mais ne s’en rend pas contre. Pense qu’il a était aveuglé. Les guerres pour lui sont juste. parle du petit garçon qui est mort dans les bras de las casas J’AI OUBLIE UNE PARTIE ICI

Stepan ? Stepan : Là-bas ? Dora : Le bagne ? Stepan : On s’en évade. (16) Annenkov : Oui. Nous étions contents quand nous avons appris que tu avais pu regagner la Suisse. Stepan : La Suisse est un autre bagne, Boria. Annenkov : Que dis-tu ? Ils sont libres, au moins. Stepan : La liberté est un bagne aussi longtemps qu’un seul homme est asservi sur terre. J’étais libre et je ne cessais de penser à la Russie et à ses esclaves. Annenkov : Je suis heureux, Stepan, que le parti t’ait

votre juge, plutôt qu'à un membre de votre famille ? Au début, je vous pensais fou, et je croyais que votre crime était passionnel. Je m’imaginais encore un de ces fous furieux qui ne tuent que pour le plaisir. Mais quand je vous ai vu, je me suis dis que vous n'étiez pas de ceux-là. Pendant tout le procès, vous étiez détendu, comme si le résultat de ce procès vous importait peu, et que vous saviez déjà que vous vous retrouveriez en prison. Vous n’essayiez même pas de vous défendre, on aurait dit

progressivement animé, s'avance lentement, et s'appuie sur le dos du fauteuil de madame de Camps. Madame, auriez-vous par hasard ici un frère ou un mari (pour leur provoquer en duel)? Situation de la femme vertueuse (Adèle) Mme de camps mechante femme dis des choses sur antony et adele devant toyt le monde MADAME DE CAMPS, étonnée. Que vous importe, monsieur? ANTONY. Je veux le savoir, moi ! MADAME DE CAMPS. Non! Liaison entre adele

lieu de sûreté ; mais vous courez maintenant, vous, le péril le plus grand du monde, et je voudrais pour beaucoup, que vous fussiez dans votre logis. GÉRONTE.- Comment donc ? SCAPIN.- À l’heure que je parle, on vous cherche de toutes parts pour vous tuer. GÉRONTE.- Moi ? SCAPIN.- Oui. GÉRONTE.- Et qui ? SCAPIN.- Le frère de cette personne qu’Octave a épousée. Il croit que le dessein que vous avez de mettre votre fille à la place que tient sa sœur, est ce qui pousse le plus fort à faire rompre leur mariage ;

pour arrêter le train m’engage dans une première action qui est de tuer et ensuite éventuellement sauver la vie d’autres personnes, est beaucoup plus difficile à faire que d’aiguiller un train. La difficulté réside dans le fait que je vais devoir me servir directement mes mains pour tuer quelqu’un et cela est une chose que notre société nous apprend à éviter et nous l’impose. Cet aspect social de notre acte est comme je l’ai déjà dis imposé par les normes de la société que ce soit par les lois ou par

senti mourir ? » (L.3) ; «Et il est mort, et à toi qu'est-ce que ça t'a fait, de le sentir mourir comme ça, d'un coup de couteau ? » (L.13) ; « Dis-moi, dis-moi ce que ça t'a fait, bien franchement... De la peine ? » ( L.15)  ; « Je t'en prie, dis-moi tout... Si tu savais... Dis-moi ce qu'on éprouve » (L.19) , Jacques veut savoir ce que cela fait de tuer , il veut savoir ce que l'on ressent quand on tue , car il ne l'as jamais ressentie , il veut s'imaginer la scène du meurtre avec tous ses détails

de sûreté; mais vous courez maintenant, vous, le péril le plus grand du monde, et je voudrais pour beaucoup que vous fussiez dans votre logis. GÉRONTE: Comment donc? SCAPIN: à l'heure que je parle, on vous cherche de toutes parts pour vous tuer. GÉRONTE: Moi? SCAPIN: Oui. GÉRONTE: Et qui? SCAPIN: Le frère de cette personne qu'Octave a épousée. Il croit que le dessein que vous avez de mettre votre fille à la place que tient sa sœur est ce qui pousse le plus fort à faire rompre