Discours Admirables Des Eaux Et Fontaines

Jean La Fontaine, l'inimitable fabuliste, est né à Château-Thierry le 7 ou le 8 juillet 1621 et est mort à Paris le 13 avril 1695. Il ne se fit remarquer, jusqu'à l'âge de 19 ans, que par une extrême insouciance. Son père, Charles de la Fontaine, maître des eaux et forêts, le mit, à Reims, au séminaire de Saint-Magloire, dépendant de la congrégation de l'Oratoire, dans l'intention de faire de lui un prêtre, mais la vocation manquait absolument et, après 18 mois, le jeune La Fontaine quitta la soutane

Luther prêche la RenaissanceÉrasme réforme ) écrit l’Éloge 1517 1501 de la Folie 1509 Avènement de François Ier 1515 Thomas More écrit l'Utopie 1516 Edit de Nantes 1598 Montaigne rédige l'Essais 1580 à 1595 Palissy écrit le Discours admirables des eaux et fontaines 1580 Règne de Charles IX de France (son règne est déchirée par les guerres de religions ) 1550 à 1574 célèbre ouvrage de Nicolas Copernic dédicacé au pape Paul III 1543 1521 1530 1539 1548 1557 1566 1575 1584 1593 1602 1512

la théorie aristotélicienne du cycle de l’eau, qu’il compare à la circulation sanguine du corps humain. Bernard Palissy (1510 - 1589), dans son "discours admirable de la nature des eaux et fontaines" en donne quant à lui, une interprétation extrêmement proche de la réalité. Au XIXe siècle, les progrès de la géologie – particulièrement l’étude des eaux souterraines – et de la météorologie donnent naissance à l’hydrologie moderne. Mais il faut attendre le début du XXe siècle pour mettre au point

différents. C'est également une des sources d'inspiration principale de ceux-ci. Les poèmes que j'ai choisis pour cette anthologie sont les suivants: - Pierre de Ronsard: Je veux mourir pour tes beautés; maîtresse ( Renaissance) - Jean de la Fontaine: La mort et le bûcheron (classicisme) - Charles Baudelaire: - La mort des pauvres - La mort des amants - Emile Nelligan: Le salon Les poèmes seront présentés dans l'ordre ci dessus, ils seront donc classés

mettent en valeur la qualité de la chose désignée: « doux parfum... belles fleurs.... éternelle santé... admirable structure... plaisants chiffres d’amour... claire marque... ce beau fruit... les aimables vertus... un vrai régal ». Saint-Amant utilise aussi des superlatifs (« un si beau teint ») et surtout des tournures hyperboliques: « j’en tombe en extase... notre éternelle santé... une admirable structure.. Mille plaisants chiffres d’amour... une amitié sans seconde... l’éclat qu’il me lance... l’excellence

Fiche de lecture Fables, Livre VII, La Fontaine Support : Fables. La Fontaine. Collection Les Classiques de poche n°1198. Edition Le Livre de Poche. Septembre 2010. Présentation de l’auteur : Jean de La Fontaine, écrivain (poète, dramaturge, librettiste, romancier, moraliste) est né en 1621 à Château-Thierry et est mort en 1695 à Paris (on trouve sur lui un cilice lors de sa toilette mortuaire). On sait très peu de chose sur son instruction de jeune homme. Il a étudié au collège de Château-Thierry

avec les clochettes le sainfoin, la sortie matinale du lièvre , la toile d’araignée, la fin de l'orage et l'arc en ciel. Mais un ensemble de connotation religieuses confère a ce second verset une connotation satirique. Comme dans les fables de la fontaine les animaux sont des personnages allégoriques et le lièvre incarne la foi naïve, rimbaud le décrit comme faisant sa prière à l'arc en ciel. On peut donc penser qu'il remercie le dieux des lièvres d'avoir mis fin à la tempête et de lui accorder son

va de l'idée première jusqu'à la contemplation du poème terminé et parfait. Par une mise en abyme toute mallarméenne, les poèmes traitaient souvent de la création même du poème, évoquaient la tragédie de l'esprit, car Valéry allait écrire dans “Discours sur Descartes’’ : «La vie de l'intelligence constitue un univers lyrique incomparable, un drame complet où ne manquent ni l'aventure, ni les passions, ni la douleur, ni le comique, ni rien d'humain». L’évocation de la nature, transposée sur le plan

va de l'idée première jusqu'à la contemplation du poème terminé et parfait. Par une mise en abyme toute mallarméenne, les poèmes traitaient souvent de la création même du poème, évoquaient la tragédie de l'esprit, car Valéry allait écrire dans “Discours sur Descartes’’ : «La vie de l'intelligence constitue un univers lyrique incomparable, un drame complet où ne manquent ni l'aventure, ni les passions, ni la douleur, ni le comique, ni rien d'humain». L’évocation de la nature, transposée sur le plan

tandis qu’est tenu pour beau ce qui est mignon, joli, plaisant, attirant, agréable, avenant, délicieux, harmonieux, merveilleux, délicat, joliet, enchanteur, magnifique, stupéfiant, sublime, exceptionnel, fabuleux, féerique, fantastique, magique, admirable, estimable, spectaculaire, splendide, superbe, est laid ce qui est repoussant, horrifiant, dégoûtant, désagréable, grotesque, abominable, rebutant, odieux, indécent, immonde, sale, obscène, répugnant, épouvantable, abject, horrible, atroce, horripilant