Discours Argumentatif Defendre Le Respect

Ecrire pour témoigner: La première guerre mondiale dans la littérature Gabrielle PHILIPPE, professeur agrégé de Lettres modernes, Collège Pierre Mendès-France, Paris 20ème. En introduction : - problématique : Lire des textes réalistes, argumentatifs et engagés de genres très variés (lettres, carnets de front, autobiographie, roman - témoignage, roman historique, bande dessinée, poème) en rapport avec la première guerre mondiale. Repérer les caractéristiques de ces différents genres, la visée

langage ˆ conative) à des dieux et qui se retournent contre les personnages (ironie tragique) ; – même objet : le personnage d’Hippolyte. 10 Classiques & Cie    Guide pédagogique  Quelques rappels • Le monologue : le personnage tient en scène un discours qui ne s’adresse à aucun autre personnage présent. Le procédé présente un caractère artificiel qui lui vaut d’être critiqué. Cependant Racine le pratique régulièrement. On note cependant que, dans Phèdre, les monologues sont relativement courts.

5, 6 p.233 (réponses rédigées au propre). S6 : Boitelle : la caractérisation des personnages (1 heure) Objectif : révision des discours rapportés (direct et indirect) ; comprendre le rôle des discours dans la caractérisation des personnages. Activités : - correction des questions à faire à la maison (compréhension du texte) - repérer les passages au discours direct et observer la répartition de la parole entre les personnages ; mutisme de la « négresse » : effet produit ? - le portrait de

des enfants distraits et intéressés par ce qui se passe (l.5 : « chaque figure fait ce qu’elle doit »). 2) La position des personnages renvoie à leur statut : les parents sont âgés donc assis, les fiancées sont jeunes donc debout mais aussi par respect. 3) l.4 : « c’est la chose comme elle a due se passer » : émotion des personnages traduite par la position de leurs bras. l.13 : « passé mollement » : attachement du couple, amour. l.13 – 14 : difficultés à laisser partir sa fille. l.15 : cadette :

celle à observer et à appliquer. Cette dernière conception se rapporte à un ordre établi que la justice commande de respecter; les autres, au contraire, s'inspirant d'intentions d'ordre moral, éco­ nomique ou politique, visent à juger l 'ordre lui-même et à le modifier éventuellement. C'est la raison pour laquelle M. Dupréel distingue la justice statique, celle qui commande le respect de l 'ordre établi, de la justice dynamique qui aspire à modifier le droit positif et à le rendre plus conforme

son principal concurrent, Antoine, candidat du parti populaire »,introduction du Manuel de Campagne électorale Quintus Cicéron Questions : 1) Quels conseils électoraux Quintus Cicéron prodigue t-il à son frère ? 2) Comparez ces conseils avec le discours de François Hollande le 26 mai 2011 avant d’être désigné candidat par le parti socialiste et avec le dessin de Plantu paru dans l’Express le 11 avril 2012 (texte 3 du corpus) : lequel des deux candidats applique le mieux les conseils de Cicéron 

vous-même et à laquelle vous répondez dans le développement et dans la conclusion. À l'oral, la problématique, c'est la question posée par l'examinateur ; vous n'avez donc pas à l'inventer ou à la découvrir, elle vous est donnée – il reste à la respecter, et à lui donner une réponse ! Comment faire une conclusion ? Comme pour une dissertation ou un commentaire, la conclusion sert à répondre à la question posée. Auparavant, vous devez résumer, récapituler les principaux points de votre exposé. Pour

position générale en ce qui concerne les rapports parentsenfants, ou est-ce en raison de la personnalité précise des personnages ici (mère féministe, fille quelque peu passive...) ? Quelle que soit la position que vous adoptiez, il s’agit d’un essai argumentatif. Ce qui importe le plus, c’est que vous démontriez votre capacité à argumenter. Vous pouvez fort bien, présenter les deux faces du même argument et annoncer votre position personnelle dans la conclusion. ➤ Comprendre la question Il s’agit de rédiger

siècle 3.  egards de voyageurs du XVIIIe au XXe siècle : l’Autre, miroir et mire R de soi Séquence 1 – FR10 1 © Cned – Académie en ligne I ntroduction La séquence proposée ici concerne la question de l’homme dans les genres argumentatifs du XVIe siècle à nos jours. Plus précisément, elle porte sur la question de l’altérité : les textes étudiés nous permettront de comprendre comment, en dessinant sa modernité, l’homme européen considère autrui, celui qu’il rencontre notamment

fin dramatique (pour le XVIIe siècle, “La princesse de Clèves” est plutôt une nouvelle), par la finesse de l'analyse psychologique, par la vérité humaine éternelle (la passion chez les trois personnages, le drame chez l'héroïne : contre la passion, respect du devoir, souci du repos, peur de l'amour), par l'influence de la tragédie classique (on y voit les ravages de la passion comme chez Racine ; le sens de la «gloire», le rôle de la volonté stoïque et de la raison lucide comme chez Corneille). C'est