Discours Clémenceau 1917

entre en guerre au coté de l'Allemagne, l'Italie entre en guerre en mai 1915 mais du coté de l'entente. Une tournure décisive de la guerre se déclenche en 1917 le président Wilson qui dans un premier temps avait refuser de participer intègre le conflit après que des bateaux américain soient coulés par l'Allemagne, les E.-U. Entre en guerre en avril 1917, puis la révolution d'octobre et la prise du pouvoir par les bolchevik pousse l'entrée en guerre de la Russie or ces derniers veulent mettre un terme

plusieurs attaques successives, la plus meurtrière étant celle contre le paquebot britannique Lusitania, coulé en 1915 sans sommations en mer d’Irlande, faisant 128 victimes américaines. L’intensification de la guerre sous-marine menée par les Allemands en 1917, au mépris des conventions internationales, eut pour conséquence d’entraîner les États-Unis dans la guerre aux côtés des Alliés. [pic] Le Lusitania Ce sont les Américains qui imposèrent leurs conditions de paix en Europe, d’une façon tout à fait

par un nationaliste serbe à Sarajevo. * L’empire austro-hongrois et l’Allemagne, son allié, déclarent la guerre à la Serbie, soutenue par la France et le R-U ainsi que la Russie, ennemi de l’Allemagne. * USA et Italie entre en guerre en 1917 et 1915. * Armistice : Signé le 11 novembre 1918, à Rethondes. * Traité de paix à Versailles en 1919 : Création de la SDN (société des nations) * Elle fut qualifiée de guerre totale car c’est la première qui ait été aussi destructrice

Ne pas atteindre les buts de guerre annoncés publiquement pourrait en effet être perçu par la suite comme une défaite. Les chefs d'État parlent dans la première phase de la guerre des buts de guerre uniquement de manière générale et cela jusqu'en 1917[55] et se consacrent plus volontiers à rallier l'opinion publique à l'idée générale de victoire. Des buts de guerre détaillés sont secondaires, ne compte que le caractère héroïque de la guerre. D'un autre côté, les aspirations d'expansion exprimées

le socialisme français n’est pas un vrai socialisme, seulement le dernier avatar du radicalisme : pas de structure social-démocrate (pas d’enracinement ouvrier, pas de lien avec les syndicats). Mais une telle définition minimise l’importance du discours de la SFIO : Pourquoi le socialisme aurait-il mis autant d’acharnement à se distinguer des radicaux et à éviter le pouvoir s’il était seulement réformiste ? Pourquoi a-t-il toujours condamné toute dérive gestionnaire ? Pourquoi a-t-il cherché

contrôle sur opérations. Nivelle remplaça Joffre. Des affaires de trahison éclatèrent en 1917 : député radical livrant des renseignements / Le Journal (Humbert) financé par l’ennemi. //t : dans SFIO et CGT développement d’un courant favorable à une paix blanche. Socialistes remettant en cause Union Sacrée, pour eux elle se transformait en une pression nationaliste de droite. 1917 : tournant de la guerre. Clemenceau président du Conseil = républicain radical de 76 ans, le Tigre ou Père la Victoire. Veut

bloc soviétique et à l’Allemagne. Elle reste cependant relative, demeure un combat de préservation perpétuel et ce, même les pays dans lesquels elle semble établie. C’est le siècle du mythe révolutionnaire, issu du Marxisme. Ex : La révolution de 1917, en Russie, qui a servi de modèle. On retrouve cette puissance en 1966, 1967, avec Che Guevara ( révolutionnaire marxiste et homme politique d'Amérique latine, dirigeant de la guérilla internationaliste cubaine) et à travers la révolution culturelle

l'Europe. La conférence de Versailles se déroule du 12 Janvier au 28 Juin 1919 et le traité est signé le 28 Juin dans la galerie des glaces car y avait été signé l'armistice de la guerre d'unification de l'Allemagne. Pour la France il y a la bas CLEMENCEAU, pour le Royaume Unis LLOYD GEORGE, pour les EU WOODROW WILSON, et pour l'Italie ORLANDO et pour la première fois de toute l'histoire aucun représentant allemand n'est convié aux négociations. Les enjeux du traité: dès l'intervention des EU dans

partis politiques, professionnalisation politique : les “ politiciens ”), la disqualification du parlementarisme est un des thèmes centraux du gaullisme sous la IV° République. L’image que nous avons du parlementarisme est donc largement tributaire du discours gaulliste qui au début de la V° République a cherché à conforter la légitimité de la nouvelle république par la disqualification des régimes précédents (“ le désastreux régime des partis ”) et surtout de la IV° et la surévaluation de la rupture (UNR :

vote. Le problème est qu’il y a encore un nombre important d’illettrés dans la société. Très souvent, le vote reste donc oral, public et communautaire. Le citoyen, c'est-à-dire l’individus requis par les institutions nouvelles, célébré par tout le discours révolutionnaire, n’existe pas dans la société réelle si ce n’est dans les élites (pour l’essentielle urbaines) qui ont fait avant 1789 l’apprentissage des principes et des pratiques de la sociabilité démocratique. Par exemple, ils ont fait ce genre