Discours Contre La Colonisation

(explorateur ayant découvert Tahiti) : Diderot réfléchit sur le mythe du bon sauvage. C’est aussi un prétexte pour lui de réfléchir sur notre condition de vie ; pour lui, à Tahiti, l’instinct de nature domine les Tahitiens. Le passage à analyser est le discours du vieux tahitien. • Depuis la découverte de l’Amérique, les philosophes occidentaux s’interrogent sur la notion de sauvage et de l’homme civilisé. Diderot et Montaigne se sont interrogés sur le mythe du bon sauvage. • C’est au XVIIIe siècle que

L'esprit des Lumières A) Un projet humaniste. *Autonomie “Aie le courage de te servir de ton propre entendement” -> Kant nous dit que l'homme est lui même responsable de sa propre minorité. Il ne tient pas un discours de victime. Il de la responsabilité de chacun de devenir autonome. Chacun est responsable de son accès à l'autonomie, à la majorité qui s'acquière. Kant s'attache ainsi à montrer que les hommes peuvent être responsables de leur minorité et donc

principauté des Indes - Discours des conquistadors l3 à 11 ->inférieur au discours des Indiens l11à 31. - Conclusion du narrateur l31 à 35 -> point de vue de Montaigne -> Signification : face à face des Occidentaux et des sauvages, largement au bénéfice de ces derniers dont la parole occupe les 2/3 du texte b) Discours rapporté C’est Montaigne qui choisit les paroles des deux camps. - l3 : le discours des conquistadors est

légitime. Mais la guerre engendre des violences spécifiques que le droit international s’est efforcé d’isoler et de définir dans le triple cadre des crimes de guerres, des crimes contre l’humanité et des crimes de génocide. Au cours de l’affrontement entre deux armées des paliers sont franchis dans la violence exercée contre les combattants, les prisonniers, les civils. On le voit bien notamment au cours de la Première guerre mondiale où les violences collectives opèrent un saut qualitatif et quantitatif

Quelle forme lui donner ? ( Déterminer l’Intention de Communication ainsi que le Discours Dominant dans l’exposé : Le discours historique associé au discours explicatif et objectif (dates, lieux, noms, etc.) dans la présentation d’un fait d’histoire ; le discours argumentatif dans la présentation du combat d’un héros (bravoure, engagement, sacrifice, etc.) ; le discours narratif dans les témoignages d’une personne qui raconte ses fait et gestes (au style direct) durant

boulangisme ; ils accusent la République parlementaire d'oublier les grands impératifs nationaux. C'est un mouvement de défense avant tout : obsédé par la décadence de la France, ce nouveau nationalisme développe la notion fondamentale de protection contre les menaces extérieures (l'Allemagne conquérante) et intérieures (juifs, apatrides, francs-maçons, doctrines cosmopolites et internationalistes, dénommés «  Anti-France » par Maurras). Un renversement s'est opéré : d'expansif, le nationalisme devient

I/P cristallise beaucoup de fractures (orient/occident, islam/judaïsme, pays riche/pauvre…), elles-mêmes « fracturées », et ceux à des échelles très variables (localerégionale-internationale). Cette multiplicité des lignes de fractures produit des discours très différents. Afin de décrypter cette complexité, nous considérerons que la désinstitutionalisation (=dysfonctionnement des institutions et instances politiques), et le langage politique permettent d’expliquer des phénomènes tels que la violence

objet probable des futurs conflits dans la région. -Le leadership dans le monde arabe: poste vacant depuis la mort de Nasser -Visées expansionnistes et discours extrémistes -Discours extrémistes, nationalistes et populistes de la droite israélienne -Attitude intransigeante vis-à-vis des Palestiniens et politique du fait accompli: colonisation des territoires, construction du mur de la honte, refus de négocier avec le Hamas -Durcissement et radicalisme islamiste : Hamas et Djihad islamique, Hezbollah

inventoriés, dont les principaux seraient une « haine ethnique » et l'attentat déclencheur. D'autres analyses, que évoquées plus loin, ont aussi relevé des éléments extérieurs qui auraient favorisé le projet génocidaire, notamment les suites de la colonisation, le soutien de la Belgique à la République mono-ethnique Hutu, la possible implication de la France, la non-application des accords d'Arusha, les événements du Burundi, l'attitude des Églises et les inconséquences de la communauté internationale

Cours Histoire L, ES, S Les origines de la décolonisation Des causes internes aux colonies • Le bouleversement des structures sociales traditionnelles, dû à la colonisation, a déstabilisé les hiérarchies locales, brisé les solidarités communautaires, marginalisé certaines catégories sociales. • L’influence de penseurs nationaux (Gandhi, Senghor) af firmant la grandeur et la dignité des cultures autochtones, la découverte par les élites intellectuelles des colonies des valeurs occidentales