Discours D Aristophane

▪ Ces exercices de l’esprit humain sont unifié par la pratique d’un art éminent : l’art rhétorique ou oratoire : dans la mesure ou cet art permet de se forger une pensée juste. « les discours biens composés sont l’ouvrage des âmes qui pensent bien » Panégyrique, Isocrate les beaux discours doivent inspirer les pensées vraies, lesquelles à leur tour doivent inspirer les bonnes actions. POLYBE L’histoire La visée de Polybe c’est l’universel. Chercher le passé dans sa totalité.

disaient : l'être est et le non-être n'est pas ; tu ne sortiras pas de cette pensée ; ainsi ce qui n'est pas encore, ne sera jamais ; ce qui a été et ce qui sera est toujours ; tout l’être est un, identique, immuable. En sorte que, par des jeux de discours, ils découvraient d'un seul jugement ce qui sera la forme de toute physique toujours ; car dans tout changement, tout persiste, matière, énergie, ou comme on voudra dire. Et l'esprit est le tout de tout, lui qui compte. Jamais l'esprit ne fut mis

Socrate. C’est à cette source dans l’Antiquité qu'il est souvent fait référence pour illustrer cette lutte contre les abus de l’Etat et pour justifier le recours à une désobéissance Lysistrata: Il s'agit d'une Comédie grecque antique écrite par Aristophane en 411 avant Jésus-Christ. Cette pièce raconte comment une jeune athénienne appelle les femmes de toute la Grèce à se refuser à leur maris jusqu'à ce que la guerre entre Athènes et Sparte cesse. Mythe d'Antigone: C'est une tragédie grecque

allégorique afin de faire percevoir leurs propos d’une manière concrète. Par exemple, Platon crée des mythes originaux (par exemple le mythe de la caverne), ou réadapte des mythes antérieurs. À sa suite, d'autres philosophes ou certains auteurs de discours argumentatifs ont, eux aussi, eu recours au mythe, dans un même emploi. Dans son essai Anthropologie structurale, l'anthropologue français Claude Lévi-Strauss, offre cet avis (1958/74 - 231): "Un mythe se rapporte toujours à des événements passés

librement de l’amour et du bonheur avec quelques convives, dont l’auteur de comédies Aristophane. Le stratège et dirigeant athénien Alcibiade (vers 450-404 av. J.-C.) surgit alors en titubant parmi les invités, couvert de violettes et de lierre, et demande : « Acceptez-vous de boire avec un homme qui a déjà beaucoup bu ? Vous moquerez-vous de moi parce que je suis ivre ? » Pressé de faire à son tour un discours sur l’amour, Alcibiade confesse la passion qu’il a jadis éprouvée pour l’étude, mais aussi

deux été influencés par l’Orphisme4038 Parménide et Héraclite Platon considère Parménide, dans Le Sophiste, comme le père de la philosophie, qu'il faut « tuer » pour rendre compte du discours faux. Puisqu'en effet, selon Parménide, seul l'être est, il est impossible de tenir des discours sur ce qui n'est pas. Or le discours faux, celui des sophistes, existe ; par conséquent, il faut emprunter la voie interdite par Parménide, voie selon laquelle le non-être est, d'une certaine façon41. Sa pensée s'inspire

1) Origine du genre · La comédie antique grecque (ve siècle acn) et latine (iiie siècle acn)Comme la tragédie, la comédie a des origines antiques. Elle s’apparente à la comédie ancienne (le grec Aristophane), qui constitue une satire des personnages importants et de l’actualité, et à la nouvelle comédie (le grec Ménandre – les latins Plaute et Térence) mettant en scène des personnages stéréotypés. · La « Commedia dell’Arte »Ce

bain terminés, jouent ensemble au ballon, Ulysse se réveille et émerge des fourrés, sale, blessé, hirsute et presque nu. Les servantes s'enfuient effrayées ; seule Nausicaa fait preuve de courage. Ulysse, avec son éloquence habituelle, adresse un discours habile à Nausicaa, et celle-ci accepte de l'aider. Ulysse se baigne et s'habille, et Athéna le fait paraître plus beau ; il accompagne ensuite Nausicaa jusqu'aux portes de la ville, puis reste un peu en arrière tandis que la fille d'Alcinoos va annoncer

sur un rivage de l’Asie Mineure colonisée par les Grecs, l’Ionie, que les premiers « philosophes », les premiers initiateurs de la philosophie, donnent l’exemple. On les nomme « physiologues », du grec physis (la nature) et logos (la science, le discours sur…). L’école ionienne est notamment basée dans la ville de Milet. Elle compte en particulier Thalès, Anaximandre et Anaximène en son sein. Que disent-ils ? Thalès, Anaximandre et Anaximène En premier lieu, les ioniens, qu’on appelle aussi «

fondamentaux, afin d’aller au-delà des impasses d’une pensée sans questionnement. La problématologie est une philosophie nouvelle, en ce sens qu’on n’a jamais questionné le questionnement jusqu’ici. On a toujours pris pour unité de la pensée et du discours la proposition, laissant de côté le fait que tout jugement s’inscrit en réponse à un problème qui se pose et qui est sa raison d’être. Après deux mille ans de propositionnalisme, le tournant pourra étonner plus d’un. Il est dû au fait qu’on ne peut