Discours D Aristophane

Alexandre Soljenitsyne ] "Imaginer, c'est choisir." [ Jean Giono ] "Le futur a été crée pour être changé." [ Paulo Coelho ] "Le hasard, c'est Dieu qui se promène incognito." [ Albert Einstein ] "On ne peut apprendre au crabe à marcher droit." [ Aristophane ] "L'homme est fait pour attendre, et la femme pour être inattendue." [ Gérard de Rohan Chabot ] "Créer, c'est penser plus fortement." [ Pierre Reverdy ] "Le chauffeur est, de loin, la partie la plus dangereuse de l'automobile." [ Léo Campion ]

Alexandre Soljenitsyne ] "Imaginer, c'est choisir." [ Jean Giono ] "Le futur a été crée pour être changé." [ Paulo Coelho ] "Le hasard, c'est Dieu qui se promène incognito." [ Albert Einstein ] "On ne peut apprendre au crabe à marcher droit." [ Aristophane ] "L'homme est fait pour attendre, et la femme pour être inattendue." [ Gérard de Rohan Chabot ] "Créer, c'est penser plus fortement." [ Pierre Reverdy ] "Le chauffeur est, de loin, la partie la plus dangereuse de l'automobile." [ Léo Campion ]

misanthropie. Le "je" romantique veut atteindre le plus intime de l'être et de ses sentiments (Chateaubriand met l'accent sur l'exploration du "moi"). Lyrisme : registre poétique qui permet l'expression souvent exaltée de sentiments personnels. Le discours poétique romantique aspire à se manifester comme une simple confidence. L'épreuve amoureuse, la confrontation avec le réel, la perte des idéaux, toutes les occasions de larmes sont des chemins vers la poésie. Le poète romantique dit ses sentiments

privée. Cela a fait dire à un certains commentateurs au 19e s. qu'il y avait à Sparte une sorte de communisme primitif. À Sparte, on ne parle pas, les spartiates sont laconiques, ce n'est pas une démocratie des avocats, il n'y a pas de grands discours. Dans les lieux où se font la politique, on se borne à crier des sentences en faveur de la patrie. Certains observateurs ont dit que c'était une cité qui régresse. Tout ce que l'on dit de Sparte n'est pas forcément juste, en réalité, les spartiates

politiques et religieuses à Athènes. Les citoyens athéniens possèdent donc le pouvoir de désigner directement les membres des différentes institutions dans le cadre de la démocratie. > Ce relief montre l’empereur Hadrien sur un piédestal, prononçant un discours aux citoyens romains. La position de ces derniers reflète leur soumission à l’autorité de l’empereur qui est source de loi. Repères p. 36-39 Le choix a été fait de présenter les deux espaces étudiés pour montrer que la citoyenneté s’exerce

c'est qu'il n'a laissé aucun écrit, il n'est connu que par ses détracteurs (ceux qui le critiquaient) ou par ses disciples (ceux qui ont suivi son enseignement et ont pris modèle sur lui dans leur vie). Parmi ses détracteurs ont trouve par exemple Aristophane qui dans une comédie intitulée ``Les Nuées'' présente Socrate comme une être ridicule et préoccupée par des questions de peu d'intérêt. Parmi ses disciples on trouve principalement Platon qui en fit le personnage centrale de tous ses ouvrages composés

c'est qu'il n'a laissé aucun écrit, il n'est connu que par ses détracteurs (ceux qui le critiquaient) ou par ses disciples (ceux qui ont suivi son enseignement et ont pris modèle sur lui dans leur vie). Parmi ses détracteurs ont trouve par exemple Aristophane qui dans une comédie intitulée L``es Nuées'' présente Socrate comme une être ridicule et préoccupée par des questions de peu d'inté- rêt. Parmi ses disciples on trouve principalement Platon qui en fit le personnage centrale de tous ses ouvrages

sans autre pouvoir que celui-là même de ses yeux »7. La promotion du visuel, chez RobbeGrillet, est corrélatif à une mise en question des idéologies qui jusque là soutenaient le roman : le regard objectif se substitue à la vision du monde ou au discours préétabli que le roman avait pour projet, dans son mode de fonctionnement « traditionnel », de transmettre. Même si Barthes ne conclut pas à l’absence d’homme chez Robbe-Grillet, mais plutôt à l’absence de définition préalable de l’homme, ce dernier

la dénonce pas ! Cela donne au prestige moral de Socrate une originalité très profonde. Cela suscite une sorte de réputation que l’on va lui faire, mais ça ne correspond pas du tout à sa volonté. C’est un homme discret ! Son contemporain : Aristophane, il décrit Socrate comme le type même de l’ennemi de la religion, quelqu’un qui serait indifférent entre l’éthique traditionnelle et les idées nouvelles. Socrate arrive sans aucun préjugé, sans rien !!!!!!!!! C’est une façon de trahir le personnage

 Il vaut plus ou moins comme document littéraire, voilà  tout.  En dehors de la vérité observée avec bonne foi et exprimée avec talent,  il n'y a rien qu'efforts impuissants de pions.  Les grands écrivains ne sont préoccupés ni de morale ni de chasteté.  Exemple  :  Aristophane,  Apulée,  Lucrèce,  Ovide,  Virgile,  Rabelais,  Shakespeare et tant d'autres.  Si un livre porte un enseignement, ce doit être malgré son auteur par la  force même des faits qu'il raconte.  Flaubert considérait ces principes comme des articles de foi