Discours De G Bush 20 Septembre 2001

A. LES MANŒUVRES SOVIETIQUES ET L’EXPANSION DU COMMUNISME Trois grandes lignes dans la politique de Staline : 1. faire oublier son alliance avec Hitler de 1939 à 1941 et conserver les territoires conquis à la faveur de cette alliance entre septembre 1939 et l’été 1941. 2. lancer un programme nucléaire pour tenter de parvenir d'urgence à la parité avec les USA en brisant leur monopole (bombe A en 1949 et bombe H en 54) 3. se ménager un glacis protecteur en Europe et en Asie pour mieux assurer

ANTAGONISTES. A. LES MANŒUVRES SOVIETIQUES ET L’EXPANSION DU COMMUNISME Trois grandes lignes dans la politique de Staline : 1. faire oublier son alliance avec Hitler de 1939 à 1941 et conserver les territoires conquis à la faveur de cette alliance entre septembre 1939 et l’été 1941. 2. lancer un programme nucléaire pour tenter de parvenir d'urgence à la parité avec les USA en brisant leur monopole (bombe A en 1949 et bombe H en 54) 3. se ménager un glacis protecteur en Europe et en Asie pour mieux assurer

aux Etats-Unis reste concentrée principalement sur les réglementations de nature sociale : santé, conditions de travail, sécurité alimentaire, environnement, etc. (Cf. Parties II & III). Lors de son arrivée à la Maison Blanche, l’Administration GW Bush a affiché un programme ambitieux visant à « réglementer intelligemment » en accroissant le rôle et la rigueur des analyses d’impact, tant sous leurs aspects économiques que scientifiques. A cette orientation a répondu une contestation de fond qui souligne

président pour 4 ans (renouvelable une seule fois) Peut donc être remplacé en cas de décès ou d’empêchement (Nixon le sera par Ford en 1974 après le Watergate, Johnson après le décès de Kennedy en 1963) Elu fin novembre pour entrer en fonction le 20 janvier Il ne peut dissoudre le congrès et ne peut être renversé par lui (sauf en cas de haute trahison, affaire de Watergate) Il mène la politique étrangère en préparant les traités, mais ils doivent être ratifiés par le pouvoir législatif :

divisée en quatre zones d’occupation ainsi que Berlin. La gestion commune prévue par la conférence de Postdam en juillet 1945 s’avère plus difficile que prévue, la méfiance augmentant entre les anciens vainqueurs. C- La rupture de 1947. Doc.1 p.20. Le président des Etats-Unis, Harry Truman annonce en mars 1947 que son pays, face à la poussée soviétique en Europe, va appliquer une politique de « containment », d’endiguement. Containment : terme désignant la politique lancée par H. Truman en 1947

qui préconisait en l’occurrence un contrôle de l’agrégat monétaire. Dans un contexte d’innovations financières multiples, la demande de monnaie se révéla très difficile à maîtriser, mais permit de justifier la pratique de taux d’intérêt supérieurs à 20 %. Depuis, le jeu direct sur les taux d’intérêt reste l’instrument privilégié des banques centrales, plutôt que de viser un objectif de masse monétaire en réalité très difficile à contrôler ; - en une expansion budgétaire du fait d’un accroissement

le 8 septembre 1951 avec le Japon – traité de San Francisco – est adjoint d’une convention militaire prévoyant, dans le contexte de la guerre froide et particulièrement du conflit coréen, le maintien de troupes et des bases militaires américaines au Japon. Considéré comme le « porte-avions » des États-Unis en Asie, le Japon abrite dès les années 50 un certain nombre d’installations américaines qui servent de bases arrière lors des guerres de Corée et du Vietnam, mais aussi, dès 2001, dans

puissance 18 II. La notion de puissance dans un environnement post-Guerre froide 23 A. De la superpuissance à la notion d’hyperpuissance 24 B. Entre unilatéralisme et soft power 26 III. L’exercice de la puissance dans un environnement post-11 septembre 28 A. Une vision stratégique à Washington qui influence la notion de puissance 29 B. La sécurité comme nouvel enjeu de puissance 32 Chapitre II : Les États-Unis et la Chine 37 I. Les États-Unis 37 A. Entre « nation indispensable » et « wilsonisme

« encombrants » pour les pays qui les accueillent. En effet, le roi Hussein de Jordanie craint la montée en puissance des organisations armées palestiniennes dans son pays car elles s’érigent en un véritable contre-pouvoir. Au mois de septembre 1970, dit « septembre noir », il décide d’asseoir son autorité et fait donner l’armée contre les fedayin, « ceux qui se sacrifient », c’est-à-dire les combattants palestiniens pratiquant la guérilla. De plus, la guerre du Kippour efface l’espoir d’une

panthers. En juillet 2004, il se fait remarquer en prononçant un des discours clés de la Convention démocrate à Boston désignant John Kerry comme candidat du parti à l'élection présidentielle. Il y fait l'apologie du rêve américain, de l'Amérique généreuse en les reliant à ses origines familiales. Il en appelle à l'unité de tous les Américains et dénonce les « errements » et l'« extrémisme » diviseur de l'administration de George W. Bush. Le 2 novembre 2004, après avoir balayé quelques mois plus tôt ses