Discours de haine

bthery@nordnet.fr VOLTAIRE, Traité sur la tolérance, "Prière à Dieu" Plan de commentaire composé INTRODUCTION Idée de départ : Voltaire et l'affaire Calas (ou) thème de la tolérance Sujet : références du texte, type de discours, question Annonce du plan I° PARTIE : Ce discours n'est pas une véritable "prière". 1°§ Cette page a les apparences d'une prière. 1° IA : Solennité de l'invocation Titre "Prière à Dieu" Rythme ternaire (4/4/4) et ampleur de la première phrase. 2° IA : Prière

tropes, contrairement aux non-tropes : sont assez rares (essentiellement métaphore et métonymie) et changent le sens propre des mots. De même les figures opérent différents niveaux : certaines au niveau du mot, d’autres de la phrase, d’autres du discours et d’autres hors du texte... Ainsi une figure (macrostructurale) peut en contenir plusieurs autres (microstructurale). Les figures et leurs effets : aucun (comme les catachrèses car rentrés dans le langage courant) attention (soulignement

« je » l.14, « nous » l.19. Par son discours Cesaire va rejoindre le point de vue de Montaigne, on peut dire qu’il donne sont avis quand il exprime a plusieurs reprises « on » l.20, l.29. Paradoxalement ce dernier n’emploie jamais « je » par ce chois il va s’intégrer entièrement aux clans des Européens en faisant allusion a une concordance entre eux. On peut donc dire que Montaigne et Cesaire a travers des genres argumentatifs employés dans leur textes (Essai, discours) porte un regard d’argumentation

600 «camps ou squats» illégaux recensés selon lui en France. «Il y a, dans cette communauté, des comportements qui ne sont pas acceptables», justifie-t-il. 30 juillet: le discours de Grenoble Nicolas Sarkozy annonce le lancement d’une «guerre nationale» contre la délinquance qui va durer «plusieurs années». Dans un discours ultra-sécuritaire, prononcé à Grenoble après des violences provoquées par la mort d’un braqueur abattu par la police, le chef de l’Etat revient sur les campements illégaux de

Histoire des Arts – 3ème L’affiche rouge Titre de l’étude : repérer le discours argumentatif quel qu’en soit le support à travers 3 oeuvres De l’art pour manipuler, de l’art pour dénoncer Des hommes victimes ou bourreaux pendant la seconde guerre mondiale L'Affiche Rouge, lettre de Manouchian à sa femme, poème d’Aragon Des libérateurs ? La Libération par l'armée du crime Dimensions : Hauteur 123 cm - largeur 82.5 cm Lieu de conservation : Musée de l'Armée (Paris) UNE AFFICHE DE PROPAGANDE

ce mensonge, non pas par haine du féminisme (bien au contraire), non plus par intérêts politiques ou idéologiques, mais par pur amour de la vérité et du réel. Mon inspiration principale pour cet article est le youtubeur « Le Raptor », qui a fait une vidéo détaillée, sérieuse – bien que son humour y soit ostensible –, réfléchie et logiquement construite sur le sujet. J’invite donc ceux qui me lisent à aller la visionner. Chaque année, même date, même discours relayé par les médias et personnalités

envoyé La fille de Minos et de Pasiphaé. THERAMENE J'entends. De vos douleurs la cause m'est connue. Phèdre ici vous chagrine et blesse votre vue. Dangereuse marâtre, à peine elle vous vit, Que votre exil d'abord signala son crédit. Mais sa haine sur vous autrefois attachée, Ou s'est évanouie, ou s'est bien relâchée. Et d'ailleurs quels périls vous peut faire courir Une femme mourante, et qui cherche à mourir ? Phèdre, atteinte d'un mal qu'elle s'obstine à taire, Lasse enfin d'elle−même

Dans cet extrait du roman Le Rouge et le Noir écrit par Stendhal en 1830, le héro Julien Sorel se trouve en compagnie de son père et de ses frères dans l’usine paternelle. Là entame un conflit familial dévoilant la haine des personnages les uns envers les autres, en particulier entre le héro et son père ; la cause de ce conflit étant principalement la différence de Julien autant sur le point physique que moral. En premier lieu, nous mentionnerons les dissimilitudes présentent entre Julien et sa

particulièrement fort. En effet on retrouve à plusieurs reprises un champ lexical de la haine : « Je m’abhorre encor plus que tu ne me détestes » l.9, « j’ai recherché ta haine » l.17, « Tu me haïssais » l. 19. Cette animosité est contradictoire avec l’amour que Phèdre éprouve à Hippolyte. C’est cette 1 opposition qui montre a quel point sa passion est déchirante. Mais c’est plus particulièrement vers la fin du discours, quand Phèdre dévoile ce qu’elle a sur le coeur, que cette déchirure se fait sentir

Alice Miller, éminence de l'époque en matière d'analyse psychologique, établissent un lien entre les souffrances, le deuil que l'homme a enduré. Très vite le besoin de vengeance contre son père s'établit, un besoin qui restera omniprésent dans ses discours. De plus, ils prétendent que la relation qu'il entretenait avec sa mère participait à un syndrome d'œdipe, phénomène accentué après la mort de Klara. Nous insistons sur le fait que cette avancée est une supposition. Hitler ne sera pas accepté à