Discours de haine

bthery@nordnet.fr VOLTAIRE, Traité sur la tolérance, "Prière à Dieu" Plan de commentaire composé INTRODUCTION Idée de départ : Voltaire et l'affaire Calas (ou) thème de la tolérance Sujet : références du texte, type de discours, question Annonce du plan I° PARTIE : Ce discours n'est pas une véritable "prière". 1°§ Cette page a les apparences d'une prière. 1° IA : Solennité de l'invocation Titre "Prière à Dieu" Rythme ternaire (4/4/4) et ampleur de la première phrase. 2° IA : Prière

réouverture de ces camps de l'enfer. On peut penser que ces endroits sinistres verront encore des innocents tués pour un motif quelconque. Les hommes auront oublié les discours antisémites, les appels à la paix lancés aujourd'hui, ils oublieront les frontières qui existent entre le bien et le mal et échangeront ces discours pacifiques pour une haine sans borne envers ceux qui ne pensent pas comme eux. Nous ne connaissons pas encore les motifs de la probable guerre à venir. Pourtant, nous pouvons déjà dire

Juifs comme groupe « religieux », « racial » ou « ethnique ». L'antisémitisme ne doit pas être confondu avec l'antijudaïsme et l'antisionisme. Les manifestations de l'antisémitisme peuvent aller de la haine personnelle à des persécutions populaires et violentes ou idéologiques et institutionnalisées. Outre les pogroms localisés, il y eut des formes de grande ampleur, à l'échelle d'un pays comme l'édit d'expulsion des Juifs d'Angleterre en 1290 et l'éviction

1) Surpris 2) Sous le charme 3) En colère 4) Attitude de Manon 5) Discours de Manon 6) Réaction face au discours . . . L’œuvre Manon Lescaut est écrite par L’Abbé PREVOST en 1731. Le livre paru d’abord en Hollande en 1731. Etant jugé scandaleux pour « immoralité » de l’auteur et des personnages lors de sa réimpression en 1733 et 1735 en France, il est saisi et brûlé. L’auteur publie alors en 1753, une nouvelle édition de son roman réécrit, dans lequel il se cache derrière le

1929. • L’extrait qui est proposé met en scène 2 personnages — Carla et Leo — dont les rapports sont tendus, équivoques et empreints d’une certaine perversité érotique. On peut aussi remarquer l’omniprésence entre les 2 protagonistes et dans leur discours d’un personnage pourtant absent : la mère de Carla, dont certains éléments présents dans le texte laissent à penser qu’elle est l’amante de Leo. • D’emblée la dimension théâtrale du passage est mise en relief à travers quelques éléments importants

que les actions et non les discours. Et pourtant est-ce si simple ? d'un autre côté, on admet bien qu'on ne doit pas, qu'on ne peut pas tolérer les meurtres, les violences... Pourquoi ne pourrait-on pas considérer que certaines paroles particulièrement blessantes, peuvent faire mal autant que des actes ? Mais alors faut-il mettre des limites à la tolérance et quelles sont ces limites ? On peut réfléchir aux effets de certaines opinions qui incitent à la haine raciale : ne peut-on pas penser

pouvoir incontestable dans les chants V à XIII. Poséidon est un Dieu maître de l'eau qui sépare les Terres, de ce fait son pouvoir est étendu par des caractéristiques particulières, par cette crainte et se respect qu'il impose, et par cette violente haine qu'il ressent envers Ulysse. Le pouvoir de Poséidon est défini par une force incontestable et ce dès le premier des chant au programme. L'assonance en -T- et -P- présente dans ces vers: "Le Puissant Poséidon souleva une énorme, terrible lame, en

C'est un poème de 7 strophes de 5 vers (des quintils), écrit en alexandrins, avec des rimes, sans ponctuation; cette structure est très régulière. Un discours - épitaphe. Le poème ressemble à un discours adressé à des absents, ou à une épitaphe pour ceux qui ne sont plus, désignés par le pronom personnel "vous" répété 6 fois (vers 1 à 11) Les qualités de ses absents, mises en avant dans la 1ère strophe, sont la dicrétion et la modestie. On le voit à la répétition de la conjonction

permet qu'on vole à l'autre sa liberté, finit par perdre sa propre liberté. Celui qui permet qu'on prenne à l'autre sa dignité, finit par perdre sa propre dignité. Roman Herzog, Discours 21 avril 1995 à Bergen-Belsen C'est dans la plus grande fortune qu'on a le moins de liberté : elle interdit la partialité, la haine et surtout la colère. Salluste, Conjuration de Catilina Je crains plus la réputation que je ne la désire, estimant qu'elle diminue toujours en quelque façon la liberté et le loisir

cause de haine :l10 « les petites différences »repris l14 par « ces petites nuances »associés à des « signaux de haine et de persécution ».L’emploi du terme « signal » signifie que les différences sont les facteurs déclencheurs de conflits. Le signe extérieur de la différence devient le « signal » de l’agressivité. _Cette agressivité n’est pas justifiée tant nous sommes faibles et inférieurs devant Dieu. Voir le vocabulaire péjoratif qui minimise et relativise les raisons de notre haine :répétition