Discours De Julien Sorel

Discours de Julien     Discours direct -          Composition du discours : 3 paragraphes 1.       Entrée en matière 2.       Corps : injustice des classes ð thème principal 3.       Conclusion : revendication du crime + Réactions de tous ceux qui l’ont écouté (avocat général + femmes)   Pb : Quelle est l’originalité de cette « plaidoirie » ?   I.                   La provocation d’un héros romantique   1)      Revendication d’une identité   -          Enonciation : 1ère

personnage principal, Julien Sorel porte une admiration sans borne pour Napoléon car il est pour lui prodigieux. Napoléon Bonaparte incarne aux yeux de Julien celui qui est parvenu à se faire « le maître du monde avec son épée », le « lieutenant obscur et sans fortune » qui est devenu héros à force d’exploits et de courage. Le modèle Napoléonien a fondé les valeurs de Julien : il s’agit d’être héroïque, courageux, de poursuivre gloire et conquêtes et de révéler d’ambitieux défis. Julien n’oublie pas le

STENDHAL Le Rouge et le Noir « Voilà le dernier de mes jours qui commence (…) Mme Derville jeta un cri et s’évanouit. » Eléments d’introduction : - Le roman Le Rouge et le Noir racontel’ascension sociale interrompue de Julien Sorel, jeune roturier devenu précepteur des enfants d’un notable de province, Mr de Rênal, puis secrétaire d’un marquis parisien. - Ayant, par vengeance, tiré surMme de Rênal qui fut sa maîtresse et qui l’a dénoncé comme un arriviste, il est arrêté et jugé. Son jugement

 » Comment Robert Badinter explique-t-il cet état de fait ? Peut-on retrouver cette idée dans le discours de Victor Hugo ? Réponses attendues : Robert Badinter souligne que pour lui, la gauche est synonyme de « force de changement, force de progrès, force de révolution […] qui font avancer l’histoire. » Cette idée que l’abolition est une cause de la gauche se retrouve en filigrane dans le discours de Victor Hugo notamment par rapport aux réactions de l’auditoire, « Applaudissement à gauche. Protestations

1830 – Livre I Chapitres XVIII Julien fut étonné et encore plus fâché qu’elle lui fît un mystère de ce qui l’agitait. Je l’avais prévu, se disait-il avec amertume, son amour s’éclipse devant le bonheur de recevoir un roi dans sa maison. Tout ce tapage l’éblouit. Elle m’aimera de nouveau quand les idées de sa caste ne lui troubleront plus la cervelle.Chose

Rouge et le Noir est un roman contant l'histoire de Julien Sorel, un jeune fils de charpentier tentant de s'imposer dans la société malgré son appartenance à une classe sociale modeste. Il séduit tour à tour Mme de Rênal et Mathilde de La Mole. Sur le point d’épouser cette dernière, il est dénoncé par une lettre de Mme de Rênal. Fou de douleur, il tire sur son ancienne protectrice. Il est arrêté et jugé. Dans l'extrait étudié, Julien adresse un discours aux jurés qui semble tourner à son avantage.

En 1805, il devient l'amant de l'actrice Mélanie Guilbert et il la suit à Marseille et s'essaye au commerce, sans grande motivation, ni grand succès d'ailleurs. Mais, ces années d'apprentissage auront une grande influence sur le personnage de Julien Sorel dans le Rouge et le Noir. Il est nommé auditeur au Conseil d'État le 3 août 1810. À partir de 1810, il participe à l'administration et aux guerres napoléoniennes. En 1812, il travaille à l’Histoire de la Peinture en Italie. En août, il se rend

ville. Ses jardins en terrasse descendent jusqu'à la rivière sur des terrains achetés à prix d'or au père Sorel qui y avait sa scierie. Dans cette ville, on ne pense qu'à l’argent ; et le pouvoir et la considération vont « aux gens sages et modérés » qui y exercent une véritable tyrannie. M. de Rênal annonce à sa femme qu'Il veut prendre comme précepteur de ses trois garçons le fils Sorel, latiniste et futur prêtre. Mme de Rênal, femme naïve, timide et réservée, semble approuver son projet.

en 1842, Stendhal a cherché à y mettre en scène un grand nombre de « petits faits vrais » : ceux-ci constituent les « pilotis » sur lesquels repose son œuvre. Il y peint donc « la France telle qu’elle est en 1830 », en retraçant le parcours de Julien Sorel, un « fils de charpentier » mené par l’ambition, qui a pris « la résolution inébranlable de s’exposer à mille morts plutôt que de ne pas faire fortune ». Ce dernier a grandi à Verrières, médiocre ville de province, en rêvant de Napoléon, son

sont différents du point de vue de leur "naissance", de leurs "noms" de leurs classes sociales et de leurs avantages, mais qui sont tous les deux animés d’une même ambition : faire fortune. Sachons qu’ils ont pour idole Napoléon Bonaparte. L’un Julien Sorel, fils d’un simple charpentier est désavantagé parce qu’il est prolétaire. Mais malgré cela, gratifié d’une beauté exceptionnelle par l’auteur, ses sentiments amoureux se mélangent avec son ambition. En effet, il ne s’attache qu’aux femmes belles