Discours De Pierre Mendes

mise en place des nouvelles institutions. 1- L'adoption de la nouvelle constitution La nouvelle constitution est basée sur un projet comportant 2 assemblées et un certain poids de l'exécutif. De Gaulle condamne cette constitution dans son célèbre discours prononcé à Bayeux, où il expose sa manière de concevoir la constitution (De Gaulle y défend le bicamérisme, le principe de la séparation des pouvoirs et les prérogatives de l'exécutif). Malgré l'opposition de De Gaulle, cette nouvelle constitution

prononcent pour une constitution donnant la prépondérance aux élus du Parlement (pouvoir législatif). De Gaulle, à l’inverse, milite pour un pouvoir exécutif fort. Pour monter son opposition, il démissionne du GPRF en janvier 1946. Au mois de Juin, par le discours de Bayeux, de Gaulle incite une nouvelle fois les électeurs à refuser un projet de constitution qui accorde l’essentiel des pouvoirs à l’Assemblée. Il dénonce alors le « régime des partis » Finalement, les français adoptent, par référendum, le projet

libération nationale). Réponse rapide de la métropole. Envoi de troupes pour des opérations de « maintien de l’ordre ». Expliquer ici qu’on n’emploie pas le terme de guerre. Insister sur l’intransigeance de la France face à ces attaques. Etude du discours de Pierre Mendes France (doc 5 p.239). Pour la France ces opérations militaires visent des terroristes (fellaghas) et non des Algériens. 2. La radicalisation du conflit. Le FLN se dote d’une armée, l’ALN. Les opérations terroristes se multiplient. 1957 :

radicalisme s’inscrit à gauche voir extrême gauche. On date cette importation au moment où la France a accompli sa rev industrielle (1830-1848). Ce courant va se structurer au début de la IIIème Rep avec Léon Gambetta qui va faire le « discours de Belleville » (1969). Ce discours contient l’attachement à la Rep et les libertés de la presse et d’association. L’anticléricalisme et la laïcité constituent le 2ème pôle idéologique défendu par les radicaux. Les radicaux mettent essentiellement l’accent sur les

partis politiques, professionnalisation politique : les “ politiciens ”), la disqualification du parlementarisme est un des thèmes centraux du gaullisme sous la IV° République. L’image que nous avons du parlementarisme est donc largement tributaire du discours gaulliste qui au début de la V° République a cherché à conforter la légitimité de la nouvelle république par la disqualification des régimes précédents (“ le désastreux régime des partis ”) et surtout de la IV° et la surévaluation de la rupture (UNR :

13 mai 1958, de Gaulle s'impose. Le retour du Général présenté sous son vrai jour: un coup d'Etat. «Les Coulisses d'un coup d'Etat démocratique, l'histoire du 13 mai 1958», documentaire de Christophe Nick et Pierre Péan. Canal +, 22 h 50. CRITIQUE * Comment s'emparer du pouvoir quand on n'a aucune chance d'y être porté par une majorité électorale? Putsch militaire, révolution, guerre civile, le xxe siècle a excellé dans ces méthodes. En 1958, de Gaulle tente, lui, le coup d'Etat démocratique

François Mitterrand, en 1984. Fonctions 21e président de la République française 21 mai 1981 – 17 mai 1995 (13 ans, 11 mois et 26 jours) Élection 10 mai 1981 Réélection 8 mai 1988 Premier ministre Pierre Mauroy Laurent Fabius Jacques Chirac Michel Rocard Édith Cresson Pierre Bérégovoy Édouard Balladur Prédécesseur Valéry Giscard d'Estaing Successeur Jacques Chirac Premier secrétaire du Parti socialiste 16 juin 1971 – 24 janvier 1981 Prédécesseur Alain Savary Successeur

L’ARITHMETIQUE DE L’EMIGRATION SELON MILAN KUNDERA 1 ANA PAULA COUTINHO MENDES Universidade do Porto amendes@letras.up.pt Résumé: Émigrant tchèque, naturalisé français depuis 1981, et ayant commencé à écrire directement en français à partir de 1995, Milan Kundera est un des exemples les plus réputés de l’incorporation de voix migrantes au sein de la littérature française actuelle. Prenant comme point de départ le roman L’Ignorance que Kundera a publié en 2003, nous essayons de mettre en équation

événements. De 1940 à 1945, l'idée nationale est bouleversée par la guerre, la défaite, et son explication pétainiste : le manque de volonté et de force nationale. La force nationale a été corrompue par la mollesse, les étrangers, et les juifs…Ce discours nationaliste se décompose à la libération au profit de celui de la résistance. ● Il prend alors plusieurs aspects : - La défense de la démocratie - Le patriotisme : il est tel que même les antidémocrates rejoignent

plus violents. Pierre Mendès France investi en juin 1954, lui, opte pour la négociation avec les indépendantistes Marocains et Tunisiens que sont l'Istiqlâl marocain et le Néo Destour tunisien contrairement à ses prédécesseurs qui préconisaient une politique de fermeté. Cette politique de négociation sera poursuivie sous Edgar Faure et aboutira sous Guy Mollet avec l'indépendance du Maroc et de la Tunisie en mars 1956; En revanche , sur la question algérienne Pierre Mendès France est catégorique