Discours De Tocqueville En 1848

ministre Guizot refusent les réformes. L’industrialisation commence, ce qui entraîne une modification des classes sociales. Il y a une évolution sociale profonde mais cela n’est pas pris en compte. En juin 1848, une révolution aboutit à la seconde république. Celle-ci est proclamée dès février 1848 suite à une révolution qui part de Paris et se veut avancée. On proclame aussi le suffrage universel sur lequel on ne reviendra pas. Cette seconde république a une face un peu idéaliste mais suite à un certain

d'une légitimité pour des régimes nés de la défaite, qui n'ont pas conquis le cœur des masses. L'intégration politique des masses est le premier défi des démocraties européennes. Courant limité aux élites sociales. Les masses sont sensibles aux discours nationalistes, et antilibérales. Nationalisme très à gauche, libéraux, pendant le XIX° siècle. Idée du droit des peuples. Affaire Dreyfus : devient une doctrine autoritaire fondée sur la communauté et hostile à l'émancipation des individus. Extrême-droite

pensée de l’auteur et prolongement Causes du chômage, rôle de la demande et des salaires Égalisation des conditions et démocratie Concepts que les élèves doivent connaître et savoir utiiser « Stratification sociale et inégalités » Alexis de tocqueville Liberté/égalité, individualisme, despotisme démocratique, tyrannie de la majorité actualité de la pensée de l’auteur et prolongement Représentation politique, société démocratique et uniformisation des comportements, opinion publique Conflits

1787). EXEMPLE 1 : La Constitution de 1848 va prévoir que le chef de l’État est élu par le peuple pour la 1ère fois où il est élu pour un mandat de 4ans. Mais, la Constitution prévoit que le Président de la République ne pourra pas se représenter immédiatement après la fin de son mandat. Il devra patienter 4 ans avant de pouvoir prétendre à être élu. C’est ce qu’on appelle un délai de viduité. Napoléon BONAPARTE est élu Président de la République en 1848 et va rapidement comprendre que ce pouvoir

particulier la France, l’Italie et l’Autriche ainsi que l’Allemagne. (Une société stable l’Angleterre). Au XIXe siècle en France le Premier Empire disparaît en 1815, remplacer par une restauration jusqu’en 1830. Il y aura ensuite la monarchie de juillet. 1848, seconde république qui durera 4 ans. Second empire jusqu’en 1870 1870, troisième république jusqu’ en 1940. (A vérifier) En un siècle il y a eu deux empires, une monarchie et deux républiques donc il n’y a pas eu de stabilité en France. La troisième

acheté leur métier. Pourquoi ce que le roi a fait en nouvelle France ne peut-il pas le faire en métropole? Parce qu'il y a une opposition considérable de la part des officiers, aucun n'est prêt à abandonner son office. Bouiboui est en désaccord avec Tocqueville. b) les parlements. On est là à la charnière entre judiciaire et politique. Tout d'abord, le parlement de Paris a été créé à l'époque de St Louis 13ème siècle, les autres majoritairement au 15ème. Au 17ème, on a donc plusieurs parlements

centralisation : certains ont analysés le système comme par exemple Alexis de Tocqueville. La révolution n'a fait que parachever la centralisation qui avait déjà été initiée (Napoléon porté la centralisation a son paroxysme). Tocqueville pense que ce qui a été appelé révolution n'est qu'un point d'aboutissement d'efforts mis en place depuis des siècles. Au XXe siècle, certains ont été plus loin encore que Tocqueville : Cobban a développé une thèse libérale selon laquelle ce qu'on présente comme

l'art » qui isole l'homme de l'humanité ; -il correspond enfin à un besoin de solidarité avec l'évolution sociale. • Si l'on considère l'ensemble du mouvement, il est possible de distinguer dans son évolution : • une période affective (1848-1868) : le réalisme. • Une période de lutte méthodique autour d'un homme, Zola, • et d'un embryon d'école, le «groupe de Médan » (1868-1887). Le réalisme qui s'érige en naturalisme se durcit et se systématise. Il triomphe mais exagère :

apparaissent dans les discours politiques : 2 déc 1851, futur Napoléon III => recours très instrumental et démagogique a cette notion en politique. IIIe République : Notion qui connaît un succès auprès des Républicains aussi bien en politique qu'en doctrine. "Le législateur ne saurait mal faire" = toute confiance en la loi. - L Duguit : en 1911 un des premier à développer la notion dans Tome 3 de traité de droit des collectivités. - Art 72 C° 46 - Art 34 C° 58 Dans le discours doctrinal et universitaire

ensuite contribuer à donner le sens moderne au mot qui ne s’imposera en France qu’à compter du XVIème siècle. Parfois utilisé par François Ier, il passera dans le langage commun sous l’influence des théoriciens protestants et par l’intermédiaire des discours d’Henri III et d’Henri IV. L’emploi du terme consacre une sécularisation du Pouvoir, son principe devenant abstrait et unique et personne ne le possédant personnellement. Il s’exerce sur un territoire déterminé, mais partout à l’intérieur des frontières