Discours direct

exemples, sous forme d’hypothèses : si le docteur doit soigner des criminels comme Cartouche ou Nivet, il expose la société à des dangers nouveaux, et en sauvant la vie d’un individu nuisible, il peut mettre en péril celle de ses propres amis. Le « discours » présenté entre guillemets dans la grande réplique finale du narrateur résume ces arguments : il y a un cas de conscience (« Je sais bien ce qu’il y aurait à faire pour dissiper ce point de côté qui t’oppresse, mais je n’ai garde de l’ordonner »)

connait rien de Tchen mais partage ses sentiments, sensations. • découvre avec lui la chambre. 2° L’omniscient. (discours) a) le discours : discours indirect libre. (lignes 11-12 : moment où il ne faut pas réfléchir les personnages malrussiens se posent, réfléchissent) « il se répétait que » l.20 —> passage au discours indirect « assassiner n’est pas seulement tuer » l.30 —> discours direct b) les sentiments exprimés : nervosité : « combattre, combattre » l.13 —> tournure elliptique • anacoluthe : « Pris

entre dans un lieu de culture et il s’agit d’une série de remarques inattendues, désordonnées. * Madinier comme figure emblématique et les autres - Forte opposition dans le discours entre Madinier (discours direct qui représente l’initié l 474-75) et les autres qui ont une parole de masse, indifférenciée (l 470 discours indirect libre) - Indétermination des pronoms et des déterminants présente dans tout le passage. Ceci est une marque d’ignorance (l 468) - Indétermination dans la narration

rapport à Balzac ou Stendhal, Flaubert rend plus rare l'utilisation du discours direct ( dialogue ). Flaubert dit lui-même que ces dialogues se réduisent à des « monologues », car il s'agit de « bavardages » que personne n'écoute. Chacun est renvoyé à sa solitude car il n'y a pas d'échange. De ce fait, Flaubert privilégie le discours indirect libre pour traduire la pensée et la psychologie de ses personnages. Le discours indirect libre se reconnaît surtout par le contexte. Pas de verbe introducteur

peste mais où loup mange douce et innocente proie. Souvenir annonce présage qu'on sacrifiera encore l'innocent. b. Variété, diversité : • Versification (rimes embrassées et longueurs irrégulières), accélération • Alternance récit / discours : discours direct aux personnages importants, indirects aux autres • Différentes tonalités (ironie, tragédie) c. Des animaux qui font allusion aux Hommes et à leur relation : - Cadre scène : procès tribunal (champ lexical justice), intervention : plaidoyer

deux discours I/Mise en echo de deux discours Un principe d'alternance entre la voix de Rodolphe et celle du President a lieu.Ce dispositif mis en place dès le premier discours,mais sous forme de deux voix distinctes.Ici , les voix se rejoignent et se confondent. A)Confusion de structure Tout d'abord elle est presente grace au discours indirect, ou l'enchainnement des phrases créé certaines ambiguités"Rodolphe(...) causait reves" puis "l'orateur vous depeignait",grace au discours direct contenu

Maupassant est fait d’équilibre entre les descriptions limitées et fonctionnelles, et le jeu entre discours indirect et direct. Il est aussi marqué par l’utilisation de phrases plutôt courtes avec une ponctuation expressive et de paragraphes eux aussi plutôt courts, voire très courts, qui donnent une mise en page aérée. La langue, quant à elle, est soutenue dans le récit et dynamique dans le discours direct, recherchant memede transcrivre les paroles des personnages populaires.

aggravée par l'effet de masse. Cl de l'irréel : « on croit difficilement » (l7), « le fléau est irréel », « mauvais élèves » (l22), « possible » (l28), « impossible » (l29)incrédulité de la population plus antithèses possibles/impossible discours direct : « ça ne durera pas, c'est trop bête » (l15) preuve que les gens ont une absence de réalismedéni= pour se protéger Trois réactions légitimes par lesquels on passe tous--> chronologiquement : inquiétude - incertitude -déni 2.2. La réflexion

ANALYSE D’UN TEXTE Temps du récit : Passé simple => suspens, rythme, accélère, tension Présent narration => « en direct » à l’action Imparfait => description, ralentit rythme, arrière plan Temps de l’énonciation présent => actualise discours, émotion car narrateur intervient, complicité immédiate futur => assurance du locuteur, certitude, dramatiser passé simple => proche, perdure dans présent, vive émotion Pronoms personnels => montrent appartenance / exclusion à un groupe Adjectifs : forte

voilà tout » (l.29). De même dans Le Rouge et le Noir « J’ai le bonheur d’aimer », « J’aime, j’aime, c’est clair !... » (l.1, 2)  Ici, le narrateur rapporte les pensées de Jeanne au discours indirect libre. Le lecteur comprend ainsi les sentiments du personnage. Le narrateur peut aussi décider d’utiliser le discours direct comme dans Guerre et Paix : « Et Sonia me comprend-elle ? » (l.3, 4). Dans ce cas-là, les paroles sont rapportées avec des guillemets mais le principe est le même, elles vont permettre