Discours direct

subjectif, celui du narrateur-personnage. Le narrateur reconstitue le dialogue qu’il eut avec la jeune fille (nbx verbes de locution : demander, répondre, dire, assurer, confesser, répéter). Les paroles de la jeune fille, rapportées au discours direct puis au discours indirect libre se confondent pourtant avec les commentaires dont le narrateur ne cesse d’entrelacer le récit des événements, si bien que la scène ne nous est donnée à voir qu’à travers le souvenir du personnage. 3) Le commentaire distancié

comme dans Bel-Ami où se confondent par exemple jeux amoureux et trafics financiers. L’art de Maupassant est fait d’équilibre entre le récit des péripéties, les descriptions limitées et fonctionnelles, et le jeu entre discours direct / discours indirect / discours indirect libre. Durant ses dernières années (1887-1889), se développent en lui un amour exagéré pour la solitude, un instinct de conservation maladif, une crainte constante de la mort, et une certaine paranoïa

paroles rapportées discours direct (v. 15 à 33, 34 à 41, 49 à 54) : conserve le dynamisme et l’authenticité à l’œuvre + donne aux paroles du Lion, du Renard et de l’Ane, une vivacité unique + personnification en est renforcée discours indirect (le loup) : perd toute expressivité par son insertion totale au récit ; conjonction « que » + tournure d’obligation « il fallait » renforcent la solennité de ces paroles : le temps n’est plus aux discours mais à la condamnation immédiate discours indirect libre

tradition picturale des  « Vierges à l'enfant » . Par la suite, on apprendra qu'elle s'appelle Marie ! Une rencontre fantasmée l'absence d'échange La focalisation ne correspond qu'au point de vue de Frédéric. Le discours indirect libre traduit l'état intérieur de Frédéric auquel rien ne répond du côté féminin. « leurs yeux se rencontrèrent » n'apparait qu'à la fin et ne débouche pas vraiment sur un véritable coup de foudre avec la réciprocité et les effets

lassitude que pour échapper à ces paroles dont on l'étourdissait depuis des semaines, ralentit en vain sa marche » (l. 48), elle parle très peu : une seule réplique au discours direct est prononcée (elle réagit au mot « victime », utilisé par l'avocat, l.20). Au fil du texte, sa voix s'efface : sa seconde réplique est rapportée au discours indirect : « Elle demanda où était la voiture » (l. 23-24). Le narrateur brosse rapidement le portrait d’une femme frêle, soumise : « immobile, serrée dans son manteau

adopter : « L’exempt demandant à son camarade comment allait son commerce ? » (ligne 26-27). On a une intrusion du discours dans le récit, le « ? », Diderot explore des possibilités. On a une hypertrophie5 de la forme dialoguée, on a un « piratage », d’où la forme hybride. Sous-transition : Le récit glisse vers le discours indirect libre, qui s’oriente lui-même vers le discours direct aux lignes 26-35. L’auteur interroge les limites des formes traditionnelles pour proposer un récit d’une grande vivacité

présent dans ce texte. Tout d’abord le narrateur fait alterné les silences et les dialogues ainsi que l’immobilité et les mouvements pour différer la révélation. Certains passages utilisent le discours indirect libre pour restituer les pensées du héros (l.8-16/17), certains passages usent du discours direct (l.24). Le texte insiste également sur la voix l.51 et (surtout) sur l’intensité des regards (l.5/19/27/33/53), également sur les respirations l.45. Tous ces procédés renforcent le caractère théâtral

retrouve un octosyllabe et trois alexandrins.        2-      La présence de paroles rapportées :    -          Le discours direct (v28-29)-paroles du Lion. Le Lion s’adresse au renard en le tutoyant ce qui montre sa supériorité.  -          Le discours indirect libre (v23-24)-paroles du singe : « Il n’était ambre, il n’était fleur qui ne fût-ail au prix »  -          Le discours narrativisé (il résume les paroles rapportées sans les reproduirent complètement) (v30-32)-paroles du renard.   

cela les rend particulièrement antipathiques, ce qui nous prévient de l’antipathie qu’on aura ensuite pour Mr de Varnetot, qui a abandonné Rose, sa maîtresse après qu’elle soit tombée enceinte. Pour finir, Maupassant utilise principalement du discours direct dans son récit. Les paroles sont rapportées directement, pour montrer leur manière de parler. Mr Séjour, un des chasseurs, à un accent particulier : « Crébleu, maît’ Blondel, vous avez là une bobonne qui n’est pas piquée des vers » (ligne 23)

qui prouve que pour eux, il ne fait pas partie de leur groupe. Le deuxième élément qui montre qu’il n’est pas intégré dans le village est un élément syntaxique. Du fait que les paroles d’Hippolyte ne sont jamais exprimées par du discours direct, mais toujours par du discours rapporté du narrateur, l’auteur souligne le fait que celui-là n’a pas son mot à dire au village et que son opinion n’est pas prise en compte par les villageois. Donc cette exclusion les rend cruels et nous amène à rejoindre l’avis