Discours du Trône

dénouement tragique B. L'écart parodique II) La critique des visions traditionnelles de la mort A. La critique des visions de l'enfer B. La critique des visions du paradis III) La mise en scène de la mort comme anéantissement A. A travers le discours de Marguerite B. A travers les didascalies Conclusion Texte étudié: MARGUERITE Il perçoit encore les couleurs. Des souvenirs colorés. Ce n'est pas une nature auditive. Son imagination est purement visuelle... c'est un peintre... trop partisan

et de représenter à la foi. Laissons donc un Roi reprendre sa place légitime sur le trône de France et nous représenter, représenter notre histoire et pourquoi nous sommes ici aujourd'hui. Vous pouvez bien laisser un Sénat gouverner, un Parlement manigancer et des ministres se quereller, mais accordez-nous au moins rien qu'un semblant de fierté. • Prétendant au trône : Orléans, Bonapartiste, Bourbons : un trône, impliquerait un Roi. Et un Roi, implique une hérédité comme dans la plupart des monarchies

plus loin une périphrase pour exprimer cet amour et en signifier l’ardeur : au vers 103 il évoque « [sa] flamme ». Cette métaphore de la flamme pour exprimer un amour que l’on ressent ardemment, l’amour qui fait brûler de désirs, est un topos du (discours courtois), c’est aussi un moyen pour Racine de se conformer aux exigences de la bienséance en exprimant le désir amoureux par la figure de la litote. Après la révélation de cet amour des deux frères pour la reine, Xipharès déclare à Arbate : « Voilà

Révolution française qui avait conduit à la condamnation à mort du roi Louis XVI, et le règne de Napoléon Bonaparte, les États européens se sont mis d’accord pour restaurer la monarchie en France. Louis XVIII, frère de Louis XVI, monte alors sur le trône. Avec la Charte constitutionnelle de 1814, le roi adopte dorénavant les contraintes d’une Constitution écrite : conçue comme un acte concédé aux sujets du roi. Le 16 septembre 1824, il meurt. Louis XVIII voit sa succession assurée par Charles X, dernier

en Pologne, « c’est-à-dire Nulle Part » (selon l’expression d’Alfred Jarry dans son discours de présentation de la pièce, lors de la première représentation), dans un temps indéterminé. Les thèmes principaux de la pièce L’absurde, la bêtise, la cruauté. Résumé Le père Ubu a été roi d’Aragon et est maintenant capitaine de dragons, officier de confiance du roi de Pologne, Venceslas. La mère Ubu aspire au trône et pousse son mari à s’en emparer en lui brossant un tableau alléchant de la vie de

Thérèse Levasseur (une humble serveuse) qui lui fit 5 enfants et qui seront confiés à Enfants-Trouvés (l’assistance publique de l’époque) car il ne pouvait pas les élever correctement. C’est en 1750 que Jean-Jacques acquiert la gloire avec son « Discours sur les sciences et les arts ». Il fût tout de même beaucoup critiqué par les philosophes tel que Voltaire qui se moquent de sa théorie ou la société dénature l’homme. Jean-Jacques se sent persécuté. Il passera les dernières années de sa vie dans

l'humanité superficielle. b) Transition → La 2 ème vie de Mme de Grancey. « Enfin » : transition qui montre qu'elle passe à une « nouvelle » vie d'une femme. Vers 40 ans (allusion au changement physique). « d'un trône à l'autre » : hyperbole et métaphore → du trône de la beauté au trône intellectuel. Énumération de ses lectures : Racine, Montaigne, Plutarque : désir de s'élever intelectuellement. → «  genres littéraires différents sur ses lectures avec Racine = théâtre, Montaigne = essais, et Plutarque

Le trône royal n'est pas le trône d'un homme, mais le trône de Dieu même La Politique tirée de l'Écriture sainte est un des trois ouvrages de Jacques Bénigne Bossuet destiné à l’éducation du Dauphin de la couronne française, est une œuvre littéraire majeure dans laquelle il s'efforce de démontrer les liens entre politique et religion et de s'inspirer des Écritures saintes dans le but d'encourager un espace public qui soit pleinement conforme à la loi de Dieu et à la charité évangélique, dans le

Commentaire de document historique « Discours d’Henri IV au Parlement de Paris pour obtenir l’enregistrement de l’édit de Nantes, 1599 » (*) Le document auquel nous nous intéressons est le discours prononcé, « en [son] cabinet(**)» par Henri IV, devant les officiers du Parlement de Paris pour obtenir l’enregistrement de l’édit de Nantes en 1599. Un édit est un texte de loi portant sur une question précise, quant au Parlement il est une cour souveraine du Royaume de France possédant des

conflit (campagnes d’Italie, de France, d’Allemagne). À l’issue de la Seconde Guerre mondiale, la poussée nationaliste se fait plus pressante. Le sultan Mohammed Ben Youssef profite de la célébration du vingt-cinquième anniversaire de son accession au trône pour revendiquer l’indépendance du Maroc. Il manifeste sa volonté de résistance en refusant de signer un certain nombre de dahirs (textes de loi) alors que le poids de l’administration, placée sous l’autorité du général Juin, se fait de plus en plus