Discours George Bush

elle contribue à étendre le communisme dans le monde ; 2 exemples : 1° l’Armée Rouge occupe et contrôle les pays d’Europe de l’Est qu’elle a libérés à la fin de la 2° GM (CHURCHILL (biographie p.106) dénonce le 5 mars 1946 dans son discours de Fulton (EU) la mise en place d’un « rideau de fer » qui partage l’Europe en deux et qui empêchent les ressortissants d’Europe de l’Est de se rendre librement à l’Ouest 2° URSS soutient les communistes grecs dans la guerre civile qui

sur son teeshirt, comme un prisonnier… 1.4. Le cadre spatio-temporel Un léger hiatus temporel et technologique (l’implantation de la puce électronique) place ce roman dans l’anticipation, mais c’est bien de notre époque qu’il s’agit (références à G. Bush, Berlusconi) avec ce léger décalage qui suscite la réflexion sur notre société. Sommes-nous si loin de cette puce électronique à l’heure où les états mettent au point des fichiers balayant tout respect de la vie privée de leurs citoyens, au moment

virage a 180 degres, de revenir à des valeurs plus proches de nos besoins, des capacités de la terre nourricière. (…) 4) Guerre d'Irak : comment tout a commencé il y a dix ans Le 20 mars 2003, l'armée américaine intervient en Irak. George W. Bush et les faucons de son gouvernement n'auront de cesse de convaincre leurs alliés que Saddam Hussein détenait des armes de destruction massive. «Toutes les guerres sont des erreurs», confie le général australien Peter Cosgrove, qui dirigeait les

terrorisme. • « Les informations venues de nos services de renseignements, les communications secrètes et les déclarations faites par des personnes en détention révèlent que Saddam Hussein aide et protège les terroristes, y compris ceux d'Al-Quaïda », discours de M.Bush le 28 janvier 2003. • La volonté d’éliminer toutes les armes de destructions massives censées se trouver en Irak, finalement en septembre 2004 l'Irak survey group mandaté par le gouvernement des Etats-Unis a déclaré qu'aucunes armes de

Badie : Dès l'effondrement de la bipolarité, le président George H. Bush a tout fait pour s'en dispenser, se hâtant de confirmer l'Alliance atlantique et de l'élargir, comme pour construire un monde unipolaire qui serait ordonné par un vaste système d'alliances partant de Washington. L'idée n'a pas été remise en cause par ses successeurs : le démocrate Clinton choisissant la continuité, tandis que les néoconservateurs autour de George W. Bush ne firent que renforcer le postulat de départ. L'échec des

Le Président s’appuie sur son secrétaire d’Etat, sans qu’il existe pour autant de répartition figée des responsabilités entre les deux, le rôle et l’influence du secrétaire d’Etat dépendant souvent de la place que le Président place en lui (cf. Georges Bush et Condoleeza Rice). Il existe en principe un contrôle du Congrès (notamment, l’autorisation de ratifier un traité doit être votée par le Sénat, mais pratique des Executive Agreements conclus par l’exécutif et sans approbation du Sénat). ▪

(Elle s’est scindée en deux orientations : L’argumentation, qui vise essentiellement à convaincre et la stylistique (les figures de styles) qui vise à séduire. (La rhétorique contemporaine a élargi le champ de la rhétorique à toutes les forme de discours qui, explicitement ou nous, visent à influencer un auditoire. ( Avant de nous plonger parmi les procédés qu’utilisent les hommes politiques, orateurs, pour convaincre, séduire et influencer leur auditoire, nous allons retourner à l’époque de l’antiquité

déclaration avait pour but de montrer la bonne volonté du gouvernement iraquien de respecter ses obligations internationales imposées par l’Organisation des Nations Unies et le Conseil de sécurité. Par la suite, le 16 mars 2003 dans une déclaration George W. Bush (le Président américain), Tony Blair (le 1er Ministre britannique), José Maria Aznar (le 1er Ministre espagnol), José Manuel Barroso (le 1er Ministre Portugais) annoncent à Saddam Hussein Abd al-Majid al-Tikriti (le Président de l’Iraq) que par

Le message d'adieu de George Washington mettait en garde les futurs gouvernants des États-Unis contre la tentation de l'ingérence dans les affaires d'autrui. Et si la politique isolationniste des années 20 semble respecter ce conseil, il devient évident que les Etats unis d’aujourd’hui ont bien l’intention d’exercer son leadership sur le monde, en tout cas pour ses besoins. L’Idéal de « l’approche multilatéral » laissé en héritage à Barack Obama par Georges H.W Bush persévère aujourd’hui. Cet idéal

: Lyndon Baines JOHNSON (démocrate) 1969-74 : Richard NIXON (républicain) 1974-77 : Gérald FORD (républicain) 1977-81 : Jimmy CARTER (démocrate) 1981-89 : Ronald REAGAN (républicain) 1989-93 : George W. BUSH père (républicain) 1993-2001 : William CLINTON (démocrate) 2001-2009 : George Walker BUSH Jr. (républicain) 2009-aujourd‘hui: Barack Obama (démocrate) Le modèle américain I/ Une démocratie exemplaire? 1) les institutions américaines -organisation selon la constitution(1787). Caractéristique: