Discours George Bush

SECTION 2: LES IDEOLOGIES DOMINANTES………………………………..17 SECTION 3 : LES ORGANISATIONS INTERNATIONNALES…………....18 PARTIE 3 : LA SCENE GEOPOLITIQUE INTERNATIONNALE ACTUELLE…..24 SECTION 1 : LE PROGRAMME DE POLITIQUEETRANGERE DE BUSH APRES L’ATTENTAT DE 2001…………………………………………………….24 SECTION 2 : LA LUTTE CONTRE LE TERRORISME ET LA GUERRE PREVENTIVE……………………………………………………………………………….26 CONCLUSION…………………………………………………………………………………………28 BIBLIOGRAPHIE & WEBOGRAPHIE………………………………………………………

libéral même de tous ces grands Hommes qui ont gravis des échelons et changés les mentalités d’autrefois. Tel Martin Luther King, ancien pasteur qui prônait la non-violence et la désobéissance civile à qui l’on fait référence dans son humble et célèbre discours « I HAVE A DREAM » prononcé le 28 août 1963 à WASHINGTON. Ou encore Rosa Parks, cette femme noir qui a refusé de céder sa place dans un bus à un blanc le 1er décembre 1955 en ALABAMA. Mais aussi, les Pères fondateurs de l’Amérique tel Abraham Lincoln

devenait l’atelier du Monde, près de deux milliards d’individus entraient sur le marché du travail faisant ainsi baisser massivement le coût de la main d’œuvre (Cf. Ronald Reagan et Jean Paul II, lien avec la mondialisation). En 1991, George Bush prononce le discours d’AASPEN, qui est à la fois l’acte de décès du communisme, mais aussi la première définition des modalités de la diffusion du libéralisme économique au reste du monde.

manifestées par de nombreux articles de journaux, ainsi que par la création de nombreux reportages. De plus, de nombreux chefs politiques ont soutenu, par leurs discours sans équivoque, les Etats-Unis si cruellement touchés en affirmant leur volonté de les aider à trouver les commanditaires de ces actes. Le jeudi 13 septembre, George W. Bush a officiellement reconnu qu’il considérait que l’organisation terroriste Al-Qaïda était à l’origine de ces attentats. Cette affirmation fut pendant longtemps relatée

permet également à la religion de reconquérir l’espace public dans les sociétés occidentales. En France, aux Etats-Unis d’Amérique ou en Italie, le discours religieux tente, à divers degrés de se réapproprier des domaines que la laïcité a tenté de mettre dans l’espace privé. Lors de son discours sur les cellules souches embryonnaires, le Président G. W. Bush a manifesté ses craintes de voir l’argent des américains utilisé dans la recherche sur les cellules souches. Il a rappelé à cette occasion que la

Plan Marshall — Le Secrétaire d'État des États-Unis, le général George Marshall, prononce un discours à l'université Harvard dans lequel il expose la volonté des États-Unis de contribuer au rétablissement de l'Europe pour contrer l'influence montant de l'URSS. - 22 septembre : : Doctrine Jdanov — Andreï Jdanov présente la nouvelle orientation politique soviétique face au camp occidental, en réaction à la doctrine Truman. Son discours qualifie le camp américain d'« antidémocratique et impérialiste »

président israélien, Shimon Pérès, juge que les sanctions n'ont pas arrêté la course de Téhéran vers la bombe atomique. Arrivé à Paris vendredi 8 mars pour une longue visite de travail, Shimon Pérès doit quitter la France mardi 12 mars à l'issue d'un discours au Parlement européen de Strasbourg. Le président israélien, qui a joué le rôle de ministre des affaires étrangères bis à cause de l'ostracisme frappant le sulfureux Avigdor Lieberman, doit demander aux députés européens d'appuyer la demande israélienne

la zone soviétique, ce qui l'isole du reste de l'Allemagne occupée par les puissances occidentales.• La première crise de Berlin, inévitable, marquera le début de la guerre froide. En 1947, le président américain Truman lance l'offensive dans un discours au Congrès où il expose sa doctrine de l'endiguement du communisme (ou « containment »). Son idée est de favoriser la reconstruction et le développement des pays européens durement touchés par la guerre pour éviter que les peuples dans la misère

la zone soviétique, ce qui l'isole du reste de l'Allemagne occupée par les puissances occidentales. • La première crise de Berlin, inévitable, marquera le début de la guerre froide. En 1947, le président américain Truman lance l'offensive dans un discours au Congrès où il expose sa doctrine de l'endiguement du communisme (ou « containment »). Son idée est de favoriser la reconstruction et le développement des pays européens durement touchés par la guerre pour éviter que les peuples dans la misère

traversé des turbulences. Mais cette fois, les effets de la crise mondiale limitent la marge de compromis de l’administration américaine, tandis que les premières conséquences des querelles de pouvoir en amont du 18e Congrès ont tendance à figer le discours chinois dans une rhétorique sans concession. La visite de Karzai à Pékin avait lieu peu après les diatribes du Président Iranien qui, lors de son passage très médiatisé dans la capitale afghane, s’était insurgé contre la présence des forces de l’OTAN