Discours Narratif Rousseau

rituellement avancés pour montrer qui étaient nos ancêtres les comparatistes que je voudrais commencer. Dans ses Nuits attiques (X, Ill), le grammairien et polygraphe Aulu Gelle se livre à une « étude comparée » de quelques « passages célèbres, tirés des discours de C. Gracchus, de Cicéron et de M. Caton ». Ce qui m'intéresse est la façon dont l'exercice de comparaison est amené, défini. Curieusement, deux mots sont nécessaires pour la définition : « Locorum quorumdam illustrium collatio contentioque facta

la publication· Décalage temporelle elle nous raconte son histoire quand elle a 50 ans. · Pour se sauf garder contrer les attaques qui pourraient resusciter la critique déjà contre sa société et de la parte de son lecteur. · Pas un texte purement narratif plus complexe. · Mélange de deux perspectives · Marianne à 50 ans – savante, qui connait la vie· Jeune Marianne – adolescente, qui n’a pas connu l’amour mais qui a déjà de soupçon. Encore un peu naïve ce que se commence à changer· Marivaudage –

chap. XIX, depuis « En approchant de la ville (…) » à « (…) en pleurant, il entra dans Surinam » (1759) 2. Rousseau, Lettre sur la Providence, (18 août 1856), (page 73 du manuel), argumentation directe. 3. Montesquieu, Lettres Persanes

parents sont résistants.Elément déclencheur : l’arrestation du père de DanielFaits qui en découlent : la rédaction, les résultatsChuteSEANCE N°6 LE CHOIX DU POINT DE VUE DANS LA REDACTIONLe narrateur est celui qui raconte l’histoire .Les points de vue narratifs sont les différentes positions que prend le narrateur par rapport à l’histoire.Avec le point externe, le N se tient à l’extérieur de l’histoire .Il ne dit que ce qu’il voit. Il est témoin.Avec le point de vue interne le N privilégie gie un des personnages

mouvement littéraire, a un genre littéraire par rapport à des questions thématiques. (Comique, humour ou formel) Exemple : La description (enjeux) Lecture : 2) Ensuite description : Donner des caractéristiques essentielles (passage descriptif, narratif) 3) Ensuite donner les mouvements du texte : Axes de lecture ou problématique interprété, s’interroger sur le sens du texte et non faire la paraphrase (hors sujet). Projet interprétatif. *Procédé explicatif, synthétiser ce qui a été dit dans

s’oppose au naturel dans le ton, le contenu ou encore l’expression. Diderot, en 1758, le définit de façon très péjorative, en le qualifiant de faiblesse esthétique par les excès et l’incompatibilité avec la vraisemblance attendue dans les œuvres. Rousseau, par après, met en place une expurgation du romanesque. Il rejette tout ce qui a trait au contraste moral des caractères et à l’accumulation des péripéties. Néanmoins, il considère cette esthétique comme importante une fois débarrassée de tout ce

Université dans le cadre d’une convention 26h 5 UE3 ACTIVITE DE RECHERCHE Projet de recherche (coeff. 4) INTITULE CONTENU EC1 Initiation à la recherche, (3 demi-journées de conférences, coeff. 3) Un thème au choix : M1LP01DT « discours et textes » ou M1LP02TH « problématique du théâtre » UE1 TRONC COMMUN DE LA MENTION EC2 Méthode de la spécialité (2h/semaine, coeff. 3, validation à l’assiduité) : M1LC01ME « Les champs de la recherche en littérature comparée » EC3

dire la première guerre mondiale en déstructurant la langue, en admettant les phrases sans verbes, en faisant claquer les images et en utilisant tous les registres de langue pour dénoncer les horreurs de la première guerre mondiale. Aller contre le discours officiel et faire ce que Roger Martin de Gard n’ose pas faire. 2. la volonté de donner au lecteur à lire la réalité en la recomposant Préface de Pierre et Jean de Maupassant : remplacer le mot réalité par vérité. Il faut reconstruire la réalité

Colin, 2011 ROUSSEAU J.-J., Émile ou de l’Éducation, Paris, Gallimard Folio – Essais, 1969 MALSON Lucien, Les enfants sauvages. Mythe et réalité (suivi de Mémoire et Rapport sur Victor de l’Aveyron, par Jean ITARD), Paris, Éditions 10/18, 1964 NEILL A.S., Libres enfants de Summerhill, Paris, Librairie Maspéro, 1970 FREINET C., Oeuvres pédagogiques, Tome 1 et 2, Seuil, Lonrai, 1994. VASQUEZ A., OURY F., De la classe coopérative à la pédagogie institutionnelle, Maspéro, 1971. SUR LE DISCOURS PÉDAGOGIQUE

débute par il était une fois et se termine par ils vécurent heureux (dispositif narratif). le "il était une fois" place l'enfant dans une situation fictionelle, l'enfant sait qu'il s'agit d'une histoire et non de la réalité. Il est donc prêt à l'entendre, à éprouver de la peur et à la surmonter. La différence avec les images violentes proposées à la télé apparaît clairement : elles ne sont pas circonscrite dans un discours et l'enfant peine à faire la distinction entre la fiction et la réalité.